Réflexions de Pank / Instantané #56 : Tolérer

Pour les personnes qui me suivent, vous savez qu’il y a quelques années, j’ai mis en place un système basé sur les processus hypnotiques que j’avais étudiés avec l’EFT (Emotional Freedom Technique) (https://www.emofree.com/), le TPA. Le système à pour but de passer des étapes : tolérer-permettre-accepter.
Vous pouvez obtenir l’essai que j’ai écrit sur ce sujet gratuitement ici : https://www.pankhypnose.com/programmes-gratuits.

Il est difficile pour nous d’accepter les choses et cela est assez normal. Nous réagissons naturellement avec des formes de réaction voire de rejet face à certains sujets. Nous savons que les croyances et les valeurs peuvent nous diviser, et il est toujours illusoire de prétendre que nous pouvons accepter l’autre par simple demande.
Dans notre monde qui se veut à la fois plus inclusif et paradoxalement plus communautaire, nous sommes « contraints d’accepter » des personnes qui peuvent ne pas correspondre à ce que nous connaissons ou apprécions.

Cette dynamique est un paradoxe. Ce n’est pas parce qu’une personne haineuse envers un groupe ethnique, social ou politique se voit contrainte d’accepter une loi, une règle ou un statu quo, qu’elle le fera. Le pire est sûrement de nourrir encore plus cette personne dans une détestation qui est alimentée à ses yeux par des doctrines proches du totalitarisme.

Comme pendant l’URSS, la Chine maoïste ou les régimes nazis, il y avait peu de chances d’avoir une vie tranquille si vous ne validiez ni n’acceptiez la doxa gouvernementale. C’était la seule bonne façon de penser pour le groupe, le commun, donc la juste. Seulement, sans opposants voire des résistants (qui n’étaient pas si nombreux que ça), il est possible que certains régimes dictatoriaux soient encore présents. C’est le cas dans de nombreux pays à travers le globe, mais apparemment cela n’intéresse pas nos médias.

Alors cette inquisition visant à imposer l’acceptation est contre-productive, elle engendre de la haine et pourrait même conduire à une surcompensation si les choses s’inversent. Nous connaissons les tenants et aboutissants des guerres ethniques dans de nombreuses contrées où les victimes sont devenues les pires bourreaux.

Il existe néanmoins une option sur laquelle nous pourrions déjà travailler : la tolérance. À mes yeux, c’est une posture dite haute, et clairement nous ne sommes ni dans l’amour ni dans la bienveillance. Mais ne nous leurrons pas, ce n’est pas non plus le cas lorsque les gens se taisent pour éviter des procès ou des amendes. L’absence d’émission d’un jugement de haine ne signifie pas l’absence de ce dernier, qui, à un moment ou à un autre, devra s’exprimer.

L’étymologie du mot « tolérance » remonte au latin « tolerantia », dérivé du verbe « tolerare », qui signifie « supporter » ou « endurer ». Je trouve que cette notion de support et d’endurance est un élément proactif certainement difficile à mettre en pratique pour beaucoup, mais qui peut, au moins dans cette position élevée, éviter la propagation de la haine. Oui, ce n’est pas une vision égalitaire vis-à-vis des autres, il y a peut-être même une sensation de supériorité (qui peut dériver), mais il y a un aspect « égotique » que la religion a très bien exploité.

Parce que vous êtes plus « sage, éveillé, avancé », vous ne vous laissez pas aller aux bas instincts. Vous permettez ainsi à l’autre d’être lui-même. Sans l’approuver, sans l’apprécier et encore moins l’aimer, mais au moins, il a le droit d’exister sans être agressé ou violenté.

Adopter une attitude de tolérance demande des efforts. Le rejet est clairement plus simple, mais aujourd’hui, il me semble que plutôt que d’accuser de nourrir encore plus de haine et de frustration, nous devrions essayer d’éduquer les gens à changer leur état d’esprit, à se dire que c’est un effort qu’ils peuvent faire et à éviter simplement les interactions qui « dérangent ».

L’être humain, à mes yeux, n’est ni bon ni forcément particulièrement malin, mais il est capable d’utiliser son potentiel avec les bonnes orientations, sans inquisition, petit à petit, jour après jour. C’est un processus long, qui échouera de nombreuses fois. Même si Berne explique que l’indifférence est la pire des choses, il semble qu’avec de la tolérance, nous puissions développer une capacité d’endurance, une certaine distanciation, puis un désintérêt. Ce sera certes un monde moins connecté, plus distant, mais plus apaisé et moins dominé par le désir de voir l’autre disparaître.

Et vous, trouvez-vous tolérant dans certaines situations ou avec certaines personnes ?
Ne prenez ce qui est bon et juste pour vous.
Be One
Pank

#Tolérer #permettre #accepter #TPA #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #Psychologie #hypnosemoderne #autohypnose #réflexions #hypnoseinstantanée


English Version

Reflections by Pank / Snapshot #56: Tolerate

For those who follow me, you know that a few years ago, I implemented a system using hypnotic processes that I studied with EFT (Emotional Freedom Technique) (https://www.emofree.com/).
You can get the essay I wrote on this topic for free here: https://www.pankhypnose.com/programme….

It is difficult for us to accept things, and that is quite normal. We naturally react or even reject certain subjects. We know that beliefs and values can divide us, and it is always unrealistic to claim that we can accept others simply by asking. In our world, which strives to be more inclusive and paradoxically more community-oriented, we are forced to accept people who may not correspond to what we know or appreciate.

This dynamic is a paradox. It is not because a person harbors hatred towards an ethnic, social, or political group that they will accept a law, a rule, or a status quo. The worst part is that it might further feed their hatred, which is fueled in their eyes by doctrines close to totalitarianism.

Just like during the USSR, Maoist China, or Nazi regimes, there was little chance of leading a peaceful life if you did not validate or accept the governmental doctrine. It was the only right way of thinking for the group, the community, and therefore, the just way. However, without opponents or even resistors (who were not that numerous), some dictatorial regimes might still be present. This is the case in many countries around the globe, but apparently, it does not interest our media.

So, this inquisition to impose acceptance is counterproductive; it breeds hatred and could possibly lead to overcompensation if things reverse. We know the causes and consequences of ethnic wars in many regions, where victims have become the worst executioners.

However, there is an option we could already work on: tolerance. In my opinion, it is an elevated stance, and clearly, it is not about love or kindness. But let us not deceive ourselves; the absence of expressing hateful judgment does not mean its absence, as it will eventually manifest itself.

The etymology of the word « tolerance » dates back to the Latin word « tolerantia, » derived from the verb « tolerare, » which means « to endure » or « to bear. » I find that this notion of support and endurance is a proactive element, certainly difficult for many, but it can, at least in this elevated position, prevent the proliferation of hatred. Yes, it is not an egalitarian view of others; there may even be a sense of superiority (which can deviate), but there is an « egotistic » aspect that religion has exploited quite well.

Because you are more « wise, awakened, advanced, » you do not succumb to baser instincts. Instead, you allow the other person to be themselves. Not approving, not appreciating, and certainly not loving them, but at least, they have the right to exist without being attacked or violated.

Adopting a mindset of tolerance is a challenging task that requires effort. Rejection is clearly easier, but today it seems to me that instead of accusing others of further nourishing hatred and frustration, we should try to educate and change our mindset. We need to understand that it is an effort we can make and simply avoid interactions that « disturb » us.

To me, the human being is neither inherently good nor particularly intelligent, but they are capable of harnessing their potential with the right guidance, without inquisition, gradually, day after day. It is a long process that will fail numerous times. Even though Berne explains that indifference is the worst thing, it seems that with tolerance, we can develop the ability to endure, to create distance, and eventually disinterest. It will undoubtedly be a less connected, more distant world, but it will be more peaceful and less driven by the desire to make the other disappear.

What about you? Do you consider yourself tolerant in certain situations or with certain people?

take what is good and just for you.
Be One
Pank

Réflexions de Pank / Instantané #49 : Cette difficulté a accepté le succès

Il est probable que vous connaissiez des personnes qui soient dans le succès et qui pourtant semble sans cesse chercher plus. Comme s’ils se trouvaient dans un train fou qui ne s’arrêtait plus aux stations. Il y a une forme de déformation des faits pour que cela entre dans le récit intérieur qu’ils se racontent. Il y a une quête effrénée à aller toujours, plus loin, plus haut, plus vite. Quand nous interrogeons ces personnes, nous nous rendons vite compte qu’ils n’ont sincèrement aucune sensation de réussite. Ce n’est pas de la modestie, c’est comme si la leptine du succès ne pouvait pas être ressenti.

Ils deviennent boulimiques de plus et d’encore, soit dans le boulot soit avec des pressions qu’ils vont se mettre dans des tas de domaines de vie. Il y une sensation de ne jamais avoir assez ou que les choses ne nourrissent pas suffisamment. Parfois avec les références externes, il peut y avoir la sensation qu’ils ont réussi, mais cela se range très rapidement dans le grenier de l’esprit. Dès lors on peut les interroger sur le succès et puis surtout sur ce qui pour eux les rendrait des personnes à succès.

Une fois les généralités dépassés et recadrés, beaucoup se rendent compte qu’ils n’avaient pas d’objectif, pas de but, ils errent sans cesse sur les routes du mot succès sans jamais avoir déterminé ce qui sera pour eux une sensation nourrissante. Ils n’ont pas de référence ou d’attente formel, et se font juste emporter par des concepts abstraits imposés par un système ou une société. Le succès c’est la richesse, la maison ou la reconnaissance, ils ne font que répéter des programmes installés. Quand on les fait se pencher dessus et plus encore leur faisons remarquer que c’est déjà ce qu’ils vivent, il y a une réponse commune : je n’ai pas l’impression que c’est ça, que je le vis, je ne ressens rien.

Ils sont dans une sorte de zone sans réseaux psycho émotionnel, ils font les actions dans une transe, une dissociation qui ne leur apporte rien d’autre qu’une réponses à une suggestion, souvent en réactance avec l’enfance. Ils avancent donc dans ce qui est défini comme une voie de succès pour beaucoup, en se disant qu’il n’y a pas encore gouté. Comme ce boulimique qui ne se rend pas compte de tout ce qu’il a déjà ingurgité et voit ce qu’il peut encore avaler. C’est douloureux parce que les choses n’ont pas de gout, n’ont pas de possibilité d’entrainer dans une forme de satisfaction.

Notre boulot en temps qu’hypnotiste est de petit à petit faire prendre conscience et aider le subconscient à « grandir » ne plus être dans une posture de fantasme, voire d’enfant. On leur demande d’utiliser le rationnel, l’intention, le conscient pour décrire quels ont été ses objectifs et vers quoi ils souhaitent se diriger concrètement. On interdit les « je ne sais pas », les notion qui pourrait jongler avec les simple opportunité. Nous remettons une visibilité, des gares qu’il va desservir et du terminus.

Nous avons souvent à ces moments, un bug de leur part, comme si déterminer une fin potentiel, les mettait dans une sensation de mort. Et après et si je me complais et si tout cesse et que je n’avance plus. En somme le mouvement qu’il soit physique ou psychique cesse et il y a juste à vivre, valoriser les actions, est se donner de la gratitude.

Ce retour vers une direction claire, ce moment ou ce n’est plus une suggestion sociale ou familiale mais la sienne, sa responsabilité, ses possibilités, ses limites, ses réussites ou ses échecs, permet un contact nouveau avec lui-même et avec la capacité à décidé de continuer ou d’arrêter. Comme ce boulimique qui reprend de plus en plus capaciter à dire stop, à ne pas prendre une bouché de plus et se sentir dans un succès du pas à pas.

Et vous est ce que vous avez clairement défini ce que peut être le succès pour vous ?

Ne prenez ce qui est bon et juste pour vous.
Be One
Pank Hno

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Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA / Chapitre 7- Le TPAction avancé (Part 1)

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA
2014
Disponible sur https://goo.gl/ovXu5C

Chapitre 7- Le TPAction avancé (Part 1)

Guère de complexité dans la technique avancée. Vous restez sur le même processus. Il faut bien vous rendre compte que le plus important est votre capacité à vous connecter à vous-mêmes.
Tout ce que le TPA va vous enseigner à mesure de votre pratique. C’est cette force qui vous appartient depuis toujours, être plus à l’écoute et plus dans l’accueil de vous-mêmes pour avancer.
La version avancée du TPA va s’axer sur la pratique du souffle. Dans toutes les méthodes que j’ai pu étudier jusqu’à aujourd’hui (et il y en a encore tellement à étudier), la respiration est un élément récurrent.
Nous pouvons le voir au travers des arts martiaux internes, du yoga, des techniques comme le rebirth, la sophrologie, la relaxologie… Nous revenons facilement sur un point central de notre vie quotidienne, notre souffle.
Sans entrer dans l’ensemble des considérations de ces systèmes et pour cela je vous conseille de prendre un temps pour apprendre et découvrir avec des experts, nous avons dans le quotidien un lien avec le souffle.
Vous connaissez tous les méthodes simples que nous proposons aux personnes anxieuses : ‘ Respire profondément ça ira mieux’. Pour une mère lors de l’accouchement le souffle est déterminant pour gérer ce moment au mieux.
Nous le constatons tous les jours, nous sommes souvent à bout de souffle quand nous montons en pression lors d’une conversation. Quand nous avons peur, notre souffle se bloque un instant.
Nous l’oublions tellement parce que nous le faisons de façon naturelle. Pourtant il peut être un allié de taille dans votre quotidien.
Il le sera encore avec le TPA. Pour cela vous allez apprendre à respirer en utilisant les mouvements des mains et en vous connectant avec votre Tolérer-Permettre-Accepter.
J’ai beaucoup travaillé sur ce sujet depuis quelques mois suite à des travaux avec les Points Cosmos et des notions de QiQong.
Je me suis aperçu que les intentions avec un centrage sur une problématique, offraient des transitions dans les transes.
Prenons un exemple simple et mettez-le en pratique.

Pendant quelques instants vous allez vous imaginer dans une situation qui a pour habitude de vous stresser.
Je vous demande de le faire quelques instants avec l’implication de votre émotion et observez comment votre respiration, votre cage thoracique, votre gorge se modifie. Ne tentez pas de changer quoi que ce soit.

Maintenant prenez trois respirations :
Inspirez avec le nez en comptant 5 secondes
Expirez avec le nez en comptant 5 secondes

Pensez bien à respirer avec le nez, nous ne sommes pas forcément très habitués, et vous verrez que l’effet est intéressant.
Maintenant observez vos émotions. Est-ce que vous avez toujours la même ? Est-ce que vous pourriez la comparer à celle précédemment vécue ?
Les respirations permettent de ‘casser’ les processus mentaux et émotionnels. Il est difficile de prendre pleine attention à son souffle et de rester fixé sur une dynamique négative.
C’est même le cas dans les douleurs physiques. Vous pouvez facilement trouver sur Youtube des vidéos sur le Systéma qui est un art martial russe très particulier.
Ce qui m’intéresse dans cette école c’est leur façon d’apprendre à encaisser un coup, ou d’en donner un en gardant le maximum de détente et de décontraction.
Ils enseignent que l’élément principal est de pouvoir faire suivre à la douleur, on va offrir à l’onde, un trajet qui va être géré par le souffle. Pour leur part, ils travaillent la bouche ouverte au départ, mais ils apaisent rapidement un mal de cette façon.
Dans le TPAction, nous allons utiliser ce magnifique levier pour accélérer certains processus, lâcher des tensions à la fois psychiques et physiques.
Certains anciens, dans les arts martiaux, nous enseignaient que lorsque le corps se relâche, l’esprit le fait également. Ils aiment à prendre les métaphores des arbres qui trop vieux, raides, ‘solides’ rompent, et qu’un arbuste, un arbre ‘souple’ plie seulement pour laisser la pression passer.


Pank

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA / Chapitre 6 : Comment Utiliser le TPA ? (Part 2)

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA
2014
Disponible sur https://goo.gl/ovXu5C
Chapitre 6 : Comment Utiliser le TPA ? (Part 2)
2e façon de l’utiliser : Outil d’amélioration de son état physique, psychique et émotionnel.
Cette facette du TPA est certainement la plus simple à travailler.
En effet, elle fonctionne sur deux aspects :
1- Répétitions Gestuelles
2- Répétition d’un Mantra Psychique
A l’inverse du TPA, dans le modèle de CrossTherapy il n’y a pas besoin d’un travail en amont, il peut être appliqué de façon ponctuelle.
Il suffit de bien définir sa problématique. Dans les systèmes plus analytiques il y a une différence à faire entre les problématiques et les objectifs de séance.
Dans le cas du TPAction nous pouvons simplement poser ce qui nous dérange. Il n’y aura qu’à IMAGINER ce problème comme une FORME.
Cette Forme pourra être une forme géométrique, un personnage, une scène. Il n’y a pas de limite à ce que vous allez proposer avec votre subconscient. Avant de commencer, pour que vous puissiez jauger au mieux, notez votre problématique sur une échelle de 1 à 10. Il est toujours utile de mesurer l’avancée d’un travail que l’on met en place sur soi-même.
1- Prenez un instant pour tendre une de vos mains devant vous.
2- Imaginez votre problématique dans le creux de votre main
3- Fixez-la une trentaine de secondes pour bien la ressentir.
Cela peut être un poids, une sensation, une forme, une couleur, il n’y a pas besoin de voir mais surtout d’imaginer. Laissez-vous aller à PROJETER cette sensation/forme/perception comme si vous la teniez à bout de bras.
Symboliquement, vous pouvez vous rendre compte que vous prenez ce mal, ce problème à bras le corps et que vous décidez d’y FAIRE FACE.
Vous passez de la phase de DENI qui pouvait être pesante à une mise en place d’action par et pour vous même.
4- Vous allez poser l’autre main sur le problème et commencer à tourner dans le sens d’une aiguille d’une montre en vous répétant une phrase du type :
*Je Tolère la présence de….
*Je Me Tolère avec…
*Je tolère l’existence de… dans ma vie
Faites-le pendant une Trentaine de secondes en cherchant à EFFACER ce symbole imaginaire de votre mal.
On peut facilement imaginer une éponge qui nettoie un tableau, comme un effacement progressif et possible des choses.
Même si cela peut prendre du temps dans les phases de stress ou celles de ‘crises’.
En effet, les retours montrent que parfois certaines personnes passent une heure pour l’étape de TOLERANCE.
Dans ce toucher, il y a régulièrement des remontées émotionnelles. Un moment qui est parfois proche de l’abréaction.
Vous verrez avec quelques techniques en plus dans les phases avancées, la respiration pourra vous permettre d’accélérer certains processus.
Faites bien des phases courtes de 30 secondes dans un sens, en vous répétant votre mantra.
5- A la fin du temps, claquez fort entre les mains.
Le principe est d’interrompre symboliquement le schéma dissonant avec un geste et un son fort afin de permettre la rupture de ce dernier.
Ce geste a toute son importance, au départ nous pouvons l’oublier parce que nous nous trouvons dans des excès émotionnels, et nous arrêter pour claquer dans les mains paraît inopportun.
Testez et observez ce que cela apporte.
6- Reprenez dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Vous continuez la même dynamique que vous avez mise en place, toujours avec la perception de votre mal.
Vous le faites pendant trente secondes et vous vous fixez à la fois sur le mantra et sur le fait d’effacer votre problématique.
7- Claquez fort dans les mains et vérifiez votre ECHELLE.
Il n’y a rien d’autre à faire sur chaque étape que cette démarche : Tolérer, Permettre, Accepter.
Vous allez prendre le temps qu’il faut pour que la gêne physique ou émotionnelle s’atténue ou s’efface complètement.
Il est possible qu’au départ vous sentiez que sur votre échelle, tout augmente. Certains clients n’arrivaient même pas, dans un premier temps, à faire le geste d’effacement et à se répéter le mantra, tellement la notion même de tolérance était insupportable.
Il ne faut surtout pas abandonner, même si votre corps et votre esprit sont en résistance, il est important que vous puissiez pousser votre dynamique.
La rotation peut se faire plus ou moins vite cela n’a que peu d’importance. Si l’image émotionnelle dans le creux de la main est trop douloureuse, changez-la en un SYMBOLE.
Le symbole permettra automatiquement de mettre une certaine distance avec le vécu. Il peut aussi n’être qu’un mot que vous prenez le temps d’effacer.
Vous allez constater plusieurs choses. Plus vous allez vous focaliser sur votre émotion et sur la projection de votre image dans la main en la fixant, plus vous allez vous permettre d’entrer dans une transe.
C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il peut y avoir une remontée émotionnelle importante.
Les rotations dans un sens offrent à l’esprit une notion d’effacer le schéma que nous connaissons dans sa forme présente. C’est fluide, c’est une possibilité que nous nous offrons.
Aller dans l’autre sens, c’est offrir un schéma antagoniste et par essence opposé.
J’ai appris lors d’une de mes conférences que certaines techniques de chamanisme proposaient de tourner en rond à l’inverse de l’aiguille d’une montre pendant 90 minutes afin de supprimer une mauvaise habitude. C’est dans cette idée que nous allons à l’inverse.
De plus pour ceux qui connaissement les concepts de l’hypnose thérapeutique, cela permet de créer des patterns, c’est-à-dire des schémas répétitifs que vous allez transformer avec votre INTENTION au travers du mantra.
L’intention est très utilisée dans les démarches spirituelles et aussi dans le développement personnel, elle est maîtresse de nombreux changements.
Seulement la plupart du temps, nous n’y ‘croyons’ pas, nous sommes davantage dans une dynamique d’espérance.
Pourtant l’espoir est une chose qui pour la plus grande partie du temps mène à l’échec.
L’intention est comme une flèche que l’on décoche pour aller vers le cœur de la cible. Nous y mettons tout ce que nous avons, c’est comme notre vie dans une action.
Cette énergie est cette volonté d’arriver coûte que coûte au centre. Dans le TPAction, votre intention est d’aller mieux au travers des étapes de la tolérance, de la permission et de l’acceptation.
Il est possible que vous vous sentiez de plus en plus dissocié à mesure que vous pratiquez cette méthode, restez simplement fixé sur votre mantra et vos gestes, vous verrez que rapidement vous percevrez les choses de façon très différentes. Pensez à régulièrement voir où vous en êtes de votre malaise, grâce à l’échelle.
Certaines personnes sont presque dans l’oubli, comme si elles se disaient qu’il n’y avait aucune raison pour qu’elles réagissent comme cela vis-à-vis d’un sujet.
D’autres sentent qu’il y a comme une explosion en elles, comme si une chose douloureuse venait de disparaître.
Pour d’autres encore c’est plutôt un allégement, une prise de conscience au travers de l’apaisement que cela peut procurer.
Plus vous allez l’utiliser plus vous allez vous rendre compte que les différents éléments dissonants vont disparaître facilement.
Vous n’avez pas à faire l’ensemble du processus pour arrêter. Vous allez pouvoir vous arrêter à une étape. Parfois, celle- ci prenant quelques minutes, vous n’avez pas forcément la possibilité de tout faire. Cela importe peu, baissez ce que vous pouvez baisser.

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA / Chapitre 6 : Comment Utiliser le TPA ? (Part 1)

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA
2014
Disponible sur https://goo.gl/ovXu5C
Chapitre 6 : Comment Utiliser le TPA ? (Part 1)
Nous pouvons utiliser le TPA de plusieurs façons.
Initialement lorsque je l’utilise dans ma CrossTherapy ou mon Hypnosophie, je prends soin d’observer où se trouve mon partenaire dans sa phase de travail.
Parfois mes suggestions, mes échanges ou mes questions vont mettre en avant un des aspects afin de faire prendre conscience du niveau où mon partenaire se trouve.
Les discours, les orientations thérapeutiques ne sont pas les mêmes que vous soyez dans une étape de tolérance ou d’intégration. D’ailleurs les transes de votre partenaire à ces niveaux vont également varier.
1 ère façon de l’utiliser : le CURSEUR d’étape
En faisant évoluer le système je me suis rendu compte de l’importance, pour de nombreuses personnes, de se sentir aussi actives et responsables de leurs séances, j’ai repris des principes d’utilisation des transes au travers d’une action kinesthésique.
Nous savons que les mains sont liées symboliquement à la mise en place des actions, et qu’en réflexologie il y a de nombreux points d’acupuncture.
J’ai pu observer que de nombreuses personnes qui s’angoissent vont se rassurer en se frottant ou se caressant les mains. Cette attitude naturelle a été un des points de départ de la mise en place du TPAction.
Le Travail sur les mains :
1- Masse des points d’acupression
2- Rassure
3- Met en action le partenaire
4- Symbolise la prise en main de sa vie et de sa problématique.
Cette action est importante pour travailler sur les principes connus en hypnose et dans les thérapies énergétiques.
Le TPAction est une façon de travailler sur soi et dans un second temps de réactiver des ancrages positifs en post-travail.
C’est une technique qui est utile dans de nombreux cas de figure et particulièrement dans les phases de crise. C’est une alternative à nos comportements dissonants.

A suivre
Pank

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA / Chapitre 4- Accepter

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA
2014
Disponible sur https://goo.gl/ovXu5C
Chapitre 4- Accepter

L’acceptation est une étape de pleine délivrance. Nous avons mis en place les étapes précédentes dans cet objectif-là. Lorsque nous acceptons nous ne sommes plus dans ces dynamiques culpabilisantes, colériques, tristes.
Il est tellement fréquent de rencontrer des personnes qui nous expliquent avoir accepté des situations et qui expriment dans leurs attitudes, de la colère, du mépris.
Quand j’ai étudié les programmes de Ekman sur les micros expressions, sans prendre cela comme une règle absolue, j’ai été étonné.
De nombreuses personnes lorsqu’elles parlent de leur passé pendant les consultations, expliquent qu’il n’y a pas de problèmes spécifiques sur certains événements. Pourtant quand elles en parlent, leurs expressions offrent une toute autre interprétation.
A ces moments-là, je ratifie souvent et en posant quelques questions, je m’aperçois que cette ‘acceptation’ ressemble davantage à une tolérance, voire même une étape encore plus étonnante, le déni.
C’est très souvent en commençant sur ce qui nous semble avoir été accepté que nous découvrons où nous en sommes.
Il est intéressant de nous poser plusieurs questions, ai-je vraiment accepté telle ou telle situation ? Est-ce qu’une émotion naît ? Est-ce que mon corps se tend ? Posez-vous quelques questions et observez. Vous allez être surpris du retour.
L’acceptation est comme la possibilité de se débrancher complètement d’une émotion et directement du souvenir. Pouvoir en parler sans le moindre excès émotionnel. Dans la justesse de ce qui est en nous, sans le nier, mais en l’observant sans que cela ne puisse nous affecter dans le quotidien et dans le subconscient.
Prenez un souvenir d’enfance complètement neutre comme par exemple lorsque vous alliez à l’école, vous pouvez y penser sans la moindre émotion parasite, avec une observation juste. Quand bien même vous vous y plongez complètement, vous observez que vous l’avez simplement gardé à un niveau adapté pour que votre corps, votre souffle et vos émotions soient les plus régulés possible, et cela sans le moindre effort.
C’est une sensation quasi-similaire à l’acceptation.
Il est intéressant de constater que très souvent, les personnes qui défendent intellectuellement, avec des notions logiques et conscientes leurs acceptations, sont celles qui sont encore dans le contrôle et la justification de quelque chose qui n’a pas été accepté. Elles partent du principe que parce qu’elles peuvent expliquer ou disséquer la problématique, elles peuvent accepter.
Seulement, ce n’est pas un processus intellectuel, ce n’est pas un décret. Nous ne nous levons pas un matin avec cette idée qu’aujourd’hui, nous allons tolérer les critiques de nos enfants, le harcèlement de notre patron, la colère de nos parents… Le conscient ne peut pas changer ce que le subconscient a programmé.
L’acceptation est comme une conséquence du travail qui a été mis en place en amont, Vous observerez que c’est comme un déclic, sans effort. Un élément qui vient simplement de rentrer dans un apaisement, sans se l’être imposé.
Une fois que nous admettons que l’acceptation est un point qui peut prendre du temps, parfois des années, nous pouvons facilement devenir beaucoup plus tolérants et permissifs avec nous-mêmes.
Nous avons tendance à nous mettre en compétition avec nous-mêmes dans le développement personnel, encore plus lorsque nous faisons partie d’un groupe.
Il y a cette idée que tout change rapidement et que nous acceptions, seulement parce que nous avons commencé une démarche.

Pank

Extrait de l’essai 15-Apprendre le Système TPA / Chapitre 2 : Tolérer

La tolérance, nous entendons souvent ce mot, surtout de la part de nos politiques. Il y avait une période où la tolérance zéro était de mise. Nous sommes une grande partie de notre temps dans cette démarche. Nous sommes absolument intolérants vis-à-vis de nous-mêmes.
Qui parmi vous ne se critique pas dans ses actes, ses pensées, son image ? Est-ce que vous tolérez vos erreurs, vos faiblesses, vos bassesses ?
C’est difficile comme ça de prime abord. Surtout que la société nous donne à croire que la tolérance peut être une faiblesse.
La Tolérance est la première étape après le déni. En effet, nous sommes tous persuadés que tout va bien, ou que le problème ne vient pas d’ici ou de là, mais d’une cause que nous avons clairement définie.
Il est vrai que nous sommes pleins de certitudes et encore davantage dans ce qui est notre développement personnel.
Il suffit que nous ayons suivi des thérapies ou des travaux plus méditatifs et nous sommes persuadés que nous avons trouvé la bonne voie.
Il est vrai que parfois il est assez délicat de se rendre compte qu’il y a d’autres choses à découvrir. Surtout que c’est une étape qui reste assez désagréable, particulièrement pour notre ego.
Nous avançons donc pour beaucoup d’entre nous dans cette illusion que nous savons, et que nous sommes en train de trouver les bonnes solutions, alors que parfois nous n’avons pas pris en compte un élément, que notre niveau de conscience ne peut nous permettre de percevoir.
C’est là que nous avons divers chemins pour nous rendre compte que, peut-être, il y a d’autres choses. La thérapie est une voie, la religion et la spiritualité également, les travaux personnels encore une autre. Il n’y a pas de meilleure route.
De toute façon, nous pensons tous que la notre est meilleur, plus rapide, plus juste que les autres.
Quand nous arrivons à percevoir un mal, une problématique récurrente, que nous découvrons certaines ombres, il y a souvent un refus, un malaise.

Pour autant l’étape se fait. Cependant, comme tout ce qui avance, nous pouvons également reculer. D’une perception nouvelle nous sommes tout aussi capables de retourner dans nos ‘voiles’ de consciences et de passer à autre chose.
En séance, j’aime cet instant pendant lequel, le partenaire a comme un bug, un instant où tout ce qui était tellement logique (conscient) semble basculer vers une découverte. Cet instant qui est souvent suivi d’un ‘je ne sais pas’ profond.
C’est à ces moments-là, que l’idée commence à être tolérée. La sémantique que nous utilisons souvent est ‘acceptée’. Je pense que c’est une erreur, ce début de prise de conscience n’est absolument pas une acceptation du fait ou de l’état, mais plutôt un premier pas dans la possibilité, même saugrenue, de l’existence de cette idée.
Il y a une chose étonnante dans l’utilisation de la notion de Tolérance, dans notre perception commune.
Depuis l’adolescence, je constate la même chose, quand nous disons que nous tolérons une idée, les personnes en face, sont comme indignées. En effet, l’idée de tolérer un argument, une personne, nous place dans une position plutôt haute, voire complètement supérieure. Nous, être de bon sens, estimons que telle ou telle chose peut éventuellement avoir une existence dans ce monde, mais une plus importante dans le microcosme de notre esprit.
D’ailleurs la tolérance n’est absolument pas l’acceptation.
Allez voir un activiste aux pensées radicales, il peut tolérer éventuellement l’existence lointaine d’autres pensées, mais surtout ne pas accepter ces idées.
Dans la démarche thérapeutique, cette posture haute est excellente. Comprenez bien que du néant est née la tolérance.
Certes, ce n’est pas si positif que cela pourrait sembler, en revanche, c’est déjà ouvrir une possibilité sur un travail et réussir à faire en sorte de ne pas se perdre dedans.
En effet, il arrive que des partenaires vivent de façon très brutale les prises de conscience, comme une forme de viol de l’être, comme une attaque de ce qu’ils sont dans le plus intime. D’ailleurs il y a même des abréactions possibles, et ces dernières peuvent être destructrices.

Cette distance que permet la tolérance est plutôt salvatrice. D’ailleurs lorsque nous commençons le processus de TPA avec les mains, j’ai vu des clients, pendant leur séance, ne parvenir qu’à apaiser leurs perceptions au travers de “l’effacement” en Tolérance.
J’ai eu des retours qui indiquaient que certains restaient 45 minutes, simplement pour que l’effacement par la Tolérance se fasse et que leurs niveaux émotionnels s’apaisent sur le sujet dérangeant.
Le fait de placer le client dans une dynamique de ‘supériorité’ dans sa démarche de mieux être, il ne se soumet pas à la découverte qu’il vient de faire. Il ne détruit pas ainsi l’équilibre parfois illusoire de sa vie. Il y a certains partenaires qui vont jusqu’à en rire.
La tolérance en TPA est un peu la protection qui est mise en place par le subconscient pour que le conscient ne prenne pas de plein fouet l’information.
Je signalais précédemment que très souvent nous ne passons pas dans des phases d’acceptation ou d’intégration.
C’est le cas dans certaines méthodes en thérapies brèves et en énergétique.
En effet, un travail en magnétisme sur un corps permet un principe une meilleure tolérance des éléments et des événements.
J’aime que le second sens de ‘tolérance’ puisse être la capacité d’un élément à résister à un facteur étranger.
Le corps ou l’esprit, qui est en train de vivre un changement, peut s’exprimer par des tensions, des variations de température, des larmes…
C’est une forme de prise de conscience le plus souvent corporelle.
Le traitement qui en découle offre la possibilité de mieux tolérer ce ‘virus’ intérieur et peut donner l’impression d’une guérison. Seulement, ce n’est pas parce que nous tolérons mieux des produits ‘toxiques’ que d’autres personnes, qu’il faut continuer à les prendre.
Cela reste une étape capitale pour la mise en place d’une évolution intérieure.
Il est peu important que le partenaire puisse sembler dénigrer sa problématique. Quand je dis dénigrer, c’est regarder de loin ce mal et le voir de haut.

Des expressions comme ce n’est pas grand-chose, ce n’est que ça, pas de problème, j’ai déjà travaillé dessus, sont complètement valables.
Vous savez bien qu’il ne va pas être simple de permettre son existence en soi. Parfois, de nombreuses choses devront être bougées avant que cela ne devienne possible. Il suffit d’un premier pas.

Pank

HnO Mp3 Hypnose #404 : Apprendre à s’accepter de plus en plus comme on est / Méthode TPA (200520)

Pas toujours simple de s’accepter comme on est, un petit mp3 pour quotidiennement se rendre compte qu’en fait, ca va !

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HnO Méthode TPA #7 : Travail sur les crises d’angoisse

Le TPA est un exercice simple qui peut vous aider à passer d’une transe d’angoisse à une beaucoup plus positive en quelques minutes.

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HnO Auto Hypnose : Apprendre Auto Hypnose (Part 14) / Exercice TPA (Tolérer/Permettre/Accueillir)

Voici un exercice que j’ai mis en place reprenant des notions que j’ai traité dans une autre vidéo. Je l’utilise souvent en cabinet.
La notion de Tolérer / Permettre / Accepter-Accueillir
Vous pouvez travailler avec votre partenaire en suivant les points suivants :
– Echelle de 1-10 pour noter la gêne
– Faire imaginer dans la main le problème qui s’incruste dedans
– Utiliser l’autre main pour ‘nettoyer’, ‘dissiper’, apaiser’
– Faire focaliser sur le problème avec la notion de Tolérance de son existence et des maux que ça entraînent.
– Interrompre les pattern à chaque fois que vous demander une échelle.
– Passer avec le même principe sur permettre permettre et accueillir.
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