Réflexions de Pank / Instantané #461 : La facilité du mépris

Nous avons cette expression de mépris qui fait partie de nos micromouvements, comme aime à le partager Ekman (vous savez, celui qui a été pris en référence pour les micro-expressions dans la série Lie to Me). Le mépris fait donc partie des expressions fondamentales de notre visage.

Et tout comme je vous partageais qu’il y a une difficulté à pouvoir trouver les plans de communication, il est facile de mépriser ce que les autres pensent, expriment, vivent ou partagent. Nous avons une grande facilité à mépriser, pensant dans nos microcosmes intérieurs que ce qui est produit n’a que bien peu de valeur.

Une valeur d’intelligence, une valeur d’utilité ou autre. Nous pouvons très facilement, lors d’une communication, mépriser le sujet, la façon de le présenter, pire encore quand nous considérons (ce qui est peut-être vrai) que nous avons des connaissances sur ledit sujet, ou que la façon de partager ou d’exprimer une idée sur un certain plan ne nous semble pas « juste » ou « bien faite ».

Il y a une grande facilité en nous à considérer que l’autre ne sait pas assez, ne connaît pas telle ou telle source, qu’il n’est pas assez « FOMO » (Fear Of Missing Out) pour être à jour sur la dernière hypothèse, ou simplement qu’il ne pense pas comme nous, NOUS nous considérant comme l’absolu le temps d’un échange.

Alors nous négligeons notre écoute, mais pire encore, nous ne prenons pas attention à maîtriser ce qui est en nous physiquement, émotionnellement ou intellectuellement. Nous ne mettons pas d’effort ni d’énergie, proposant un mépris par cette expression ou par des mots, des façons de répondre ou d’aborder le sujet.

Nous ne sommes pas parfaits et nous ne le serons pas. Nous avons certainement de nombreux échanges ou lectures qui ne nous conviennent pas, ou pour lesquelles nous ne sommes pas d’accord. Le mépris peut s’éveiller et je n’y vois pas de problème ; ce que je trouve dommage, c’est que nous n’utilisions pas ce signal pour juste tenter un effort et peut-être nous mettre sur un autre « plan » pour chercher à en ressortir quelque chose d’utile ou positif pour nous.

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Pank’s Reflections / Snapshot #461: The Ease of Contempt

We have this expression of contempt that is part of our micro-movements, as Ekman likes to share (you know, the one referenced for micro-expressions in the series Lie to Me). Contempt is thus one of the fundamental expressions of our face.

And just as I shared with you that there is a difficulty in finding communication plans, it is easy to despise what others think, express, live or share. We have a great facility to scorn, thinking within our inner microcosms that what is produced has very little value.

A value of intelligence, a value of utility, or anything else. We can very easily, in a communication, despise the subject, the way it is presented, or even worse when we consider (which may be true) that we have knowledge on said subject, or that the way of sharing or expressing an idea on a certain level does not seem « right » or « well done » to us.

There is a great ease in us to consider that the other person doesn’t know enough, doesn’t know such and such a source, isn’t « FOMO » enough to be up-to-date on the latest hypothesis, or simply doesn’t think like us, WE considering ourselves as the absolute during an exchange.

So, we neglect our listening, but even worse, we don’t pay attention to controlling what is within us physically, emotionally, or intellectually. We don’t put in effort or energy, offering contempt through this expression or through words, ways of responding or approaching the subject.

We are not perfect and we will not be. We certainly have many exchanges or readings that do not suit us, or with which we disagree. Contempt can awaken, and I don’t see a problem with that; what I find regrettable is that we don’t use this signal to just attempt an effort and perhaps put ourselves on another « level » to try and extract something useful or positive for us.

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Réflexions de Pank / Instantané #458 :La Vérité Approximative 

Ce matin, l’expression « vérité approximative » prononcée par un avocat en lien avec l’affaire Jubillar m’a profondément interpellé. Je me considère probablement trop absolutiste dans ma perception des choses pour accepter facilement un tel concept. Bien que je puisse concevoir que la vérité puisse varier selon les points de vue et les filtres que nous appliquons, la notion d’approximation, que j’utilise fréquemment pour décrire le fonctionnement de notre monde (particulièrement les entreprises et les États), me semble difficilement applicable, surtout dans un contexte judiciaire.

Dans ce que nous nommons justice, et qui est, elle, pleinement approximative, la capacité de décider de la vie ou de la mort d’une personne basée sur une interprétation de ce qui pourrait être une vérité, et de plus, se positionner en arbitre de l’existence ou non de cette vérité, me paraît effroyable.

Les émotions émergent rapidement lors des procès ou dans les situations quotidiennes (même chez ceux qui se veulent rationnels, la répression n’empêche pas leur présence). La vérité d’une situation se transforme alors rapidement en NOTRE vérité de cette situation, filtrée par notre vécu interne, et elle ne sera certainement pas approximative.

Elle pourra être plus ou moins intense, entrer en collision avec une rationalisation des faits ou, plus précisément, des récits. Mais ce qui est vrai ou faux pourrait rapidement quitter le cadre judiciaire pour s’inscrire dans un cadre intime où ce qui est vécu ou internalisé fait intervenir un absolu complètement injuste et interprété, s’éloignant ainsi de la vérité des faits et potentiellement du procès que nous jugeons.

Je n’aimerais pas être juré, car quoi qu’il arrive, je ne pourrais pas être objectivement juste, mais subjectivement entraîné dans une décision qui s’éloignerait des faits pour se plonger dans les récits des avocats et les méandres de mon propre esprit.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

 Be One

 Pank

The Approximate Truth: A Reflection on Justice and Subjectivity

This morning, the expression « approximate truth, » uttered by a lawyer in the Jubillar case, deeply struck me. I probably consider myself too absolutist in my perception of things to easily accept such a concept. While I can fully admit that truth can differ depending on points of view and the filters we apply, the notion of approximation, which I frequently use to describe how our world functions (especially businesses and states), seems difficult for me to assimilate, particularly in a judgment.

In what we call justice, which is itself fully approximate, the ability to decide on a person’s life or death based on an interpretation of what could be a truth, and moreover, to place oneself in the position of deciding whether this truth exists or not, seems terrible to me.

Emotions quickly arise in trials or everyday situations (even for those who claim to be mentally centered, repression does not prevent their presence). The truth of a situation quickly becomes OUR truth of that situation, filtered by what is happening within us, but clearly, it will not be approximate.

It may be more or less intense, it may collide with a rationalization of facts or rather narratives, but what is true or false could quickly no longer belong to the judicial framework in which we find ourselves, but to an intimate framework where what is experienced or rather internalized introduces a completely unjust and interpreted absolute, thus far from the truth of the facts and possibly the trial we are judging.

I would not want to be a juror, knowing that whatever happens, I would not be objectively fair but subjectively drawn into a decision that would stray from the facts and immerse itself in the narratives of the lawyers and my own mind.

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Réflexions de Pank / Instantané #456 : Les transes politiques

Je vous en avais déjà parlé il y a quelques chroniques : je suis assez intéressé par les points de vue politiques de chacun et je regarde de nombreux influenceurs politiques sur le sujet. Pour moi, si « tout peut être considéré comme politique », c’est un peu un monde théorique que les hommes et femmes politiques ne mettront jamais en place. Et si c’est le cas, on a pu voir que ça pouvait entraîner des morts, des famines et d’autres joyeuses dictatures de pensées. Ce qui est par contre intéressant pour ma petite culture politique, c’est de se rendre compte à quel point il y a des discours d’une naïveté déconcertante, que ce soit d’un côté ou de l’autre de l’échiquier politique.

Alors certes, mes écoutes sont souvent avec des militants, des personnes qui veulent changer les fonctionnements actuels. Il est peut-être nécessaire d’entrer dans une transe (une diminution du facteur de jugement) pour ne laisser ce facteur revenir que quand il y a des déclencheurs sémantiques ou comportementaux des « ennemis politiques ». Ce que nous nommons des ruptures de pattern qui déclenchent un ancrage et donc des automatismes, que ce soit de discours ou de comportements. On voit bien que quand on discute avec des passionnés politiques, il y a beaucoup de « récitation », ce que certaines éducations populaires parvenaient à construire dans les années 50 à 80 pour les populations les moins « éduquées ».

Quand on dit que l’hypnose n’est pas possible sur des masses, c’est pourtant, avec ma petite vision d’hypnothérapeute, ce que je vois dans le monde de la politique. Dans le regard des personnes qui militent, qui tiennent des discours hallucinants en positif ou négatif, en créant des explications et des faits qui n’existent pas ou en niant ce qui a pu être mis en avant par l’histoire. Je pense bien sûr aux divers massacres que les politiques ont générés et que beaucoup minimisent, souhaitent oublier ou préfèrent imaginer un futur qui lui serait différent, pourtant avec les mêmes présupposés de départ, des auteurs, des ouvrages ou des logiques économiques.

Imaginer un résultat différent avec le même processus est un peu naïf… mais les transes nous permettent de rester persuadés que nous sommes dans une « réalité »… orientée par une idée, une suggestion et… un opérateur…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #456: Political Trances

I had already mentioned it in a few previous columns: I am quite interested in everyone’s political views and I follow many political influencers on the subject. For me, if « everything can be considered political, » it’s somewhat a theoretical world that politicians will never implement. And if it were the case, we’ve seen that it could lead to deaths, famines, and other joyful thought dictatorships. What is interesting, however, for my small political culture, is to realize the extent to which there are surprisingly naive discourses, whether on one side or the other of the political spectrum.

Certainly, my listening often involves activists, people who want to change current systems. Perhaps it is necessary to enter a trance (a reduction in the judgment factor) to allow this factor to return only when there are semantic or behavioral triggers from « political enemies. » What we call pattern disruptions trigger an anchoring and thus automatisms, both in discourse and behavior. It’s clear that when discussing with political enthusiasts, there’s a lot of « recitation, » something that certain popular education programs managed to build in the 50s to 80s for the less « educated » populations.

When people say that hypnosis is not possible on masses, it is, from my small perspective as a hypnotherapist, precisely what I see in the world of politics. In the eyes of people who campaign, who deliver astonishing speeches, whether positive or negative, creating explanations and facts that do not exist or denying what history has highlighted. I am of course thinking of the various massacres that politicians have generated and that many minimize, wish to forget, or prefer to imagine a future that would be different, yet with the same initial presuppositions, authors, works, or economic logics.

Imagining a different outcome with the same process is a bit naive… but trances allow us to remain convinced that we are in a « reality »… guided by an idea, a suggestion, and… an operator…

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions martiales d’un Hypnofighter #436 : La stratégie, un paramètre difficile

Nous savons que, pour les professionnels ou les athlètes qui souhaitent remporter des compétitions de haut niveau, le succès ne repose plus uniquement sur les meilleures performances pugilistiques, mais souvent sur une meilleure compréhension et utilisation des règles ou des jugements possibles.

J’ai assisté à l’ARES et, en visionnant l’UFC le lendemain, je me suis dit que parfois, les combattants sont trop belliqueux pour un sport de combat. Certes, c’est génial si l’on parvient à mettre son adversaire KO dès le premier round ou à le projeter plusieurs fois pour le contrôler et prouver une domination physique.

Cependant, cela part du postulat que ce qui sera attendu ou perçu par les spectateurs comme du spectacle – des frappes lourdes, des contres qui mènent au KO, une superbe souplesse et autres – n’est pas forcément une bonne stratégie. Un combat compte entre trois et cinq rounds, et il faut potentiellement tenir jusqu’à la fin.

C’est là que le problème peut survenir. Voir deux combattants épuisés dès le troisième round ne satisfait pas les spectateurs, et surtout, pour les combattants, cela devient très compliqué à gérer. Tout devient plus difficile à rendre efficace, et il y a en plus une diminution cognitive qui fait que les stratégies pour marquer des points ou gagner la faveur des juges deviennent de plus en plus absentes.

Quand on parle d’intelligence de combat, il s’agit paradoxalement de ne pas être le meilleur combattant s’il n’y avait pas de limite de temps ou d’arbitre. Dans un cadre donné, pendant un temps déterminé, il y a des conventions, des critères à remplir pour aller vers la victoire s’il n’y a pas de finalisation avant.

Et nous le constatons, des événements comme l’UFC Paris avec beaucoup de KO et de soumissions restent rares. Il faut très souvent aller chercher la décision, là où ce qui compte n’est pas forcément l’agressivité et où le côté violent compte le plus, là où nous pouvons tous être choqués des résultats, là où le combat se joue sur des critères qui parfois s’éloignent même de l’idée du combat.

C’est aux athlètes de savoir ce qu’ils font. Ce n’est pas la guerre, mais un combat avec des règles et des fonctionnements spécifiques, qu’ils doivent prendre en compte comme un ensemble de techniques à acquérir.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One, Pank https://www.passioncombat.net/


Martial Reflections of a Hypnofighter #436: Strategy, a Difficult Parameter

We know that for pros or athletes who want to win high-level competitions, success is no longer necessarily about the best pugilistic performances, but often about a better understanding and use of the rules or possible judgments.

I attended ARES and, watching the UFC the next day, I told myself that sometimes fighters are too bellicose for a combat sport. Yes, it’s great if you manage to knock out your opponent in the first round or repeatedly throw them to control and prove physical dominance.

However, that’s based on the assumption that what will be expected or seen by spectators as a spectacle—heavy strikes, counters leading to a KO, superb flexibility, and so on—might not be a good strategy. There are between three and five rounds, and you potentially have to last until the end.

This is where the problem can arise. Seeing two exhausted fighters by the third round doesn’t satisfy the spectators, and especially for the fighters, it becomes very difficult to manage. Everything becomes harder to execute effectively, and there’s also a cognitive decline that often makes the strategies for scoring points or winning over the judges increasingly absent.

When we talk about combat intelligence, it’s paradoxically not about being the best fighter if there were no time limit or referee. In a given setting, for a determined time, there are conventions, checklists to complete to move towards victory if there is no early finish.

And we see it, events like UFC Paris with many KOs and submissions remain rare. Very often, you have to go for a decision, where what counts is not necessarily aggression and where the violent side matters most, where we can all be shocked by the results, where the fight is played out on criteria that sometimes even move away from the idea of combat.

It’s up to the athletes to know what they are doing. This is not war, but a fight with specific rules and functions, which they must take into account as a set of techniques to acquire.

Take what is good and right for you.

Be One, Pank https://www.passioncombat.net/

Réflexions de Pank / Instantané #372 : Je pouvais mais je n’avais pas envie

L'auteur revient sur le titre de son premier essai, "Je pouvais mais je n'avais pas envie", pour explorer la nature de l'expérience hypnotique. Il décrit une sensation où la capacité d'agir persiste, mais l'autonomie de la volonté semble diminuée, entraînant une plus grande facilité à suivre les suggestions de l'opérateur. Cette diminution du "facteur de jugement" est analysée en lien avec le consentement, notamment à travers des exemples tirés du livre "Anatomie d'une prédation", soulignant le risque de distorsion dans cet état de conscience. L'hypnose indirecte, basée sur les métaphores, est présentée comme une approche qui respecte l'interprétation personnelle. L'article conclut sur l'idée que l'hypnose n'annule pas le consentement mais peut en altérer temporairement le processus.

Il y a maintenant 13 ans, lors de l’écriture de mon premier essai, j’avais choisi ce titre : « Je pouvais mais je n’avais pas envie ». Cela décrivait pour moi au mieux ce qu’est une expérience hypnotique. Cette sensation que, bien qu’à aucun moment nous ne perdions totalement notre pouvoir (et cela peut varier selon les niveaux d’hypnotisabilité), nous n’avons plus l’intention, je dirais l’autonomie de « vouloir » quelque chose.

Pourquoi cela ? Simplement parce que nous sommes dans le « pace », nous suivons le meneur, le leader, c’est-à-dire l’opérateur. C’est pour cette raison que j’apprécie cette idée de contournement du facteur critique, que je traduis souvent par une diminution du facteur de jugement. En somme, c’est comme si nous « devions » choisir parmi de nombreuses possibilités, mais que nous trouvions plus simple de laisser l’autre choisir à notre place, parce que nous n’avons pas spécialement « d’envie » et que tout semble nous convenir.

Et pour reprendre ce que je partageais dans le live d’hier (https://chk.me/lrb7Rt4), c’est ce qui explique une possible distorsion du consentement. Nous l’avons lu dans le livre Anatomie d’une prédation avec des phrases du type : « Je ne me vois pas dire non/refuser » et puis une rationalisation (car je vous rappelle que notre cerveau n’aime pas l’incohérence, et dans le cadre d’une agression, quelle qu’en soit la forme, le fait de ne pas se défendre impose une réponse, dans ces cas : « il a été gentil, sympathique, sécurisant, attentif, avenant, etc. »).

Il y a donc, à ce moment-là dans la transe, cette sensation qu’il est plus « facile » de suivre la suggestion. Certes, ce n’est pas absolu, surtout lorsque cette dernière est trop inquisitrice ou s’oppose à nos valeurs. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’hypnose indirecte travaille sur le principe des métaphores pour entraîner vers ce qui est souhaité sans l’imposer, parce qu’il y a un « espace de création » personnel pour interpréter ce qui est dit et suggéré.

Si la distorsion hypnotique n’est pas un bouton marche/arrêt du consentement, elle fait sauter pendant un moment le fusible qui empêche d’avoir un retour immédiat, ce qui fait que dans cet espace… l’autre continue son débit de suggestions ou… d’actions…

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #372: I Could But I Didn’t Want To

Thirteen years ago, when I wrote my first essay, I chose the title: « I could but I didn’t want to. » For me, this best described what a hypnotic experience could be. It’s that feeling that, although at no point do we completely lose our power (and this can vary depending on levels of hypnotizability), we no longer have the intention, I would say the autonomy, to « want » something.

Why is that? Simply because we are in « pace, » we follow the leader, the operator. It is for this reason that I appreciate this idea of bypassing the critical factor, which I often retranslate as a decrease in the judgment factor. In essence, it’s as if we « should » choose from many possibilities, but we find it simpler to let the other person choose for us, because we don’t particularly « want » anything and everything seems fine with us.

And to revisit what I shared in yesterday’s live stream (https://chk.me/lrb7Rt4), this explains a possible distortion of consent. We read about it in the book Anatomy of a Predation with phrases like: « I can’t see myself saying no/refusing » and then a rationalization (because I remind you that our brain doesn’t like inconsistency, and in the context of aggression, whatever its form, not defending oneself requires a response, in these cases: « he was kind, friendly, reassuring, attentive, helpful, etc. »).

So, at that moment in the trance, there is this feeling that it is « easier » to follow the suggestion. Of course, this is not absolute, especially when the latter is too inquisitive or goes against our values. It is for this reason that indirect hypnosis works on the principle of metaphors to lead towards what is desired without imposing it, because there is a personal « space of creation » to interpret what is said and suggested.

If hypnotic distortion is not an on/off switch for consent, it temporarily blows the fuse that prevents immediate feedback, which means that in this space… the other person continues their stream of suggestions or… actions…

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HnO Hypnosophie #909 : Jugez vous, estimez vous et valorisez vous.

Il est fréquent que beaucoup de personnes vivent mal le jugement que les autres ont sur elles. Une des solutions est de travailler sur l’estime de soi et la valorisation.

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Hypnosophie #572 :Jugeons mes amis (ou mes ennemis), Jugeons !

C’est mal le jugement … et alors ?

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HnO Hypnosophie #428 : Le jugement , une problématique de fond.

Il y a quelques temps, je vous proposais de juger pour laisser toujours cette capacité critique se développer, et éviter les transes ouvertes que d’autres pourraient exploiter. Aujourd’hui je vous propose une autre facette , celle de la gestion du jugement.

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HnO Hypnosophie #422 : Osez devenir fou/hors norme pour sortir du poids des jugements.

Je reprends une idée que je trouve assez juste de Bandler, qui est d’oser être fou , de vivre notre facette hors norme pour se libérer de beaucoup de choses et notamment de cette sensation de jugement des autres.

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HnO Auto Hypnose / Apprendre l’Auto Hypnose #51 : L’hallucination hypnotique pour gérer le jugement

Un exercice possible si vous avez cette sensation que les autres ou le monde extérieur vous jugent sans cesse et vous empêchent d’être vous mêmes.

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