Réflexions de Pank / Instantané #443 : L’importance de l’influence

Nous pouvons voir, avec des affaires comme celle de France Inter ou le rachat des médias pour orienter les lignes éditoriales, que le monde est orienté par une force que l’on ne peut pas voir et qui est niée lorsque l’on tente de la mettre en lumière.

L’influence opère à travers différents soft powers et divers liens ou personnes placés dans des structures qui vont, sans vagues et dans l’obscurité, mener les décideurs, tout comme les votants, à aller là où on les a conditionnés.

Ce qui est complexe dans cette manipulation discrète, c’est que, comme dans les séances d’hypnose avec les personnes qui se mettent en « résistance », la rationalisation des événements ou des comportements, ainsi que nos biais, vont donner des raisons à nos discours ou à nos comportements.

Pourtant, nous ne décidons que très peu. Je ne parle même pas de ce qui est déjà biologiquement et hormonalement déterminé, ce qui nous entraînera déjà dans des vies écrites d’avance. Si on y ajoute les déterminants sociaux, il ne nous reste que peu de « temps de cerveau disponible » pour savoir si réellement ce que nous décidons, nous le décidons par nous-mêmes ou si nous sommes influencés par autre chose.

Cela peut être la famille, les amis, les collègues, la publicité ou les médias sociaux. Observer nos attitudes, nos façons de penser, de nous habiller et tout simplement de vivre, peut nous interroger sur nos libertés de choix.

Alors, dire que des médias publics ou privés sont pleins d’idéologie, que les personnes y travaillant soient influencées ou influenceuses, nous amène juste à une possible influence pour nous focaliser sur des choses que tout le monde sait déjà, et peut-être à ne pas nous concentrer sur des choses que l’on peut un peu plus maîtriser : nous-mêmes.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
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 Pank’s Reflections / Snapshot #443: The Importance of Influence

We can see, with affairs like that of France Inter or the buyout of media outlets to orient editorial lines, that the world is guided by a force that we cannot see and which is denied when we try to bring it to light.

Influence operates through various forms of soft power and different connections or individuals placed in structures that will, without making waves and in the dark, lead decision-makers, as well as voters, to go where they have been conditioned.

What is complex about this discreet manipulation is that, just like in hypnosis sessions with people who « resist, » the rationalization of events or behaviors, along with our biases, will give reasons for our discourse or our actions.

However, we decide very little. I’m not even talking about what is already biologically and hormonally determined, which already leads us into pre-written lives. If we add social determinants, we are left with little « available brain time » to know if what we decide, we are truly deciding it ourselves or if we are influenced by something else.

This could be family, friends, colleagues, advertising, or social media. Observing our attitudes, our ways of thinking, dressing, and simply living, can make us question our freedom of choice.

So, to say that public or private media are full of ideology, that the people working there are influenced or influencers, just leads us to a possible influence to focus on things that everyone already knows, and perhaps not to concentrate on things that we can control a little more: ourselves.

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #408 : Voir les Progrès

Ce texte explore la philosophie d'enseignement d'un professeur d'arts martiaux qui privilégie l'observation et la correction plutôt que la louange excessive. L'auteur met en lumière l'importance de la progression personnelle de l'élève, visible à travers la pratique (randori) et les reconnaissances formelles (grades, stripes), tout en soulignant le rôle de l'enseignant comme guide et la fierté de l'apprenant face à ses propres avancées, souvent aidé par ses pairs.

Je ne suis pas un professeur qui félicite beaucoup, à tel point qu’on pourrait se demander ce que je trouve bien. C’est une erreur dans l’enseignement, pourtant j’ai l’impression que rapidement la verbalisation des éléments positifs peut mener à des abus sémantiques qui me dérangent.

Je pars du principe qu’en partageant ses modestes connaissances, le professeur est là comme un accompagnant, un observateur qui va corriger, orienter pour arriver à une forme ou une technique. Son rôle n’est pas de satisfaire l’enseignant, mais d’offrir à l’apprenant cette sensation que des choses progressent, avancent.

Cette réalité se voit dans le randori, dans la compréhension de plus en plus fine du système. Les grades sont des reconnaissances, des félicitations pour ce qui est accompli, et même aujourd’hui les « stripes » sont un élément qui exprime une avancée, une preuve de progrès.

Nous savons que parfois nous avons l’impression d’être illégitimes, que nous ne sommes pas ce que nous aurions aimé être à tel ou tel grade, et c’est là que l’enseignant valide, par un simple acte de remise de grade.

Et puis il y a ces périodes d’observation, en fin de saison, où l’on peut regarder où en sont les apprenants. Voir ce qu’ils ont pu mettre en place pendant des mois au travers des combats. Voir qu’au travers des randoris, il y a plus de structure, de confiance, simplement du progrès.

C’est un plaisir pour les étudiants, comme si une nouvelle compétence devenait leur. En tant que prof, je sais que je ne joue pas un rôle majeur dans la démarche ; je partage de la technique, mais ce sont eux qui répètent et appliquent. Alors ces avancées leur appartiennent, ainsi qu’aux coéquipiers qui les ont aidés consciemment et inconsciemment.

Cela nous rappelle que l’on avance pour soi et sa pratique, pour rien d’autre. Une voie personnelle, même si accompagnée.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Martial Reflections of a Hypnofighter #408: Seeing Progress

I am not a professor who praises much; one might even wonder what I find good. This is a mistake in teaching, yet I have the impression that quickly verbalizing positive elements can lead to semantic abuses that bother me.

I start from the principle that by sharing their modest knowledge, the professor is there as a guide, an observer who will correct, orient to achieve a form or a technique. Their role is not to satisfy the teacher, but to offer the learner the feeling that things are progressing, moving forward.

This reality is seen in randori, in the increasingly subtle understanding of the system. Grades are recognitions, congratulations for what has been achieved, and even today, « stripes » are an element that expresses advancement, proof of progress.

We know that sometimes we feel illegitimate, that we are not what we would have liked to be at a certain rank, and that’s where the teacher validates, through a simple act of awarding a grade.

And then there are these observation periods, at the end of the season, where one can see where the learners are. To see what they have been able to implement over months through sparring. To see that through randoris, there is more structure, more confidence, simply progress.

It’s a pleasure for the students, as if a new skill became their own. As a teacher, I know I don’t play a big part in the process; I share techniques, but they are the ones who repeat and apply. So these advancements belong to them, as well as to the teammates who consciously and unconsciously helped them.

This reminds us that we progress for ourselves and our practice, for nothing else. A personal path, even if accompanied.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #372 : Je pouvais mais je n’avais pas envie

L'auteur revient sur le titre de son premier essai, "Je pouvais mais je n'avais pas envie", pour explorer la nature de l'expérience hypnotique. Il décrit une sensation où la capacité d'agir persiste, mais l'autonomie de la volonté semble diminuée, entraînant une plus grande facilité à suivre les suggestions de l'opérateur. Cette diminution du "facteur de jugement" est analysée en lien avec le consentement, notamment à travers des exemples tirés du livre "Anatomie d'une prédation", soulignant le risque de distorsion dans cet état de conscience. L'hypnose indirecte, basée sur les métaphores, est présentée comme une approche qui respecte l'interprétation personnelle. L'article conclut sur l'idée que l'hypnose n'annule pas le consentement mais peut en altérer temporairement le processus.

Il y a maintenant 13 ans, lors de l’écriture de mon premier essai, j’avais choisi ce titre : « Je pouvais mais je n’avais pas envie ». Cela décrivait pour moi au mieux ce qu’est une expérience hypnotique. Cette sensation que, bien qu’à aucun moment nous ne perdions totalement notre pouvoir (et cela peut varier selon les niveaux d’hypnotisabilité), nous n’avons plus l’intention, je dirais l’autonomie de « vouloir » quelque chose.

Pourquoi cela ? Simplement parce que nous sommes dans le « pace », nous suivons le meneur, le leader, c’est-à-dire l’opérateur. C’est pour cette raison que j’apprécie cette idée de contournement du facteur critique, que je traduis souvent par une diminution du facteur de jugement. En somme, c’est comme si nous « devions » choisir parmi de nombreuses possibilités, mais que nous trouvions plus simple de laisser l’autre choisir à notre place, parce que nous n’avons pas spécialement « d’envie » et que tout semble nous convenir.

Et pour reprendre ce que je partageais dans le live d’hier (https://chk.me/lrb7Rt4), c’est ce qui explique une possible distorsion du consentement. Nous l’avons lu dans le livre Anatomie d’une prédation avec des phrases du type : « Je ne me vois pas dire non/refuser » et puis une rationalisation (car je vous rappelle que notre cerveau n’aime pas l’incohérence, et dans le cadre d’une agression, quelle qu’en soit la forme, le fait de ne pas se défendre impose une réponse, dans ces cas : « il a été gentil, sympathique, sécurisant, attentif, avenant, etc. »).

Il y a donc, à ce moment-là dans la transe, cette sensation qu’il est plus « facile » de suivre la suggestion. Certes, ce n’est pas absolu, surtout lorsque cette dernière est trop inquisitrice ou s’oppose à nos valeurs. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’hypnose indirecte travaille sur le principe des métaphores pour entraîner vers ce qui est souhaité sans l’imposer, parce qu’il y a un « espace de création » personnel pour interpréter ce qui est dit et suggéré.

Si la distorsion hypnotique n’est pas un bouton marche/arrêt du consentement, elle fait sauter pendant un moment le fusible qui empêche d’avoir un retour immédiat, ce qui fait que dans cet espace… l’autre continue son débit de suggestions ou… d’actions…

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #372: I Could But I Didn’t Want To

Thirteen years ago, when I wrote my first essay, I chose the title: « I could but I didn’t want to. » For me, this best described what a hypnotic experience could be. It’s that feeling that, although at no point do we completely lose our power (and this can vary depending on levels of hypnotizability), we no longer have the intention, I would say the autonomy, to « want » something.

Why is that? Simply because we are in « pace, » we follow the leader, the operator. It is for this reason that I appreciate this idea of bypassing the critical factor, which I often retranslate as a decrease in the judgment factor. In essence, it’s as if we « should » choose from many possibilities, but we find it simpler to let the other person choose for us, because we don’t particularly « want » anything and everything seems fine with us.

And to revisit what I shared in yesterday’s live stream (https://chk.me/lrb7Rt4), this explains a possible distortion of consent. We read about it in the book Anatomy of a Predation with phrases like: « I can’t see myself saying no/refusing » and then a rationalization (because I remind you that our brain doesn’t like inconsistency, and in the context of aggression, whatever its form, not defending oneself requires a response, in these cases: « he was kind, friendly, reassuring, attentive, helpful, etc. »).

So, at that moment in the trance, there is this feeling that it is « easier » to follow the suggestion. Of course, this is not absolute, especially when the latter is too inquisitive or goes against our values. It is for this reason that indirect hypnosis works on the principle of metaphors to lead towards what is desired without imposing it, because there is a personal « space of creation » to interpret what is said and suggested.

If hypnotic distortion is not an on/off switch for consent, it temporarily blows the fuse that prevents immediate feedback, which means that in this space… the other person continues their stream of suggestions or… actions…

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #339 : Quand la surprotection parentale engendre la « cancel culture »

Pour ceux qui étaient présents lors du live d’hier au sujet de « The Anxious Generation », je vous partageais le lien de cause à effet, pas nécessairement intuitif, qui aboutit à des critiques de la part de la génération qui l’a initié.

Les générations X et Y, qui ont éduqué la génération Z, se plaignent de leurs « safe spaces » et de la « cancel culture », phénomènes principalement observés sur les campus et lors de rencontres avec des intellectuels de diverses tendances. Cependant, si les membres de la génération Z sont en quête de sécurité, et plus encore, de protection vis-à-vis de l’autre, des idées, de l’opposition ou de la frustration, ils ne font que reproduire le schéma des parents hélicoptères.

Si les parents n’avaient pas surexploité les outils de protection, préférant parfois les enfants devant un écran plutôt que dehors à jouer dans un monde perçu comme « dangereux », si le smartphone n’était pas devenu un outil de surveillance pour contrôler où, quand et comment l’enfant ou l’adolescent vit, la situation serait différente.

Si, au lieu de servir de taxi ou de se plier aux désirs de leurs enfants, les parents les avaient laissés se débrouiller, prendre les transports en commun et vivre des expériences dans le monde réel, ces jeunes auraient pu développer une antifragilité. Or, comme le souligne Haidt, depuis le milieu des années 95 et plus encore aujourd’hui, les parents ont surdéveloppé la protection.

Par conséquent, lorsque les adolescents deviennent adultes et se retrouvent « autonomes » dans des groupes humains pas forcément bienveillants, voire opposés à leur personne, leurs idées, leurs actes ou leurs valeurs, ils n’ont qu’une réaction naturelle : se plaindre à l’autorité pour retrouver une protection.

Il existe une différence entre redonner confiance, apaiser et procurer un sentiment de sécurité, et surprotéger, voire se substituer à l’enfant. Notre génération de parents doit assumer ce dont elle se plaint, car elle est co-responsable des fonctionnements progressistes actuels, tant dans leurs aspects positifs que négatifs.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

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Pank’s Reflections / Snapshot #339: When Overprotective Parenting Leads to Cancel Culture

For those who were on the live yesterday about « The Anxious Generation », I was sharing with you the cause-and-effect relationship, not necessarily intuitive, which leads to criticism from the generation that initiated it.

Generations X and Y, who raised Gen Z, complain about their « safe spaces » and « cancel culture », phenomena mainly observed on campuses and during encounters with intellectuals of various persuasions. However, if Gen Z members are seeking security, and even more, protection from others, ideas, opposition or frustration, they are only replicating the pattern of helicopter parents.

If parents hadn’t overused protective tools, sometimes preferring children in front of a screen rather than outside playing in a world perceived as « dangerous », if the smartphone hadn’t become a surveillance tool to control where, when and how the child or teenager lives, the situation would be different.

If, instead of serving as a taxi or bending to their children’s desires, parents had let them fend for themselves, take public transportation and have experiences in the real world, these young people could have developed antifragility. However, as Haidt points out, since the mid-90s and even more so today, parents have overdeveloped protection.

Therefore, when teenagers become adults and find themselves « autonomous » in human groups that are not necessarily benevolent, or even opposed to their person, their ideas, their actions or their values, they have only one natural reaction: to complain to authority to regain protection.

There is a difference between restoring confidence, calming and providing a sense of security, and overprotecting, or even substituting for the child. Our generation of parents must take responsibility for what they complain about, because they are co-responsible for current progressive behaviors, both in their positive and negative aspects.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Pank Hypnosophie #1020 : Valoriser votre posture Adulte et éviter de rester Adulescent.

La posture Adulte est une des plus grande chance que nous ayons pour mettre en place des projets et avancer dans nos vies. Faites attention par ce qui vous infantilise.

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Adulte #Autonomie #Responsabilité #Stabilité #Transe #hypnose #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #Psychologie

Réflexions de Pank / Instantané #313 : La complexité du Moi et du Nous

Cette réflexion explore la complexité de trouver un équilibre entre le développement personnel et les responsabilités envers le groupe. Comment s’exprimer pleinement sans perturber le collectif tout en respectant le bien commun ? Une approche nuancée du rapport entre individualité et société.

Il est complexe de répondre à cette injonction contradictoire, très occidentale et contemporaine : il faut se centrer sur soi-même et réussir, tout en prenant en compte les autres, la société et le groupe.

Nous ne sommes pas plus importants que le groupe, et pourtant, le développement de l’individualisme et l’illusion de notre autonomie, renforcés par les outils modernes, nous font parfois agir comme si nous étions les seuls acteurs dans toutes les situations. Cependant, ce n’est pas aussi simple.

La société fonctionne parce que nous acceptons des droits et des obligations avec des codes communs qui visent à fluidifier les interactions. Ces codes définissent des possibles et des limites, offrant un éventail de réponses individuelles dans nos relations avec les autres. Sur le plan juridique, le bien commun prime souvent sur les droits individuels. Par exemple, si ta maison se trouve sur un futur axe routier, elle pourra être détruite dans l’intérêt collectif.

Individuellement, nous avons tous le devoir de prêter attention aux autres, d’éviter les accidents et de contribuer à une vie quotidienne plus fluide. Paradoxalement, nous ne devons pas nous oublier complètement : il est essentiel d’oser exprimer qui nous sommes dans les différents domaines de notre vie.

Nous avons le droit d’être nous-mêmes et de ne pas ressentir de stress à exister, même si cela dérange un autre Moi. La limite se situe peut-être là où notre propre Moi perturbe un groupe suffisamment large pour bloquer un système qui, dans l’intérêt collectif, se doit de rester fluide. Alors, combien de Moi pouvons-nous déranger sans nous nuire, ni nuire au groupe ?

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Reflections of Pank / Snapshot #313: The Complexity of the Self and the Group

It is complex to address this contradictory, highly Western, and modern injunction: focus on yourself and succeed, while also considering others, society, and the group.

We are not more important than the group, and yet, the rise of individualism and the illusion of our autonomy, reinforced by modern tools, sometimes makes us act as if we are the only ones in every situation. However, it’s not that simple.

Society functions because we accept rights and obligations governed by shared codes designed to facilitate interactions. These codes define possibilities and limits, offering a range of individual responses in relation to others. Legally, the common good often outweighs individual rights. For example, if your house is on a planned road development, it may be demolished in the interest of the collective.

Individually, we all have a duty to pay attention to others, prevent accidents, and foster ease in daily life. Paradoxically, we must not completely forget ourselves: it is essential to dare to express who we are in various areas of life.

We have the right to be ourselves and not stress about existing, even if it disturbs another Self. The boundary likely lies where our Self disrupts a group large enough to block a system that, in the collective interest, should remain fluid. So, how many Selves can we disrupt without harming ourselves or the group?

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #287 : La politique et l’influence dans le monde associatif

Cet article examine les conflits politiques et financiers au sein des fédérations sportives, en particulier entre le Judo et le Jiu-Jitsu brésilien. Il met également en lumière le rôle historique de la Lutte dans le blocage de l’ascension du Judo, un schéma qui se répète aujourd’hui pour les disciplines émergentes.

Les grandes fédérations sportives exercent une influence considérable, parfois jusqu’au niveau ministériel. Le budget consacré au sport est souvent le deuxième ou le troisième poste de dépense dans les municipalités. Il n’est donc pas surprenant que, derrière l’apparence bienveillante des associations et des dojos, se cache un monde marqué par des luttes de pouvoir et des enjeux financiers.

Actuellement, l’académie GFT de Bourg-la-Reine (92), dirigée par Kenji Matsushima et Reda Hamzaoui, est au cœur d’un conflit associatif. Comme souvent, les valeurs mises en avant servent davantage d’image de façade que de véritable fondement. Le Judo et sa fédération, cinquième de France en termes de licenciés, en est un exemple frappant. Les rapports de la Cour des comptes de 2021 ont révélé des détournements de subventions, auxquels s’ajoutent des scandales tels que des affaires d’agressions.

Dans une démarche visant à autonomiser leur section de Jiu-Jitsu brésilien (BJJ), les dirigeants de la GFT ont tenté de se séparer du Judo. Sans surprise, la perte de 150 cotisations annuelles, représentant plusieurs centaines d’euros chacune, a suscité des réactions.

Au lieu de régler la situation dans l’esprit de Jigoro Kano, basé sur la pédagogie et la négociation, des méthodes plus obscures ont été employées : influence locale et fédérale visant à interdire la pratique de l’équipe dissidente, devenue la « némésis » de la section Judo.

Les arts martiaux modernes, comme le BJJ (sous la FFJudo) ou le MMA (sous la FFBoxe), attirent les fédérations dominantes pour les bénéfices qu’ils rapportent. Cependant, à une autre époque, c’est la Lutte qui avait bloqué l’ascension du Judo, freinant son autonomie et sa reconnaissance. Aujourd’hui, ces mêmes blocages se reproduisent avec les nouveaux entrants dans les milieux municipaux et ministériels. Les sections influentes protègent leur part de marché en bloquant souvent l’ascension de sports émergents.

Force et courage à tous les passionnés qui risquent de se retrouver sans dojo face à ces enjeux financiers et politiques.

Bjj #Judo #Jiujitsu #fédération #politique

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,
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Martial Reflections of a Hypnofighter #287: Politics and Influence in the Associative World

Major sports federations wield significant influence, sometimes extending to ministerial levels. Sports budgets are often the second or third largest municipal expense. It is therefore unsurprising that, behind the benevolent appearance of associations and dojos, lies a world marked by power struggles and financial stakes.

Currently, the GFT academy in Bourg-la-Reine (92), led by Kenji Matsushima and Reda Hamzaoui, is at the center of an associative conflict. As often happens, values highlighted are more a façade than a true foundation. Judo and its federation, the fifth largest in France by membership, exemplify this. The 2021 report from the French Court of Auditors revealed subsidy embezzlement, alongside scandals like assault cases.

In a bid to gain autonomy for their Brazilian Jiu-Jitsu (BJJ) section, GFT leaders attempted to break away from Judo. Predictably, the loss of 150 annual memberships, each worth several hundred euros, sparked reactions.

Rather than resolving the situation in the spirit of Jigoro Kano—with pedagogy and negotiation—darker methods were employed: local and federal influence to ban the dissident team from practicing, now seen as the nemesis of the Judo section.

Modern martial arts like BJJ (under FFJudo) or MMA (under FFBoxe) attract dominant federations for the financial benefits they bring. However, in the past, it was Wrestling that blocked Judo’s rise, hindering its autonomy and recognition. Today, similar barriers are being imposed on newcomers within municipal and ministerial circles. Influential sections protect their market share by blocking the rise of emerging sports.

Strength and courage to all enthusiasts who may find themselves without a dojo due to these financial and political stakes.

Bjj #Judo #Jiujitsu #federation #politics

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Réflexions de Pank / Instantané #205 : Voir l’autre comme indépendant

Il nous arrive parfois de souhaiter exercer une influence, voire un pouvoir, sur les personnes que nous rencontrons, y compris les parents vis-à-vis de leurs enfants. Il est en effet stimulant de penser que nous pouvons orienter des points de vue et des comportements. Toutefois, le risque est que, si nous y parvenons, cette influence puisse devenir de plus en plus fréquente et systématique.

Lorsque cela se produit, nous risquons de tomber dans une forme de monomanie du contrôle, désirant avoir une emprise sur tout ce qui se passe dans notre vie et sur toutes les personnes qui nous entourent. Dans la vidéo que j’ai partagée ce matin, j’abordais la facilité avec laquelle nous pouvons objetiser les personnes à nos côtés.

Nous pouvons être tentés de les utiliser comme des outils pour en tirer un bénéfice, une sorte de « retour sur investissement ». Cependant, l’autre, cet individu à nos côtés qui peut être notre collègue, notre ami ou un membre de notre famille, n’est pas simplement un réceptacle pour nos attentes. Bien qu’il puisse exister des liens de filiation ou de subordination dans certains cadres, dans la vie quotidienne, ces personnes n’ont aucune obligation de se conformer à nos désirs.

Si nous partons du principe que l’autre est libre d’accepter ou de refuser, de suivre ou non, cela établit une dynamique radicalement différente. Nous ne chercherons plus à influencer ou à diriger sans prendre en compte les besoins de l’autre. Au contraire, nous adopterons une posture d’écoute et d’attention.

Nous devons également envisager la possibilité que l’autre refuse, adhère puis se rétracte. Il nous faut alors être prêts à proposer des alternatives. En adoptant cette attitude, prêts à nous adapter aux réponses de l’autre sans chercher à l’utiliser mais plutôt à apprendre de lui, nous ouvrons de nouvelles perspectives dans nos relations et dans notre propre développement personnel.

#indépendance #autonomie #liberté #influence #manipulation

Be one,

Pank

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Reflections from Pank / Snapshot #205: Seeing the Other as Independent

Sometimes we may wish to influence, or even have power over, the people we meet, including parents in relation to their children. It is indeed stimulating to think that we can shape viewpoints and behaviors. However, the risk is that if we succeed, this influence may become increasingly frequent and systematic.

When this happens, we risk falling into a kind of control monomania, wanting to have a grip on everything that happens in our life and on all the people around us. In the video I shared this morning, I discussed how easy it can be to objectify the people alongside us.

We might be tempted to use them as tools to derive some benefit, a sort of « return on investment. » However, the other person, this individual beside us who may be our colleague, our friend, or a family member, is not just a receptacle for our expectations. Although there may be ties of kinship or subordination in certain contexts, in everyday life, these people have no obligation to conform to our desires.

If we start from the principle that the other is free to accept or refuse, to follow or not, it establishes a radically different dynamic. We will no longer seek to influence or lead without considering the needs of the other. Instead, we will adopt a posture of listening and attention.

We must also consider the possibility that the other may refuse, agree then retract. We then need to be ready to offer alternatives. By adopting this attitude, ready to adapt to the responses of the other without seeking to use them but rather to learn from them, we open up new perspectives in our relationships and in our own personal development.

#independence #autonomy #freedom #influence #manipulation

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HnO Hypnosophie #828 : Donner un nouveau rdv ou pas en fin de session ? Une question à se poser.

Comme tous les ans, je réfléchis à mon cadre de travail et en l’occurrence sur le nombre de sessions « imposées » ou la liberté de revenir au feeling.

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HnO Éducation Auto Amour /Philautia #93 : Ne pas sauver le « On », être autonome pour être, avec.

HnO Éducation Auto Amour /Philautia #93 : Ne pas sauver le « On », être autonome pour être, avec.

Nous pouvons dans des binômes ou des groupes sociaux vouloir au travers d’empathie qui se transforme en sympathie, vouloir sauver l’entité à la place de juste se centrer sur soi avec justesse.

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