Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #400 : Faire d’une académie un lieu d’évolution

Cet article explore la vision d'une académie d'arts martiaux comme un lieu d'évolution personnelle et sociale, au-delà de la simple performance sportive. S'inspirant des philosophies de fondateurs d'arts martiaux, l'auteur critique l'obsession de la reconnaissance et du succès matériel, illustrée par des figures controversées, et plaide pour des dojos qui cultivent l'esprit, l'empathie et les valeurs humaines, formant ainsi des citoyens solides et positifs.

Hier, j’ai écouté l’excellente interview de Johnny Frachey sur RMC et j’ai beaucoup aimé quand il expliquait que l’US Metro, c’est plus qu’un centre d’entraînement. C’est un espace de formation pour les jeunes générations, que ce soient ceux qui veulent devenir des champions ou simplement se développer au travers des sports de combat.

Nous sommes dans une ère où l’on peut reprendre les intentions de Kano Jigoro, de So Doshin, voire de Mas Oyama, celles de former des hommes et des femmes qui, au-delà des arts martiaux, seront des personnes positives pour elles-mêmes, pour leur entourage, puis pour la société de façon générale.

C’est bien de savoir se défendre ou de gagner des coupes ou des ceintures, mais si nous nous comportons comme un Jon Jones ou un Conor McGregor, je ne vois pas trop l’intérêt humainement parlant.

Ils sont la preuve que l’obsession de performance et de reconnaissance ne rend pas nécessairement bon et encore moins positif pour le monde. Insultes, drogue, alcool, violence et manque de considération pour les autres : pour moi, ils ont beau être considérés comme les plus grands, ils ne sont que de petits hommes (certes riches et célèbres).

Sans pour autant attendre que tout le monde se transforme en Yoda, parce que nous sommes ce que nous sommes et avons le droit d’exprimer notre personnalité, les dojos sont des lieux pour polir l’esprit, apprendre ou plutôt acquérir et pratiquer les valeurs au-delà des cordes ou du tatami.

Les instructeurs eux-mêmes sont pleins de défauts et ne sont pas toujours les plus justes ou les meilleurs des hommes ou des femmes, mais pour beaucoup, ils souhaitent réellement que leurs enseignements puissent aller au-delà du martial, vers la création de citoyens solides, dotés d’une meilleure maîtrise et d’une capacité à développer une empathie juste, parce que la souffrance, la douleur et les difficultés sont sans cesse répétées dans ces salles d’apprentissage.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Title: Martial Reflections of a Hypnofighter #400: Making an Academy a Place of Evolution

Yesterday, I listened to Johnny Frachey’s excellent interview on RMC and really liked it when he explained that US Metro is more than just a training center. It’s a training ground for young generations, whether they want to become champions or simply develop through combat sports.

We are in an era where we can revisit the intentions of Kano Jigoro, So Doshin, or even Mas Oyama: to train men and women who, beyond martial arts, will be positive individuals for themselves, for their entourage, and then for society in general.

It’s good to know how to defend oneself or to win cups or belts, but if we behave like a Jon Jones or a Conor McGregor, I don’t really see the human interest.

They are proof that the obsession with performance and recognition does not necessarily make one good, and even less positive for the world. Insults, drugs, alcohol, violence, and lack of consideration for others: for me, even if they are considered the greatest, they are just small men (certainly rich and famous).

Without expecting everyone to turn into Yoda, because we are what we are and have the right to express our personality, dojos are places to polish the mind, to learn or rather acquire and practice values beyond the ropes or the tatami.

Instructors themselves are full of flaws and are not always the fairest or best of men or women, but for many, they truly wish that their teachings can go beyond the martial, towards the creation of strong citizens, with better self-control and an ability to develop true empathy, because suffering, pain, and difficulties are constantly repeated in these learning halls.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #405 : Le buzz a vaincu l’intelligence

Je pense que l’humain est intelligent, même si nous sommes assez biaisés et très critiques sur ce que nous pouvons lire ou voir qui ne correspond pas à nos idées. Mais l’intelligence n’est pas nécessairement utilisée pour une progression, une évolution et une idée constructive.

Je reviens sur la commission TikTok qui, pour moi, a mis fin au pouvoir de l’intelligence collective. Nous avions des professionnels des réseaux qui passent leur vie à provoquer pour avoir des « likes » et des « followers », qui débattaient avec des politiques qui font un peu la même chose pour avoir des voix et gagner des élections, mais dans un processus obsolète.

On pouvait se dire que « l’intelligence » et les valeurs de personnes formées par les écoles et autres structures culturelles, parfois élitistes, allaient pouvoir avoir un échange constructif et utile pour un recadrage possible de ces nouveaux médias. Et pourtant non, ces tiktokeurs ont tout fait mieux. Pour certains, ils avaient des dossiers préparés avec des arguments, et comme ils connaissent les réseaux, ils savaient que toute provocation ou tout élément audacieux de leur part allait être vu par des millions de jeunes qui ont pour références ces influenceurs.

Le monde du buzz a vaincu l’intelligence, ou plutôt l’utilisation de cette dernière, depuis un moment, au travers de l’acceptation qu’un tweet ou une vidéo non contextualisée est une information. Mais là, avec ces créateurs de buzz, ces chercheurs de « followers », nous avons une culture spécifique et de plus en plus importante, qui a une forme d’intelligence non négligeable, mais qui ne cherche pas à monter, mais à faire toujours plus irrespectueux, irrévérencieux, pour avoir ces quelques minutes de gloire qui amèneront des euros sonnants et trébuchants.

Cette petite séquence, qui a été passée comme un non-événement, marque pour moi une étape, ou plutôt un marqueur, que notre civilisation ne met plus en avant des valeurs et une utilisation de notre cerveau de façon à progresser, mais un laisser-aller de nos instincts, de nos natures que nous savons enclins à bien des vices. La nature vainc la culture…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Reflections from Pank / Snapshot #405: Buzz has defeated intelligence

I think humans are intelligent, even if we are quite biased and very critical of what we can read or see that does not correspond to our ideas. But intelligence is not necessarily used for progression, evolution, and a constructive idea.

I come back to the TikTok commission, which, for me, put an end to the power of collective intelligence. We had network professionals who spend their lives provoking to get likes and followers, debating with politicians who do a bit of the same to get votes and win elections, but in an obsolete process.

We could have thought that the « intelligence » and values of people trained by schools and other cultural structures, sometimes elitist, would be able to have a constructive and useful exchange for a possible reframing of these new media. And yet no, these TikTokers did everything better. For some, they had prepared files with arguments, and as they know the networks, they knew that any provocation or any audacious element on their part would be seen by millions of young people who have these influencers as references.

The world of buzz has defeated intelligence, or rather the use of the latter, for a while, through the acceptance that a tweet or a non-contextualized video is information. But there, with these buzz creators, these follower seekers, we have a specific and increasingly important culture, which has a non-negligible form of intelligence, but which does not seek to rise, but to do ever more disrespectful, irreverent things, to have those few minutes of glory that will bring in hard cash.

This small sequence, which was passed off as a non-event, marks for me a step, or rather a marker, that our civilization no longer puts forward values and a use of our brain in a way to progress, but a letting go of our instincts, of our natures that we know are prone to many vices. Nature defeats culture…

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #387 : Réflexions sur les valeurs, la culture commune et les relations intergénérationnelles

L'article explore l'importance des valeurs et de la culture commune dans les relations, en particulier entre les générations. Il souligne comment le manque de références culturelles partagées et les différences de valeurs peuvent mener à des incompréhensions et des tensions. L'auteur prend l'exemple des débats intergénérationnels et des difficultés rencontrées dans le monde du travail.

Vous vous souvenez peut-être qu’il y a quelques semaines, je vous partageais une étude sur les relations (amoureuses) qui se maintenaient le mieux, et les deux critères principaux : les valeurs et la culture commune.

Quand je lis et entends les débats intergénérationnels, et les tensions que les générations plus âgées peuvent avoir avec les plus jeunes, je me dis que c’est normal que les relations soient complexes, voire impossibles, si nous n’avons pas de lien spécial avec elles. Que ce soit la famille, la proximité systémique, etc.

Et vous constatez alors que la plus grande compréhension se fait spontanément parce que la culture est proche, voire commune. C’est pour cette raison que des « proches » auront toujours une anecdote, une compréhension de l’histoire du jeune, ou de son environnement immédiat, ce qui permettra des points de référence sur lesquels toute la relation pourra se tisser, ou à minima se donner un respect mutuel.

La rupture, qui est déjà bien entamée par l’absence de référence culturelle commune, comme par exemple le décès de Werenoi, meilleur vendeur musical l’an passé, est une découverte pour les générations plus anciennes, même passionnées par du Hiphop, mais old school.

Ce qui est le plus simple à constater, c’est les valeurs qui sont pleinement opposées, et je ne parle pas des pauvres Boomers et du « c’est une autre époque » qui ne cesse de se faire clouer au pilori, dès qu’on parle de leurs façons de penser ou comportements. Mais même des Millenials, et on peut prendre leur façon d’appréhender les Z au travail pour voir que les valeurs sont opposées, au minimum tellement différentes que des managers s’arrachent les cheveux et ne veulent plus les embaucher.

La question n’est pas de savoir qui a raison ou tort, sachant que les valeurs sont tellement ancrées en chacun de nous que ne serait-ce que chercher à comprendre, et pire encore accepter, est trop énergivore. Du coup, si l’effort n’est pas fourni, il y a rupture, chacun restant confiné dans ce qui est le plus simple à gérer, et diminuant le commun…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #387:  Reflections on Values, Common Culture, and Intergenerational Relationships

You may remember that a few weeks ago, I shared a study on the (romantic) relationships that lasted the longest, and the two main criteria: values and common culture.

When I read and hear the intergenerational debates, and the tensions that older generations can have with younger ones, I tell myself that it’s normal for relationships to be complex, even impossible, if we don’t have a special connection with them. Whether it’s family, systemic proximity, etc.

And you then realize that the greatest understanding happens spontaneously because the culture is close, even common. This is why « close » people will always have an anecdote, an understanding of the young person’s history, or their immediate environment, which will allow for points of reference on which the whole relationship can be built, or at least give each other mutual respect.

The break, which is already well underway due to the absence of a common cultural reference, such as the death of Werenoi, the best-selling musical artist last year, is a discovery for older generations, even those passionate about Hiphop, but old school.

What is easiest to see is the values that are completely opposed, and I’m not talking about the poor Boomers and the « it’s another era » that keeps getting nailed to the pillory, as soon as we talk about their ways of thinking or behaviors. But even Millennials, and we can take their way of understanding the Zs at work to see that the values are opposed, at a minimum so different that managers tear their hair out and no longer want to hire them.

The question is not to know who is right or wrong, knowing that values are so ingrained in each of us that even trying to understand, and worse, to accept, is too energy-consuming. So, if the effort is not made, there is a break, each remaining confined to what is easiest to manage, and diminishing the common ground…

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #364 : La difficulté du militantisme

L'auteur explore la difficulté du véritable militantisme, soulignant l'écart fréquent entre les discours et les actions des activistes. Il critique les politiques qui prônent des valeurs qu'ils ne respectent pas eux-mêmes et insiste sur l'importance d'incarner les idéaux militants dans la vie quotidienne, au-delà des manifestations et de la "propagande".

Vous le savez sûrement si vous lisez mes articles, je suis de ceux qui ne croient qu’au résultat des conflits et des oppositions. Il y a des vainqueurs et des vaincus, ceux qui ont du pouvoir et ceux qui vont chercher à l’avoir. Du coup, je ne suis pas militant dans des camps politiques, idéologiques, spirituels ou autres.

Il y a dans le militantisme, que vous l’appréciiez ou non, un ensemble de valeurs et de croyances qui fait se mouvoir des populations de personnes qui veulent faire avancer des choses du quotidien ou des rapports psycho-sociaux dans de nombreux domaines de leur vie.

Seulement, si les idées peuvent être séduisantes pour beaucoup de personnes qui aiment les projets en « -ismes », peu sont réellement militants ou plutôt, il est rare d’avoir des personnes congruentes. Vous savez, des activistes qui ont le discours et les actes, mais dans toutes les facettes de leur vie.

Et nous le voyons avec des politiques qui défendent par exemple des discours pacifistes et non-violents et qui ne cessent de crier, insulter et cracher leur haine sur les écrans ou dans des hémicycles, avec une belle rationalisation, comme quoi « parfois c’est nécessaire ». Je ne vous reprends pas les cas actuels, des politiques qui nous parlent d’être exemplaires et qui détournent des fonds ou se retrouvent dans des conflits d’intérêt, tout comme ceux qui sont des professionnels des discours anti-féministes mais qui frappent leur conjointe.

Être militant, ce n’est pas seulement s’engager avec des stickers, des pancartes ou des réunions, c’est aussi chercher à incarner les idées et pensées qui ont réussi à nous séduire et plus encore, qui ont mis en branle les valeurs et les désirs pour des actions. Ce n’est pas un cadre qui se limite aux rassemblements ou aux « propagandes », mais hors de ces cadres « médiatiques », où on les voit, c’est aussi et je pense surtout, dans le quotidien, l’intime, le discret.

Devenir ce qui est revendiqué, un peu plus chaque jour, plutôt que d’être excessif pendant des périodes de tensions pour se considérer comme actif alors que l’on reste consommateur.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #364: The Difficulty of Activism

As you probably know if you read my articles, I am one of those who only believe in the outcome of conflicts and oppositions. There are winners and losers, those who have power and those who seek to have it. Therefore, I am not an activist in political, ideological, spiritual, or other camps.

There is in activism, whether you appreciate it or not, a set of values and beliefs that moves populations of people who want to advance everyday things or psycho-social relationships in many areas of their lives.

However, while the ideas can be appealing to many people who like projects ending in « -isms, » few are truly activists, or rather, it is rare to find congruent people. You know, activists who have the discourse and the actions, but in all facets of their lives.

And we see this with politicians who, for example, defend pacifist and non-violent discourses and who constantly shout, insult, and spew their hatred on screens or in hemicycles, with a beautiful rationalization, as if « sometimes it’s necessary. » I won’t revisit the current cases, of politicians who talk to us about being exemplary and who embezzle funds or find themselves in conflicts of interest, just like those who are professionals of anti-feminist discourses but who hit their partners.

Being an activist is not just engaging with stickers, signs, or meetings, it is also seeking to embody the ideas and thoughts that have managed to seduce us and, even more, that have set in motion the values and desires for action. It is not a framework that is limited to gatherings or « propaganda, » but outside these « media » frameworks, where we see them, it is also and I think especially, in the daily, the intimate, the discreet.

Becoming what is claimed, a little more each day, rather than being excessive during periods of tension to consider oneself active while remaining a consumer.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Pank Hypnosophie #1031 : Le divorce … A cause du Body Count ou des Valeurs ?

Une introduction par un article de phys.org, sur le divorce.

Source : https://phys.org/news/2025-02-divorce-interactions-cultural-personal-values.html

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Réflexions de Pank / Instantané #327 : Quand vous ne décidez pas les cadres

Ce texte explore la difficulté d'évoluer dans des cadres dont nous ne sommes pas co-créateurs, notamment au sein de petits groupes. Il met en lumière le risque de perte de repères et de souffrance psychologique lorsque les valeurs du groupe imposent des efforts disproportionnés à ceux qui n'ont pas participé à la définition des règles.

Il est parfois difficile d’accepter l’idée que, parfois, nous ne sommes pas co-créateurs du cadre dans lequel nous évoluons, que ce soit une colocation, une famille ou un groupe d’amis. Nous pouvons subir et surtout ne pas avoir pu poser nous-mêmes ses éléments constituants.

Cela impose de fait que les opinions et croyances des autres vont structurer le cadre et imposer cette mise en commun, mais excluante pour un ou des membres dont le point de vue ne correspond pas.

Du coup, celui qui se trouve dans ce système peut se dire qu’il doit s’adapter au mieux, parce qu’il est un membre du groupe et que, peut-être, c’est mieux ainsi, d’une certaine façon, de faire décider par certains en excluant les autres. Cela peut parfaitement bien se passer, mais si les valeurs du dit groupe imposent des actions qui représentent des efforts disproportionnés pour ceux qui n’ont pas été à l’initiative, il y a une possibilité de perte de repères et surtout une potentialité à se faire du mal en se pensant responsable d’une incapacité à s’adapter.

Subir les cadres, c’est ce que nous faisons au quotidien dans tous les domaines de nos vies. Il y a peu d’espaces où nous sommes co-fondateurs de la structure et initiateurs des règles, et quand c’est le cas, il est important, en fonction de son objectif, d’avoir conscience de l’impact, voire des rejets, que cela entraînera dans les communautés qui nous suivront.

Le plus difficile est pour les micro-groupes de 3 à 5 personnes où il est possible de se sentir plus facilement lésé et de s’imposer des comportements qui ne conviennent pas, alors qu’il faudrait parfois se poser et recomposer au mieux ensemble ce qui pourrait, a minima, convenir à chacun.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one.

Pank

Reflections of Pank / Snapshot #327: When You Don’t Decide the Framework

It is sometimes difficult to accept the idea that sometimes we are not co-creators of the framework in which we operate, be it a shared apartment, a family, or a group of friends. We can be subjected to it and, above all, not have been able to establish its constituent elements ourselves.

This necessarily means that the opinions and beliefs of others will structure the framework and impose this common but excluding structure on one or more members whose point of view does not correspond.

Therefore, the person in this system may think that they must adapt as best they can, because they are a member of the group and that perhaps it is better this way, in a way, to have some decide by excluding others. This can go perfectly well, but if the values of the said group impose actions that represent disproportionate efforts for those who were not at the initiative, there is a possibility of losing bearings and especially a potential to harm oneself by thinking oneself responsible for an inability to adapt.

Being subjected to frameworks is what we do daily in all areas of our lives. There are few spaces where we are co-founders of the structure and initiators of the rules, and when this is the case, it is important, depending on one’s objective, to be aware of the impact, even rejections, that this will cause in the communities that will follow us.

The most difficult thing is for micro-groups of 3 to 5 people where it is possible to feel more easily wronged and to impose behaviors on oneself that are not suitable, while it would sometimes be necessary to pause and recompose together what could, at a minimum, suit everyone.

Take what is good and right for you.

Be one.

Pank

Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #295 : Faire comprendre les erreurs des anciens

Cet article déconstruit les valeurs prétendues des générations précédentes dans les arts martiaux, montrant que les mythes du "guerrier" ont souvent conduit à des pratiques nuisibles. Aujourd’hui, il est essentiel de privilégier la santé et la durabilité pour les pratiquants modernes.

Nous sommes une génération qui a vu naître les arts martiaux modernes avec le MMA et le BJJ. Beaucoup d’entre nous viennent de styles traditionnels, nourris par les fantasmes relayés par les générations précédentes à travers des films et récits souvent embellis.

Ces récits ont façonné une illusion du « guerrier », un combattant idéalisé, qui ne connaîtra, espérons-le, jamais la guerre. En réalité, ce « guerrier » était souvent un compétiteur participant à des affrontements plus ou moins violents. Avec le temps, ces récits se sont amplifiés : on entend dire qu’en karaté « ça frappait dur à l’époque », que le Muay Thaï des années 90 est « la vraie génération », ou que les premiers combats de MMA étaient « sans aucune règle et clandestins ».

Mais que reste-t-il de tout cela ? Beaucoup de mythes et peu de réalités. Ce que les anciens ont transmis comme « valeurs » – aller au-delà de la douleur, ignorer les signaux du corps, revenir s’entraîner malgré des blessures ou encore passer des examens dans un état physique inadéquat – ne relève pas de la force ou de la sagesse, mais bien de l’ignorance et parfois de la bêtise. Ces comportements ont causé des blessures graves, des séquelles durables, et même des abandons.

Aujourd’hui, nous savons mieux. En tant qu’enseignants, nous avons vu les dégâts de ces pratiques : des blessures mal soignées, des rééducations bâclées, des entraînements absurdes et inefficaces. Ces pratiques ne servent ni l’athlète ni la discipline. Pourtant, malgré les retours d’expérience et les avertissements, les jeunes générations continuent de céder aux illusions véhiculées par les films, les séries ou les mythes d’un passé glorifié.

Nous devons leur rappeler que la voie martiale ne consiste pas à sacrifier son corps ou sa santé pour un idéal déformé. Les vraies valeurs sont celles qui permettent de progresser durablement, d’écouter son corps et de préserver son avenir.

blessure #récupération #attention #génération #expérience

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Be One,
Pank
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Martial Reflections of a Hypnofighter #295: Understanding the Mistakes of Our Predecessors

We are a generation that witnessed the rise of modern martial arts with MMA and BJJ. Many of us come from traditional styles, shaped by fantasies passed down through older generations via films and often exaggerated stories.

These narratives built the illusion of the « warrior, » an idealized fighter who, we hope, will never face war. In reality, this « warrior » was often just a competitor in more or less violent matches. Over time, these stories grew into myths: in karate, « they hit hard back then »; in Muay Thai, « the 90s were the real golden era »; or in MMA, « early fights were no-rules and underground. »

But what remains of these tales? Mostly myths, far removed from reality. What older generations passed off as « values »—pushing beyond pain, ignoring bodily warnings, training despite injuries, or taking exams in poor physical condition—stemmed not from strength or wisdom but from ignorance and, at times, foolishness. These practices led to serious injuries, lasting consequences, and even abandonment of the sport.

Today, we know better. As instructors, we’ve seen the damage caused by these behaviors: untreated injuries, rushed rehabilitations, and absurd training methods that benefit neither the athlete nor the discipline. Yet, despite these lessons, younger generations still fall for the illusions portrayed in movies, series, and glorified myths of a bygone era.

We must remind them that the martial path is not about sacrificing one’s body or health for a distorted ideal. True values lie in sustainable progress, listening to one’s body, and preserving one’s future.

injury #recovery #awareness #generation #experience

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Réflexions de Pank / Instantané #303 : Répondre aux critères attendus

Beaucoup d'adultes continuent, parfois inconsciemment, à vivre sous l’influence des attentes familiales du passé, ce qui peut limiter leur liberté. Cet article explore comment rompre symboliquement avec ces schémas hérités pour vivre une vie alignée sur ses propres valeurs.

Combien de consultants se retrouvent, à trente ou quarante ans, avec des réactions que l’on pourrait associer à celles qu’ils avaient probablement dans leur enfance ?

Parmi les thèmes récurrents, on retrouve cette idée de ne jamais faire assez bien ou d’en faire assez tout court. Une sensation persistante, une attente implicite : répondre à des critères fixés dans le cocon familial. Au lieu de vivre librement leur vie d’adulte, ces personnes se retrouvent confrontées à un combat intérieur contre les démons d’un passé révolu et les attentes d’une famille ou d’un système dont les protagonistes sont parfois disparus.

Cette lutte pour satisfaire une mission imposée par les parents touche même les “enfants libres” de l’analyse transactionnelle. Ils l’expriment différemment ou à d’autres périodes de leur vie, mais nombreux sont ceux qui réalisent avoir passé des décennies en réactance face à des codes familiaux.

Bien que le désir d’obtenir des marques de reconnaissance de la part de sa famille soit compréhensible, cette manière de réagir pour répondre à des attentes passées empêche souvent de vivre selon ses propres critères.

Il est essentiel d’envisager une rupture symbolique avec les valeurs ou croyances inculquées par la famille. Peut-être que ces valeurs étaient valables dans le passé, mais elles auraient probablement évolué si on les interrogeait aujourd’hui. Cette rupture permet de se recentrer sur une idée simple : nous ne sommes pas tenus de rester figés dans des schémas hérités. Enfin, si vos parents n’ont pas su vous offrir l’amour attendu durant votre enfance, ils ne le feront probablement jamais, peu importe les conditions. Il est donc inutile de chercher une validation différente liée à votre indépendance ou à vos accomplissements.

amour #critères #liberté #parents #enfants #patterns

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Be one,
Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #303: Meeting Expected Standards

How many consultants find themselves in their thirties or forties reacting in ways reminiscent of their childhood behaviors?

One recurring theme is this notion of not doing well enough or not doing enough at all. A persistent feeling, an implicit expectation: meeting criteria established in their family environment. Instead of living freely as adults, these individuals face an internal struggle against the demons of a bygone past and the expectations of a family or system whose key figures may no longer even be alive.

This struggle to fulfill a mission imposed by parents affects even the so-called « free children » of transactional analysis. They express it differently or at different stages of life, but many realize they have spent decades reacting against familial codes.

While it’s understandable to seek acknowledgment from one’s family, this way of behaving to meet past expectations often prevents living according to one’s own standards.

Breaking symbolically with the values or beliefs instilled by one’s family can be liberating. Those values may have been valid in the past, but they likely would have evolved if questioned today. This break allows for refocusing on a simple idea: we are not bound to remain stuck in inherited patterns. Lastly, if your parents didn’t offer you the expected love in childhood, they probably never will, regardless of the circumstances. Seeking a different form of validation tied to your independence or achievements is unnecessary.

love #standards #freedom #parents #children #patterns

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HnO PnL #193 / Programmation Neuro Linguistique et Science #11 : travail des croyances/valeurs PnL

Depuis un moment je veux revoir la PnL qui pour moi est un sous ensemble de l’hypnose, d’un point de vue scientifique. Je vais reprendre dans un premier temps la période Meta (71-80) avec les bases de la discipline, puis si ca vous plait on fera ça avec les 2e et 3e génération.

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Réflexions de Pank / Instantané #257 : Plus d’actions, moins de paroles

 Dans cet article, Pank explore la tendance du discours politique et social à se perdre dans des débats sans fin, au détriment des actions concrètes. Il aborde la difficulté d’être congruent, c’est-à-dire de rester fidèle à ses valeurs à travers ses actions, et invite à une réflexion sur l’importance de l’action tangible par rapport aux paroles. Pank appelle à plus de tolérance et moins de jugements moraux, en soulignant que les actes, même imparfaits, sont plus précieux que des discours lissés mais inapplicables.

Internet et la politique, de façon générale, se perdent dans des palabres interminables sur ce que chacun ressent, pense, déduit, et surtout sur ce que les AUTRES devraient mettre en place pour en finir avec ceci ou cela.

Il y a une chose qui est particulièrement courante, que nous vivons tous : la difficulté d’être congruent. C’est-à-dire parvenir à rester sur la même ligne de conduite que celle que nous partageons comme “valeurs”. Il n’y a pas de mal à se reprendre dans une sorte de mise à jour de la réalité de nos actions vis-à-vis de nos discours.

Vous connaissez les généralisations excessives avec des “JAMAIS, TOUJOURS” qui devraient disparaître quand on parle de nous-mêmes, quand on ne sait pas comment nous pourrions réagir dans certaines situations, et dans lesquelles ce que nous discourions devient complètement caduque.

Cette difficulté à pouvoir avoir le discours le plus juste pour soi par rapport à nos actions devrait nous faire comprendre que nous ne devons accorder notre confiance qu’aux façons de faire et aux résultats de ceux avec qui nous parlons.

Nous pouvons tous avoir des théories et des connaissances qui s’avèrent sans intérêt quand nous devons les mettre en place. Il pourrait être utile de limiter notre propension à vendre des comportements à adopter, des règles morales, ce qui EST bien, alors que nous ne sommes pas aptes à les appliquer. Si nous n’y parvenons pas, cela offre le droit aux autres aussi de ne pas y arriver, et donc la leçon des YAKAFOKON pourrait se transformer en plus de TOLÉRANCE vis-à-vis de cet autre.

Oui, la mentalisation et l’intellectualisation, en plus d’être vendues par des postures et des rhétoriques classes, peuvent stimuler des auditeurs, vendre et faire acheter tout un tas d’idées ou de produits. Peu de personnes pourraient en plus dire que ce qui est dit est mauvais parce que c’est plein de truismes, seulement c’est souvent inapplicable ou à un prix tellement élevé que cela peut être plus destructeur que constructif ; il n’y a qu’à voir en politique les différents fascismes et formes de communismes.

Les actes, même s’ils peuvent être réinterprétés et qu’on peut tenter de biaiser leur mise en place ou leurs résultats, permettent au moins de saisir quelque chose de tangible, certes moins vendeur et plus cabossé qu’un discours lissé, mais nous restons dans le concret dont parfois nous aurions besoin.

#action #réflexion #retours #équilibre #fait #récit #FRESC

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

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Pank

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Reflections by Pank / Snapshot #257: More Actions, Fewer Words

The internet and politics, in general, get lost in endless discussions about what everyone feels, thinks, deduces, and especially what OTHERS should implement to put an end to this or that.

There is one thing that is particularly common, something we all experience: the difficulty of being congruent. That is to say, managing to stay aligned with the same values that we share. There’s nothing wrong with taking a step back and updating the reality of our actions in relation to our words.

You are familiar with the excessive generalizations like “NEVER, ALWAYS” that should disappear when we talk about ourselves, when we don’t know how we might react in certain situations, and in which what we once advocated becomes completely obsolete.

This difficulty in having the most accurate discourse for oneself in relation to our actions should make us understand that we should place our trust only in the methods and results of those with whom we are speaking.

We can all have theories and knowledge that turn out to be irrelevant when we have to put them into practice. It might be useful to limit our tendency to promote behaviors to adopt, moral rules, what is RIGHT, especially when we are not capable of applying them. If we can’t do it, it also gives others the right to fail as well, and thus the lesson of the YAKAFOKON could turn into more TOLERANCE towards others.

Yes, mentalization and intellectualization, further sold through polished postures and rhetoric, can stimulate listeners, sell, and make people buy all sorts of ideas or products. Few people could even argue that what is said is bad because it’s full of truisms, but it’s often inapplicable or comes at such a high price that it can be more destructive than constructive; just look at the various forms of fascism and communism in politics.

Actions, even if they can be reinterpreted and we might attempt to skew their implementation or results, at least allow us to grasp something tangible, perhaps less marketable and more battered than a smooth discourse, but still something concrete, which we might sometimes need.

#action #reflection #feedback #balance #deed #narrative #FRESC

Take what is good and right for you.

Be one,

Pank

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