Réflexions de Pank / Instantané #312 : Pourquoi tant de débats

Ce texte explore les limites des débats pour changer les opinions, en prenant l'exemple d'un "platiste" confronté à des faits scientifiques. Il interroge les raisons pour lesquelles l’humain privilégie parfois la manipulation à la discussion pour obtenir des bénéfices éphémères. Enfin, il invite chacun à réfléchir à la valeur du débat et de l’influence dans leurs interactions.

Nous pouvons discuter de tout avec tout le monde, mais nous ne pouvons pas toujours montrer à chacun que notre façon de penser ou notre croyance est juste selon son paradigme actuel.

Vous avez peut-être vu passer une information selon laquelle un « platiste » (partisan de l’idée que la Terre est plate), Jeran Campanell, aurait dû admettre, après un voyage en Antarctique, que les journées de 24 heures existent et que la Terre est sphérique.

On pourrait penser que lorsqu’une personne, qui s’est battue pendant tant d’années au sein d’une communauté pour défendre son idée, change de point de vue, elle devrait, en tant que figure de référence, permettre à d’autres de changer également d’opinion (principe d’unité).

Et pourtant, comme vous pouvez vous en douter, la force de l’engagement et des années passées dans un flux d’informations confirmant uniquement leurs croyances a surpassé l’influence du vidéaste. Cela a laissé les choses au même niveau de débat qu’avant cette expérience.

Appliquez cela à votre propre monde personnel, professionnel ou spirituel : nous pouvons nous engager intellectuellement, émotionnellement, voire physiquement pour tenter de faire changer d’opinion les personnes en face de nous, mais cela reste très improbable.

C’est peut-être pour cette raison que l’humanité a développé le mensonge, la manipulation ou l’influence. Le manipulateur sait dès le départ que personne ne changera vraiment d’avis, mais, le temps d’une discussion, d’une rencontre ou d’une transaction, il peut obtenir l’adhésion temporaire de son opposant pour une idée, un contrat ou autre, apportant ainsi un bénéfice éphémère.

Faut-il débattre ou influencer, selon vous ? Quand je parle d’influencer, je parle bien de manipulation. 😊

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.
Be one,
Pank
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Pank’s Reflections / Snapshot #312: Why So Much Debate

We can discuss anything with anyone, but we cannot always show everyone that our way of thinking or our belief is right for their current paradigm.

You may have come across information about a « flat-earther » (someone who believes the Earth is flat), Jeran Campanell, who reportedly had to admit, after a trip to Antarctica, that 24-hour days exist and that the Earth is spherical.

One might think that when a person, who has fought for years within a community to defend their idea, changes their perspective, they would, as a reference figure, enable others to also change their opinion (principle of unity).

And yet, as you might expect, the force of commitment and years spent within a flow of information that confirms only their beliefs overpowered the influence of the videographer. This left the debate at the same level as it was before this experience.

Now apply this to your personal, professional, or spiritual world: we can intellectually, emotionally, and even physically engage to try to change the opinions of those in front of us, but it is highly unlikely to succeed.

Perhaps this is why humanity developed lying, manipulation, or influence. The manipulator knows from the outset that no one will truly change their mind, but during the time of a discussion, a meeting, or a transaction, they can secure the temporary agreement of their opponent for an idea, a contract, or something else, thus gaining ephemeral benefits.

Should we debate or influence, in your opinion? When I say influence, I do mean manipulation. 😊

Take what is good and right for you.
Be one,
Pank
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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #287 : La politique et l’influence dans le monde associatif

Cet article examine les conflits politiques et financiers au sein des fédérations sportives, en particulier entre le Judo et le Jiu-Jitsu brésilien. Il met également en lumière le rôle historique de la Lutte dans le blocage de l’ascension du Judo, un schéma qui se répète aujourd’hui pour les disciplines émergentes.

Les grandes fédérations sportives exercent une influence considérable, parfois jusqu’au niveau ministériel. Le budget consacré au sport est souvent le deuxième ou le troisième poste de dépense dans les municipalités. Il n’est donc pas surprenant que, derrière l’apparence bienveillante des associations et des dojos, se cache un monde marqué par des luttes de pouvoir et des enjeux financiers.

Actuellement, l’académie GFT de Bourg-la-Reine (92), dirigée par Kenji Matsushima et Reda Hamzaoui, est au cœur d’un conflit associatif. Comme souvent, les valeurs mises en avant servent davantage d’image de façade que de véritable fondement. Le Judo et sa fédération, cinquième de France en termes de licenciés, en est un exemple frappant. Les rapports de la Cour des comptes de 2021 ont révélé des détournements de subventions, auxquels s’ajoutent des scandales tels que des affaires d’agressions.

Dans une démarche visant à autonomiser leur section de Jiu-Jitsu brésilien (BJJ), les dirigeants de la GFT ont tenté de se séparer du Judo. Sans surprise, la perte de 150 cotisations annuelles, représentant plusieurs centaines d’euros chacune, a suscité des réactions.

Au lieu de régler la situation dans l’esprit de Jigoro Kano, basé sur la pédagogie et la négociation, des méthodes plus obscures ont été employées : influence locale et fédérale visant à interdire la pratique de l’équipe dissidente, devenue la « némésis » de la section Judo.

Les arts martiaux modernes, comme le BJJ (sous la FFJudo) ou le MMA (sous la FFBoxe), attirent les fédérations dominantes pour les bénéfices qu’ils rapportent. Cependant, à une autre époque, c’est la Lutte qui avait bloqué l’ascension du Judo, freinant son autonomie et sa reconnaissance. Aujourd’hui, ces mêmes blocages se reproduisent avec les nouveaux entrants dans les milieux municipaux et ministériels. Les sections influentes protègent leur part de marché en bloquant souvent l’ascension de sports émergents.

Force et courage à tous les passionnés qui risquent de se retrouver sans dojo face à ces enjeux financiers et politiques.

Bjj #Judo #Jiujitsu #fédération #politique

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,
Pank
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Martial Reflections of a Hypnofighter #287: Politics and Influence in the Associative World

Major sports federations wield significant influence, sometimes extending to ministerial levels. Sports budgets are often the second or third largest municipal expense. It is therefore unsurprising that, behind the benevolent appearance of associations and dojos, lies a world marked by power struggles and financial stakes.

Currently, the GFT academy in Bourg-la-Reine (92), led by Kenji Matsushima and Reda Hamzaoui, is at the center of an associative conflict. As often happens, values highlighted are more a façade than a true foundation. Judo and its federation, the fifth largest in France by membership, exemplify this. The 2021 report from the French Court of Auditors revealed subsidy embezzlement, alongside scandals like assault cases.

In a bid to gain autonomy for their Brazilian Jiu-Jitsu (BJJ) section, GFT leaders attempted to break away from Judo. Predictably, the loss of 150 annual memberships, each worth several hundred euros, sparked reactions.

Rather than resolving the situation in the spirit of Jigoro Kano—with pedagogy and negotiation—darker methods were employed: local and federal influence to ban the dissident team from practicing, now seen as the nemesis of the Judo section.

Modern martial arts like BJJ (under FFJudo) or MMA (under FFBoxe) attract dominant federations for the financial benefits they bring. However, in the past, it was Wrestling that blocked Judo’s rise, hindering its autonomy and recognition. Today, similar barriers are being imposed on newcomers within municipal and ministerial circles. Influential sections protect their market share by blocking the rise of emerging sports.

Strength and courage to all enthusiasts who may find themselves without a dojo due to these financial and political stakes.

Bjj #Judo #Jiujitsu #federation #politics

Take what is good and right for you.

Be One,
Pank
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Réflexions de Pank / Instantané #288 : Une utilité du luxe

Je suis une personne qui ne comprend pas le luxe. Pour moi, cela consiste à ajouter des éléments superficiels à des objets initialement utiles. Étant donné que je perçois les choses principalement par leurs principes fonctionnels, je suis toujours intrigué par ce désir, partagé par de nombreuses personnes, de vivre ou d’acquérir des produits de grande marque de luxe, qui ne sont pas nécessairement plus qualitatifs en termes d’usage.

Cependant, en me penchant sur cette idée, je réalise à quel point le concept de luxe et son exhibition, plus ou moins discrète, attirent les gens. Pour le moment, c’est le seul élément pertinent que je perçois.

Dans notre monde où tout est jugé et classé, celui qui possède des produits de luxe ou mène un train de vie élevé peut être perçu comme une personne « de qualité ». Autour de lui gravitent alors de nombreuses personnes.

Cette inclination à se rapprocher de ce qui brille, et au minimum à regrouper des individus, même inconnus, peut s’apparenter à un principe de communauté numérique. Plus on attire (pour de bonnes ou de mauvaises raisons), plus notre instinct grégaire nous pousse vers une multitude d’options.

Les autres deviennent un réseau social, et donc potentiellement une carte à contacter et à “exploiter” en cas de besoin. La puissance du groupe, et donc son utilisation, peut être activée par cette notion de « luxe », chacun espérant en retour une éventuelle rétribution par sa présence, sa proximité ou même son service.

La notion d’attraction sociale, même si elle n’est pas toujours qualitative, peut offrir une infinité de possibilités et donc de solutions dans la vie quotidienne. Le luxe est un excellent moyen d’attirer et de créer des « followers », offrant une impression d’importance en plus de la potentielle utilité de ce groupe.

#luxe #influence #exploitation #instinct #reconnaissance

ce qui résonne en vous.

Be one,

Pank

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Reflections of Pank / Snapshot #288: A Purpose for Luxury

I am a person who doesn’t understand luxury. To me, it involves adding superficial elements to objects that are initially useful. Since I view things mainly through their functional principles, I am always intrigued by this desire shared by many to live with or acquire luxury brand products, which are not necessarily more qualitative in terms of use.

However, upon reflection, I realize how much the concept of luxury and its display, whether subtle or overt, attracts people. At the moment, this is the only relevant element I perceive.

In our world where everything is judged and classified, those who possess luxury goods or lead a high-end lifestyle can be perceived as « quality » individuals. Consequently, many people gather around them.

This tendency to gravitate toward what shines and, at a minimum, to gather individuals, even strangers, can resemble a digital community principle. The more we attract (for good or bad reasons), the more our gregarious instinct brings us to a multitude of options.

Others become a social network and thus potentially a resource to contact and « exploit » if needed. The power of the group, and thus its usage, can be triggered by this notion of « luxury, » with everyone expecting a potential return for their presence, proximity, or even service.

The notion of social attraction, even if not always qualitative, can offer an infinity of possibilities and therefore solutions in daily life. Luxury is an excellent way to attract and create « followers, » offering an impression of importance in addition to the potential utility of this group.

#luxury #influence #exploitation #instinct #recognition

what resonates with you.

Be one,

Pank

Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #243 : Ce professeur qui change tout

Découvrez comment un enseignant exceptionnel peut transformer votre expérience des arts martiaux. Ce témoignage explore l'influence profonde qu'un sensei peut avoir sur la vision martiale et la vie de ses élèves, et comment choisir le bon guide pour votre propre parcours.

Pour beaucoup d’entre nous, dans le monde des arts martiaux et des sports de combat, il y a ces figures légendaires qui marquent notre parcours. Nous les avons souvent rencontrées au fil de notre progression, et il y a fort à parier qu’elles ne se rendent même pas compte à quel point nous leur sommes reconnaissants.

Pour moi, c’est mon premier sensei, un enseignant nommé Alain Baron, qui avait 27 ans quand j’ai commencé le karaté. Il m’a montré son Dō, sa manière d’aborder les arts martiaux. J’ai eu la chance de rester avec lui jusqu’à l’obtention de mon shodan. J’ai ainsi pu observer son évolution et la manière dont il a fait évoluer son enseignement. Il a profondément influencé ma vision martiale, mais aussi ma façon d’agir dans la vie.

Ces expériences sont de précieux exemples pour chacun d’entre nous qui partageons notre savoir et notre passion. Lorsque nous avons eu la chance de croiser de telles personnes dans notre vie, cela nous offre un modèle sur la manière dont nous souhaitons, à notre tour, transmettre cet héritage. Il est certain que, pour de nombreux autres pratiquants, nous serons peut-être aussi ce professeur qui change tout, ou au contraire, celui qui ne change rien, voire qui peut rebuter.

Car il y a aussi cet aspect à prendre en compte : nous avons tous croisé sur notre chemin des professeurs avec qui nous n’avons pas accroché, avec qui nous ne nous sommes pas sentis à l’aise. Pourtant, par passion et souvent par manque de choix, nous restons au dojo pour continuer à apprendre et essayer de progresser.

Parfois, ces professeurs peuvent même pousser certains à abandonner ou à se détourner complètement des arts martiaux, ou tout du moins de l’école où ils pratiquent. Il est important d’éviter des jugements trop hâtifs, en disant qu’ils sont mauvais et ne devraient pas enseigner.

Simplement parce que celui que nous n’apprécions pas a peut-être été, pour d’autres, celui qui a tout changé pour le mieux.

À nous de faire de notre mieux avec ce que nous sommes et nos valeurs, pour partager une voie martiale qui nous semble juste, en espérant que cela puisse apporter au plus grand nombre.

karate #enseignement #sensei #professeur #artsmartiaux

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Martial Reflections of a Hypnofighter #243: The Teacher Who Changes Everything

For many of us in the world of martial arts and combat sports, there are those legendary figures who leave a lasting mark on our journey. We often encounter them as we progress, and it’s likely that they don’t even realize how grateful we are to them.

For me, it’s my first sensei, a teacher named Alain Baron, who was 27 years old when I started karate. He showed me his Dō, his approach to martial arts. I was fortunate enough to stay with him until I earned my shodan. This allowed me to witness his evolution and the way he adapted his teaching. He deeply influenced my martial vision, as well as my approach to life.

These experiences provide valuable examples for those of us who share our knowledge and passion. When we have had the chance to meet such people in our lives, it gives us a model for how we wish to pass on this legacy. It’s certain that, for many other practitioners, we may also become that teacher who changes everything, or conversely, the one who changes nothing, or even the one who might turn them away.

Because there’s another aspect to consider: we have all encountered teachers along our path with whom we didn’t connect, with whom we didn’t feel comfortable. Yet, out of passion and often due to a lack of choice, we remain at the dojo to keep learning and trying to progress.

Sometimes, these teachers might even cause some to quit or to completely turn away from martial arts, or at least from the school where they practiced. It’s important to avoid making hasty judgments by saying they are bad and shouldn’t be teaching.

Simply because the one we didn’t appreciate may have been, for others, the one who changed everything for the better.

It’s up to us to do our best with who we are and our values, to share a martial path that seems right to us, hoping that it may benefit as many people as possible.

karate #teaching #sensei #teacher #martialarts

Take only what is good and right for you.

Be one,

Pank

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Réflexions de Pank / Instantané #242 : La cérémonie d’ouverture, un soft power

Je pense que quand on vous parle de la cérémonie d’ouverture des JO, vous vous dites que c’est mal barré. Depuis quelques semaines, entre les galères de sécurité, les danses complètement hors sol et surtout la comparaison que nous faisons avec les cérémonies des Chinois, Anglais ou Japonais, on a l’impression de ne pas être prêts à la comparaison.

Vous remarquez comment l’image de l’ouverture des JO de Pékin revient facilement dans les médias, avec ces images et scènes grandiloquentes de milliers de percussionnistes et danseurs qui offrent un spectacle synchronisé à la perfection. L’idée qui vous en reste, c’est que “les Chinois, eux, c’est du sérieux”.

Cette “simple” ouverture des jeux reste gravée dans les archives mais donne aussi une image du pays qui accueille et de sa population. Nous avons acquis l’idée que le peuple chinois, c’est carré, c’est précis, etc. Ça nous fait oublier les réalités du pays, où une grande partie de leurs villes s’affaissent à cause de la surexploitation des terres, que des ponts cèdent régulièrement et que tout n’est pas si carré.

Ce soir, c’est à la France de montrer ce qu’elle peut faire. Depuis quelques décennies, elle a perdu de sa superbe pour de nombreux étrangers, même si un autre soft power comme Netflix a redonné une image assez positive de Paris dans « Emily in Paris ».

Dans cette cérémonie, il y a les Jeux mais surtout le pays, surtout dans une ville que l’on vend comme l’une des plus belles du monde. Si le spectacle ne bluffe pas, un peu à la française donc souvent artiste décalé, et que le monde ne retrouve pas une idée voire un idéal de la culture française, nous risquons encore de descendre dans l’inconscient des populations du monde entier.

Il y a gros à jouer et c’est certain que les politiques le prennent en compte. Je pense même que le président, qui a été désavoué avec les différentes élections du mois passé, attend le retour de cet événement pour savoir s’il peut encore (et surtout la France) briller dans ce qui fait sa grandeur : l’art, l’esthétisme, le luxe.

Sur ces quelques heures, nous allons assister à une publicité de la Nation France, une suggestion que nous allons envoyer au monde. Pour certains, ce sera la réactivation d’un ancrage positif mais il se peut aussi que cela puisse aussi impacter l’image, la confiance et, par extension, les investissements à venir si tout ne se passe pas comme prévu.

Un show est un soft power, un monde d’influence, d’illusion et de paraître qui va bien au-delà de la présentation des JO Paris 2024.

Paris2024 #JOparis2024 #cérémonieOuverture #Hypnose #Suggestion #Softpower #Politique #image #illusion

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Pank

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Reflections of Pank / Snapshot #242: The Opening Ceremony, a Soft Power

I think that when people talk to you about the opening ceremony of the Olympics, you might think it’s a lost cause. Over the past few weeks, between security issues, completely out-of-touch dances, and especially the comparisons we make with the ceremonies of the Chinese, British, or Japanese, it feels like we are not ready to compete.

You notice how the image of the Beijing Olympics opening ceremony easily resurfaces in the media, with its grandiose scenes of thousands of percussionists and dancers putting on a perfectly synchronized show. The takeaway is that « the Chinese are serious about this. »

This « simple » opening of the games remains etched in the archives but also projects an image of the host country and its people. We have come to think that the Chinese people are precise and meticulous. It makes us forget the realities of the country, where a large part of their cities are sinking due to overexploitation of the land, bridges collapse regularly, and not everything is as orderly as it seems.

Tonight, it is France’s turn to show what it can do. Over the past few decades, France has lost much of its allure for many foreigners, even though another form of soft power, like Netflix, has revived a fairly positive image of Paris in « Emily in Paris. »

In this ceremony, it is not just about the Games but also about the country, especially in a city touted as one of the most beautiful in the world. If the show does not impress, in a typically French way with often quirky artistry, and the world does not see an idea or ideal of French culture, we risk further descending in the subconscious of global populations.

There is a lot at stake, and it is certain that the politicians are aware of it. I even think that the president, who was disavowed in the recent elections last month, is awaiting the outcome of this event to see if he (and especially France) can still shine in what defines its greatness: art, aesthetics, and luxury.

During these few hours, we will witness an advertisement for the Nation France, a suggestion that we will send to the world. For some, it will be the reactivation of a positive anchoring, but it could also impact the image, confidence, and by extension, future investments if everything does not go as planned.

A show is a soft power, a world of influence, illusion, and appearance that goes far beyond the presentation of the Paris 2024 Olympics.

Paris2024 #Paris2024Olympics #OpeningCeremony #Hypnosis #Suggestion #Softpower #Politics #Image #Illusion

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Pank Hypnosophie #969 : Faire une communication à jour pour influencer politiquement

Une réflexion sur les éléments manquant dans les discours médiatiques et politiques qui ont pour but les masses, surtout les plus jeunes.

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Hypnose et Manipulation Mentale #66 : Baki vs Doumbé, influencer un public pour ne pas être perdant

Hier soir, il y a eu un événement intéressant quand aux leviers d’influence et de manipulation pour ne pas être considéré comme battu.

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #101 : Qu’est-ce que le Karaté ?

Nous avons en France une culture du karaté liée aux styles traditionnels et non contact : Shotokan, Shito-ryu, Goju-ryu, Wado-ryu. Nous avons donc une perspective qui ne partage qu’une facette de la richesse martiale qui s’est développée au Japon. On peut se demander, par exemple, si le style de Oyama Sosai, le Kyokushin, pourrait être considéré comme du karaté.

En lisant de nombreux articles sur le karaté sur des blogs japonais, je constate une chose : le moment crucial pour l’histoire du karaté est souvent associé à la défaite des Japonais en 1972 au second championnat du monde de karaté non contact. Imaginez l’humiliation : aucun Japonais, ni en individuel, ni en équipe (que la France a remportée), n’était parmi les 5 premières places.

Cet échec a engendré de fortes tensions, car pour les fondateurs du karaté, cette discipline était celle qui maintenait la véritable essence de l’esprit japonais. Cela explique pourquoi Oyama avait déclaré que jamais de son vivant un étranger ne remporterait un championnat du monde de Kyokushin, chose qui est arrivée l’année suivant sa mort.

Le Kyokushin était le dernier bastion que les étrangers n’avaient pas encore ébranlé, et c’est pourquoi, avec les ambitions olympiques de la fédération traditionnelle, les frappes réelles leur semblaient complètement inappropriées pour diffuser cet art martial.

Kogawa, un membre de la fédération japonaise de karaté, avait même demandé à Sosai de nommer son style « l’école Oyama d’arts martiaux », sans référence au karaté. Et même le fondateur du Wado-ryu, Otsuka, avait déclaré : « Nous devons trouver un moyen de renverser nos adversaires. Ce serait bien si le gouvernement interdisait ce type de karaté. »

Imaginez à quel point la guerre politique et la définition même de ce qu’est le karaté étaient au cœur des années 70. La défaite de 72 explique aussi pourquoi Oyama a accéléré la démarche pour proposer le premier championnat du monde de Kyokushin, pour montrer que son karaté était un véritable style japonais, dominé par les Japonais. Sa stratégie d’expansion, avant même de bien développer le style au Japon, a dû être réorientée pour s’implanter solidement sur l’archipel, afin de combattre le karaté qui se voulait olympique. Sosai, à l’inverse de Matsui (son successeur à la tête du Kyokushin), ne souhaitait pas particulièrement voir le karaté aux Jeux Olympiques…

#Kyokushin #Karate #MasOyama #Wadoryu #conflit #politique

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HnO Coaching #353 : Ne pas vous laisser contrôler/influencer par les autres ou les situations.

Rester maitre de ce que vous vivez en interne que l’environnement et les personnes vous oriente d’une façon ou d’une autre.

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #72 : L’Histoire de l’Affrontement entre Shorinji Kempo et Karate Kyokushinkai #1

En parcourant Internet et en écoutant les enseignants que j’ai toujours admirés dans le Kyokushin et ses affiliés, ainsi que dans le monde du Shorinji Kempo (SK), je suis tombé sur une histoire qui est revenue à plusieurs reprises dans des vidéos et des articles. Je n’ai pas pu trouver d’informations en français, donc ce que je vous propose est un récit certainement subjectif basé sur ce que j’ai pu recueillir.

Il est à noter que l’on trouve plus d’informations du côté du Karate que du Kempo. Ce qui est intéressant, c’est que nous avons des confirmations de Sugihara Kancho, fondateur du Byakuren Kenpo Karate, 6e dan de Shorinji et garde du corps de So Doshin.

Replongeons-nous dans la fin des années 70, une époque marquée par une petite révolution similaire à celle qui se déroulait en Europe, notamment parmi les étudiants. Il est important de se rappeler qu’après la guerre, le Japon connaissait un fort mouvement nationaliste, et cela se reflète même dans de nombreux articles axés sur les arts martiaux, avec des références aux affiliations politiques.

Il faut également tenir compte du fait que So Doshin, le fondateur du Shorinji Kempo, était lui-même un ultra-nationaliste, tout comme Ryoichi Sasakawa, et qu’il était dix ans plus âgé que Masutatsu Oyama (Sosai). En ce qui concerne ce dernier, il semblait également plutôt nationaliste, malgré le paradoxe d’être d’origine coréenne.

Cette histoire commence apparemment avec des tensions dans les universités où le Shorinji Kempo est particulièrement bien implanté. Pour simplifier, le Shorinji s’était enraciné dans différentes couches de la population japonaise. Il est important de se rappeler qu’à cette époque, le Kyokushin comptait environ 400 écoles dans le monde pour seulement 80 au Japon.

Suite à des conflits entre des étudiants de différentes facultés et des attaques de militants plutôt de gauche (progressistes), le Shorinji a joué un rôle de protecteur des écoles. Il y avait de nombreux pratiquants dans les lycées et les universités, et certains articles expliquent qu’en cas de conflit entre deux universités, plusieurs centaines de membres du Shorinji (j’ai même lu plus de mille étudiants) assuraient la sécurité et étaient prêts à affronter les manifestants.

Comme vous le savez, le sport universitaire, et en général dans les écoles, était très populaire. C’est alors qu’un petit groupe de karatékas a commencé à émerger, ayant déjà organisé des compétitions ouvertes, notamment à l’université de Josai. Les rivalités entre ces sections étaient courantes, surtout lorsque l’un des étudiants était Yoshiji Soeno, le « tigre du Kyokushin, » qui plus tard fondera le Shidokan Karate.

Il semble qu’il y ait eu des tensions et des combats pendant cette période des années 60, mais rien de très grave jusqu’à présent. Ce qui semble avoir mis le feu aux poudres, ce sont des textes dans un ouvrage de So Doshin qui se moquaient ouvertement d’Oyama, notamment en se moquant qu’il brise des cornes de vachette. En 1968, par exemple, Sosai répondit à cette provocation dans « Modern Karate ».

Imaginez les tensions qui ont pu s’accumuler au fil des publications, avec des paragraphes critiques envers d’autres styles sans jamais les nommer directement. Comme le dit Soeno dans des interviews récentes, les gars du Kyokushin étaient comme une meute de loups sauvages, comparés à la génération actuelle de Kyokushin, qu’il qualifie d’agneaux (j’adore les piques gratuites qu’il lance).

Il va sans dire que nous avions affaire à des jeunes hommes pas particulièrement calmes d’un côté, et de l’autre, Kancho So, qui mêlait le bouddhisme, l’action sociale et les arts martiaux dans le Shorinji, avec de nombreux adeptes. Il y a d’ailleurs eu un affrontement en interne qui a eu lieu des années plus tard entre des factions religieuses : le Fudo Zen Shorinji contre le Kongo Zen Shorinji. Cela reste assez obscur, mais je vais me pencher dessus.

Au passage, si vous avez des contacts avec Shihan Aosaka (un maître extraordinaire du SK en France), j’aimerais beaucoup l’interviewer.

La force d’intervention Shorinji semblait être assez souvent sollicitée et bénéficiait du soutien de personnalités politiques et religieuses. Du côté de Sosai, il semble que les Yakuzas étaient proches de son cercle.

Il y avait une guerre médiatique et des affrontements sporadiques dans certaines universités, mais cela était encore loin de ce qui allait se passer dans les mois et les années à venir. Il est à noter qu’Oyama estimait que cette confrontation avec le Shorinji avait été très bénéfique pour le marketing de son école. Et oui, Sosai était un véritable créateur de revenus 🙂

Appréciez-vous ce genre d’histoires ? Je continuerai ce texte après-demain.

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous. 

Be One. 

Pank

#Mythe #histoire #marketing #réalité #vérité #SosaiOyama #ShorinjiKempo #SoDoshin #Kyokushinkai #Ashihara #Recherche 

Sources : http://www.masoyama.net/

https://www.youtube.com/@kazushischannel

https://www.youtube.com/@user-sv9ku9cm3m

https://m-dojo.hatenadiary.com/