Réflexions de Pank / Instantané #443 : L’importance de l’influence

Nous pouvons voir, avec des affaires comme celle de France Inter ou le rachat des médias pour orienter les lignes éditoriales, que le monde est orienté par une force que l’on ne peut pas voir et qui est niée lorsque l’on tente de la mettre en lumière.

L’influence opère à travers différents soft powers et divers liens ou personnes placés dans des structures qui vont, sans vagues et dans l’obscurité, mener les décideurs, tout comme les votants, à aller là où on les a conditionnés.

Ce qui est complexe dans cette manipulation discrète, c’est que, comme dans les séances d’hypnose avec les personnes qui se mettent en « résistance », la rationalisation des événements ou des comportements, ainsi que nos biais, vont donner des raisons à nos discours ou à nos comportements.

Pourtant, nous ne décidons que très peu. Je ne parle même pas de ce qui est déjà biologiquement et hormonalement déterminé, ce qui nous entraînera déjà dans des vies écrites d’avance. Si on y ajoute les déterminants sociaux, il ne nous reste que peu de « temps de cerveau disponible » pour savoir si réellement ce que nous décidons, nous le décidons par nous-mêmes ou si nous sommes influencés par autre chose.

Cela peut être la famille, les amis, les collègues, la publicité ou les médias sociaux. Observer nos attitudes, nos façons de penser, de nous habiller et tout simplement de vivre, peut nous interroger sur nos libertés de choix.

Alors, dire que des médias publics ou privés sont pleins d’idéologie, que les personnes y travaillant soient influencées ou influenceuses, nous amène juste à une possible influence pour nous focaliser sur des choses que tout le monde sait déjà, et peut-être à ne pas nous concentrer sur des choses que l’on peut un peu plus maîtriser : nous-mêmes.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

 Pank’s Reflections / Snapshot #443: The Importance of Influence

We can see, with affairs like that of France Inter or the buyout of media outlets to orient editorial lines, that the world is guided by a force that we cannot see and which is denied when we try to bring it to light.

Influence operates through various forms of soft power and different connections or individuals placed in structures that will, without making waves and in the dark, lead decision-makers, as well as voters, to go where they have been conditioned.

What is complex about this discreet manipulation is that, just like in hypnosis sessions with people who « resist, » the rationalization of events or behaviors, along with our biases, will give reasons for our discourse or our actions.

However, we decide very little. I’m not even talking about what is already biologically and hormonally determined, which already leads us into pre-written lives. If we add social determinants, we are left with little « available brain time » to know if what we decide, we are truly deciding it ourselves or if we are influenced by something else.

This could be family, friends, colleagues, advertising, or social media. Observing our attitudes, our ways of thinking, dressing, and simply living, can make us question our freedom of choice.

So, to say that public or private media are full of ideology, that the people working there are influenced or influencers, just leads us to a possible influence to focus on things that everyone already knows, and perhaps not to concentrate on things that we can control a little more: ourselves.

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

Réflexions de Pank / Instantané #425 : Le pouvoir des récits

Si nos civilisations se sont développées partout dans le monde, c’est notamment grâce à la diffusion de messages à travers des histoires et des récits. Ce qui était à l’origine un partage verbal a pu être consigné dans des livres et conservé de génération en génération.

Nous sommes tous des conteurs d’histoires, chacun à notre manière. Certains sont meilleurs que d’autres, mais universellement, nous le sommes.

Aujourd’hui, les récits sont stratégiquement mis en avant pour se valoriser soi-même et surtout pour le commerce et l’influence, afin de motiver les auditeurs à venir écouter des contenus ou à acheter des produits.

Ceux qui n’osent pas raconter ces histoires, souvent partiellement vraies et adaptées aux auditoires, se retrouvent avec un temps de retard.

De plus en plus, les récits destinés à stimuler et à tenir en haleine doivent être extraordinaires et parfois provocateurs. Il devient de plus en plus complexe de maintenir l’attention sur son récit, dans une société numérique où tout a déjà été vu, su ou, pour certains, vécu virtuellement.

Cela entraîne une exagération, déjà inhérente à la nature du récit, mais à des niveaux stratosphériques. Ce qui aurait pu être considéré comme pathologique, une forme de mythomanie, voire absurde et ‘honteux’, ne devient qu’un moyen de maintenir l’attention et de générer de futures publications courtes (shorts ou snaps) qui feront partie de la stratégie du récit.

Développer sa capacité à raconter pour capturer l’attention et l’ouvrir peut changer des vies. Cependant, passer son temps à mentir pour son succès risque d’écrire une histoire que le conteur ne voudrait pas vivre.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Thoughts / Snapshot #425 : The Power of Narratives

If our civilizations have developed all over the world, it is notably through the dissemination of messages in stories and narratives. What was once verbal sharing was preserved in books and passed down from generation to generation.

We are all storytellers, each in our own way. Some are better than others, but we are universally so.

Today, narratives are strategically put forward to promote oneself and, above all, for business and influence, motivating listeners to consume content or buy products.

Those who don’t dare to tell these stories—often partially true and adapted to the audience—will find themselves falling behind.

Furthermore, narratives designed to stimulate and captivate must be extraordinary and sometimes provocative. It is becoming increasingly complex to maintain attention on one’s story in a digital society where everything has already been seen, known, or, for some, virtually experienced.

This leads to exaggeration, already inherent to the nature of storytelling, but on a stratospheric level. What might have been considered pathological, a form of mythomania, or even absurd and ‘shameful,’ becomes merely a means of maintaining attention and generating future short publications (shorts or snaps) that will be part of the narrative strategy.

Developing the ability to tell stories to capture and open up attention can change lives. However, spending one’s time lying for success risks writing a story that the storyteller would not want to live.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Pank Hypnosophie #1104 : Quelques éléments sur l’utilisation de votre réseau et de votre influence

Utiliser son réseau est parfois perçu comme de la manipulation ou un rapport utilitaire. Pourtant, l’influence sociale est une compétence qui se développe et qui peut générer de la satisfaction pour toutes les parties impliquées.

Testez, observez et concluez par vous mêmes.

Les potentiels sont en vous.

La connaissance est Partage

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous

Be One

Pank

Sites Mp3 Gratuits : https://hno-mp3-hypnose.com/

Mail : pank@pank.one

Page FB : https://www.facebook.com/pankdehno

Chaîne Youtube : https://www.youtube.com/@pankhno

#réseauxsociaux #influence #autohypnose #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #psychologie

Réflexions de Pank / Instantané #393 : Prendre attention aux “Reels”…

L'article explore l'impact de l'utilisation excessive de l'IA sur la langue et la perte des nuances dans l'expression écrite. Il examine également l'influence des réseaux sociaux, en particulier l'utilisation du mot "Reel", et comment cela peut affecter notre perception et notre état interne. L'auteur souligne l'importance de la maîtrise du langage et de la conscience de l'impact des mots.

Ce matin, je m’interrogeais sur les mots en lisant un article qui mettait en avant que la surexploitation des IA pour faire des articles ou des dossiers allait appauvrir les langues et, plus important, les nuances que nous pouvons chercher à mettre dans nos expressions écrites.

Pour l’heure, il n’y a pas forcément de gêne à cela, parce que même les professeurs, parfois, pour des examens nationaux, sont poussés à accepter certaines réponses écrites en phonétique. Pourtant, les mots, les langues et leur écriture sont une évolution assez propre à l’humain, et il est dommage d’en perdre la maîtrise.

C’est donc au sens des produits que je me suis intéressé un instant, surtout sur ce qui me semble aujourd’hui notre pire ami/ennemi : les réseaux sociaux. Nous savons, dans la démarche marketing surtout actuelle qui se veut internationale, que les mots doivent être faciles à retenir.

Et si YouTube, pour bien faire comprendre la différence entre les vidéos longues et courtes (et surtout rattraper TikTok), a mis en place des Shorts, Instagram, lui, a utilisé le mot Reel. La première chose que nous pouvons voir, pour nous francophones, c’est l’homophonie possible avec l’idée de “réel”, d’ailleurs, certains l’écrivent ainsi.

Or, si une séquence vidéo est considérée comme un reel ou un réel, que nous le voulions ou non, cela nous influence (voir toutes les logiques exploitées en hypnose indirecte sur le sujet). Nous savons que beaucoup d’informations sur ces réseaux, comme les autres, sont fausses ou en partie fausses.

Et même pour mes anglophones, « reel » est à la fois tituber/vaciller, ce qui éveille une notion d’instabilité, qui, de la même façon, est une suggestion indirecte qui, à force de répétition, peut déclencher des retours. La fameuse importance du « self talk ». Même si, au final, Meta a souhaité l’associer à Bobine.

Un mot est un outil, un mot est une balle, un mot peut vraiment changer beaucoup de choses dans nos conversations, mais aussi dans nos états internes s’il est perçu d’une façon ou d’une autre…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

Pank’s Reflections / Snapshot #393: Pay Attention to “Reels”…

This morning, I was pondering over words while reading an article that highlighted how the overexploitation of AI to create articles or reports would impoverish languages and, more importantly, the nuances that we may seek to put into our written expressions.

For the time being, there isn’t necessarily any discomfort in this, because even teachers, sometimes, for national exams, are pushed to accept certain answers written phonetically. Yet, words, languages, and their writing are an evolution quite unique to humans, and it is a shame to lose its mastery.

It is therefore to the meaning of products that I was interested in for a moment, especially on what seems to me today our worst friend/enemy: social networks. We know, in the marketing approach, especially the current one which aims to be international, that words must be easy to remember.

And if YouTube, to make the difference between long and short videos clear (and especially to catch up with TikTok), has implemented Shorts, Instagram, for its part, has used the word Reel. The first thing we can see, for us French speakers, is the possible homophony with the idea of “real”, in fact, some write it that way.

However, if a video sequence is considered a reel or a real, whether we want it or not, it influences us (see all the logics exploited in indirect hypnosis on the subject). We know that a lot of information on these networks, like others, is false or partly false.

And even for my English speakers, « reel » is both stagger/waver, which awakens a notion of instability, which, in the same way, is an indirect suggestion that, with repetition, can trigger returns. The famous importance of « self talk ». Even if, in the end, Meta wanted to associate it with Bobine.

A word is a tool, a word is a bullet, a word can really change a lot of things in our conversations, but also in our internal states if it is perceived in one way or another…

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

Réflexions de Pank / Instantané #371 : La guerre de l’information dans l’hypnose

Dans cette réflexion, Pank critique vivement le discours de certains experts en hypnose concernant l'affaire Miller. Il remet en question leur déni de la possibilité d'influencer une personne jusqu'à obtenir un consentement non désiré, surtout dans des contextes d'autorité et d'influence subtile. L'auteur y voit une potentielle "guerre de l'information" où la protection de l'image de la profession ou d'intérêts commerciaux pourrait conduire à une minimisation des risques d'abus et à un déni des expériences vécues par les victimes.

Nous avons fait deux lives sur le Podcast du parisien concernant l’affaire Miller. Dans la seconde partie que vous pouvez retrouver ici : https://youtube.com/live/3IY62RHs1ik?feature=share Les autrices de l’ouvrage Anatomie d’une prédation (https://www.fnac.com/a21145419/Cecile-Ollivier-Anatomie-d-une-predation) expliquent qu’elles se sont rapprochées d’experts de l’hypnose pour savoir si c’était possible que M. Miller ait hypnotisé les jeunes femmes plaignantes d’agression sexuelle, pour obtenir des faveurs.

Quand je lis ce qui a été expliqué par les experts qui pourtant sont connus et enseignants de la discipline, j’ai pété un plomb. La notion de contournement du facteur de jugement (en diminution de l’activité préfrontale) n’étant pas un paradigme en hypnose indirecte, ils partagent l’idée que c’est une fable de faire consentir quand on ne veut pas… oui mais quand on est sous influence ? Quand la personne est une figure d’autorité reconnue ? Quand il y a le levier de gentillesse et de réciprocité ? Est-ce que ce n’est pas un magnifique processus inductif avec une série de yes set depuis le studio de télévision ?

En y réfléchissant, je me demande pourquoi on ne dit pas ce qui est possible, certes sous des tas de conditions, mais qui est faisable, preuve en est M. Miller. Et puis, souvent les experts vivent au travers d’une image “bienveillante”, se battent pour enlever la mauvaise image parfois pour une raison simple… ils ont de grosses écoles où ils proposent des cursus coûteux. Il y a peut-être aussi une envie de passer pour une personne subtile et avec une parole exquise (comme M. Miller) plutôt que comme un spécialiste d’une hypnose que l’on met de côté, le covert hypnosis (ce n’est pas un truc fou, juste de l’hypnose conversationnelle dont on ne sait pas que c’est une structure hypnotique).

Du coup, on fait de la guerre de l’information, on balance des choses fausses et comme ils sont des référents (comme M. Miller) on se dit que ça ne peut être que juste, alors que l’histoire et surtout la pratique nous montrent l’inverse. On y ajoute des informations maintenant obsolètes comme les complices en hypnose de scène qui n’ont plus besoin d’exister depuis longtemps pour décrédibiliser l’hypnose de scène, celle qui fait peur et qui montre que sur une population sélectionnée, il est vraiment possible d’aller très très loin….

Que l’on protège sa discipline ou son business, je comprends, mais que cela puisse diffuser des idées qui entraînent une impunité de ces hypnos qui prendront ces émissions et livres comme protection en montrant “qu’il n’est pas possible de faire consentir avec de l’hypnose si on ne veut pas”, risque d’entraîner de nombreux dénis de dépôt de plainte de personnes abusées sous hypnose …

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #371: The Information War in Hypnosis

We did two live sessions on the Parisian’s podcast concerning the Miller case. In the second part, which you can find here: https://youtube.com/live/3IY62RHs1ik?feature=share, the authors of the book « Anatomie d’une prédation » (Anatomy of a Predation) (https://www.fnac.com/a21145419/Cecile-Ollivier-Anatomie-d-une-predation) explain that they approached hypnosis experts to find out if it was possible that Mr. Miller had hypnotized the young women accusing him of sexual assault to obtain favors.

When I read what was explained by these experts, who are nevertheless known and teach the discipline, I blew a fuse. The notion of bypassing the judgment factor (through a decrease in prefrontal activity) not being a paradigm in indirect hypnosis, they share the idea that it’s a fable to make someone consent when they don’t want to… yes, but what about when one is under influence? When the person is a recognized authority figure? When there is the lever of kindness and reciprocity? Isn’t that a magnificent inductive process with a series of Yes sets from the television studio?

Thinking about it, I wonder why we don’t say what is possible, certainly under many conditions, but what is feasible, as Mr. Miller proves. And then, often experts live through a « benevolent » image, fighting to remove the bad image sometimes for a simple reason… they have large schools where they offer expensive courses. There might also be a desire to come across as a subtle person with exquisite speech (like Mr. Miller) rather than as a specialist in a hypnosis that is put aside, covert hypnosis (it’s not a crazy thing, just conversational, where one doesn’t realize it’s a hypnotic structure).

As a result, we have an information war, we put out false things, and because they are references (like Mr. Miller), we think it can only be right, while history and especially practice show us the opposite. We add now obsolete information, like the accomplices in stage hypnosis who have long been unnecessary, to discredit stage hypnosis, the one that scares and shows that in a selected population, it is really possible to go very, very far….

Whether one protects their discipline or their business, I understand. But the fact that this can spread ideas that lead to impunity for these « hypnos » who will take these shows and books as protection by showing « that it is not possible to make someone consent with hypnosis if they do not want to, » risks leading to numerous rejections of complaints from people abused under hypnosis…

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #366 : Le triangle dramatique made in USA

L'article analyse l'application du triangle de Karpman (bourreau, victime, sauveur) à la politique internationale, en prenant l'exemple des États-Unis. Il décrit comment les États-Unis peuvent passer de la posture de victime à celle de bourreau, et les réactions des autres pays face à ces dynamiques.

Vous connaissez certainement le triangle de Karpman qui met en avant les postures de bourreau, victime et sauveur. Un jeu avec les autres qui permet de recevoir des « rétributions » diverses. En ce moment, nous pouvons observer ce qui se passe avec les USA qui se mettent en mode victime.

Les pauvres Américains se sentent avoir été la vache à lait des autres pays du monde et Trump a décidé que maintenant il fallait que les méchants bourreaux internationaux paient. Du coup, celui qui se sent victime commence à transformer sa posture et surtout ses discours pour transformer les faits et en faire un récit acceptable.

Menant une frange de la population à adhérer, parce qu’ils se font embarquer dans l’histoire inventée, sauf que le « réel » de l’économie, lui qui aime un type d’histoires, ne se sent pas en accord avec le nouveau paradigme. Du coup, quand le discours victimaire, qui sur le coup est un faux témoignage, se termine, les US se retrouvent à devenir un bourreau.

Imposant sa toute-puissance, et mettant les États associés en victimes. Mais là encore, les marchés régulent la posture en rappelant gentiment que tous les partenaires ne vont pas entrer dans ce triangle, et accepter la posture attendue. Il y a donc réponse pour certains qui entraîne le bourreau à chercher encore plus d’agressivité.

Soudainement, le président comprend qu’il ne peut rester à agresser au risque de devenir une victime du système économique. Donc il annonce un « sauvetage » de 90 jours. Tout en restant en réalité avec des traits d’agresseur. Vous savez, celui qui tape sa/son conjoint/e, mais qui comprend que là c’est trop et qui s’adoucit et se « rachète » avant la prochaine salve…

Ne pas entrer dans le triangle, comme pour une fois la politique européenne a décidé (ou les processus de décision sont trop lents), reste une réponse qui offre des angles de réponses et surtout une diminution de l’emprise que nous savons tous déjà trop importante dans ce monde…

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #366: The Dramatic Triangle Made in USA

You are certainly familiar with the Karpman drama triangle, which highlights the roles of persecutor, victim, and rescuer. A game with others that allows one to receive various « rewards. » Currently, we can observe what is happening with the USA, which is positioning itself as the victim.

The poor Americans feel they have been the cash cow for other countries in the world, and Trump has decided that now the wicked international persecutors must pay. As a result, the one who feels like a victim begins to transform their stance and especially their discourse to reshape the facts and create an acceptable narrative.

Leading a segment of the population to adhere, because they get caught up in the invented story, except that the « reality » of the economy, which prefers a certain type of story, does not feel in agreement with the new paradigm. Consequently, when the victim narrative, which is essentially false testimony, ends, the US finds itself becoming a persecutor.

Imposing its omnipotence, and placing associated states in the role of victims. But here again, the markets regulate the stance by gently reminding that not all partners will enter this triangle and accept the expected role. There is therefore a response from some that leads the persecutor to seek even more aggression.

Suddenly, the president understands that he cannot continue to aggress at the risk of becoming a victim of the economic system. So he announces a 90-day « rescue. » While still retaining, in reality, the traits of an aggressor. You know, like someone who hits their partner but realizes they’ve gone too far and softens and « redeems » themselves before the next outburst…

Not entering the triangle, as European politics has decided for once (or the decision-making processes are too slow), remains a response that offers different angles of response and, above all, a reduction of the influence that we all know is already too significant in this world…

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #365 : La négociation par la peur

L'article analyse la stratégie de négociation basée sur la peur, illustrée par l'approche de Trump, et la compare à des stratégies alternatives comme celle de l'Europe, plus prudente et observatrice. Il souligne l'importance de la gestion des rapports de force et de la retenue dans les interactions quotidiennes.

Nous observons en ce moment la stratégie bien connue de Trump : exercer une pression avec des exigences fortes et imposer des conditions pour forcer les structures les moins stables à négocier. C’est un jeu qui fonctionne lorsqu’on a l’impression d’être en position de pouvoir.

Et nous savons que les États-Unis ont cette semi-réalité, ils restent une nation forte. Mais que se passe-t-il quand un autre acteur décide de ne pas céder à cet excès et de s’opposer, comme la Chine ? Il en résulte une impossibilité immédiate de négocier, une fracture qui, même si elle finit par se résorber, laissera des traces et diminuera les rapports de confiance, au moins avec les gouvernements actuels.

Il y a aussi le négociateur qui fait preuve de retenue dans ses réponses. Dans ce cas, nous nous retrouvons face à une Europe qui utilise une stratégie des petits pas. Ayant bien compris le processus de l’Américain et son instabilité, elle prend des décisions moins engageantes et se donne surtout la possibilité d’accélérer au besoin ou de tout bloquer.

Dans notre quotidien, nous avons souvent des responsables ou des personnes qui peuvent avoir un pouvoir sur nous et qui fonctionnent comme un Trump : excessifs et exagérant les propos ou les menaces, mais qui vont devoir, sous la pression interne ou systémique, revenir sur leurs déclarations.

En fonction de nos propres intérêts et de nos possibilités, il est peut-être plus judicieux de réagir comme les Européens, plus attentistes certes, mais observateurs et anticipateurs, plutôt que de jouer sur une notion que nous pourrions qualifier d’émotionnelle et associée aux egos. Ne pas se faire marcher dessus n’empêche pas de laisser l’opposant s’approcher à distance d’une lutte, c’est-à-dire assez près, mais contenu par des attitudes, des mots et des arguments qui empêchent la prise de contrôle.

Un peu comme dans un match de Jiu-Jitsu/Judo, la gestion du grip, de la prise initiale, va jouer, même si on peut avoir l’impression que l’adversaire est plus imposant et certainement plus puissant. Tout se joue sur la mise en place d’une structure solide en évitant l’opposition frontale.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #365: Negotiation by Fear

We are currently observing Trump’s well-known strategy: exerting pressure with strong demands and imposing conditions to force less stable structures to negotiate. It’s a game that works when you feel like you’re in a position of power.

And we know that the United States has this semi-reality; they remain a strong nation. But what happens when another actor decides not to yield to this excess and opposes it, like China? The immediate impossibility of negotiation results, a fracture that, even if it eventually heals, will leave scars and diminish trust, at least with current governments.

There is also the negotiator who shows restraint in their responses. In this case, we find ourselves facing a Europe that uses a step-by-step strategy. Having understood the American’s process and instability, it makes less engaging decisions and, above all, gives itself the possibility of accelerating if necessary or blocking everything.

In our daily lives, we often have managers or people who may have power over us and who act like a Trump: excessive and exaggerating statements or threats, but who will have to, under internal or systemic pressure, retract their statements.

Depending on our own interests and possibilities, it may be wiser to react like the Europeans, more wait-and-see, certainly, but observant and anticipatory, rather than playing on a notion that we could describe as emotional and associated with egos. Not being walked over doesn’t prevent letting the opponent approach a struggle at a distance, that is, close enough but contained by attitudes, words, and arguments that prevent taking control.

Much like in a Jiu-Jitsu/Judo match, the management of the grip, the initial hold, will play a role, even if you may feel that the opponent is more imposing and certainly more powerful. Everything depends on setting up a solid structure while avoiding frontal opposition.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #356 : La difficulté de la communication en groupe

 Cet article explore les complexités de la communication au sein d'un groupe, en particulier dans des contextes informels. Il contraste la communication hiérarchique avec les défis rencontrés dans les groupes dynamiques, où les interruptions, la fatigue et les sujets sensibles peuvent entraver une communication efficace. L'auteur, Pank, souligne l'importance de comprendre les mécanismes de la communication de groupe, surtout pour les praticiens de l'hypnose qui utilisent des techniques comme le rapport, le pace et le lead.

Hier avec une partie des HnO, on parlait d’un élément qui parfois peut être mis de côté quand on parle de communication : celui de faire transmettre ses messages quand on est dans un groupe. Comme le faisait remarquer Christine, quand on est dans un mouvement où il y a un “leader” comme c’est le cas dans une entreprise ou dans un cadre bien défini d’entreprise, c’est relativement simple.

Le groupe peut être considéré comme une entité et donc on efface les variables personnelles. De plus, la fonction “hiérarchie” étant acceptée, on se retrouve plus dans un mode marketing ou publicitaire, avec un mémo oral. Là où ça commence à se complexifier d’autant plus pour nous les hypnotistes issus d’un modèle qui reprend des notions PNL ou ericksonniennes, tel que le rapport, le pace et le lead.

Parce que si dans un tête-à-tête cela peut facilement se faire, dans un groupe libre et dynamique comme avec des amis, en soirée, autour d’un verre, etc., l’émetteur peut être interrompu. Du coup, les transes et le rapport que nous avons pu établir peuvent en un instant vriller et les différents éléments qui viennent s’insérer dans l’échange peuvent entraîner une incapacité à recadrer, ou cela peut prendre beaucoup de temps.

C’est à ces moments où l’énergie des différents émetteurs comme récepteurs se fait happer et outre le fait que la communication orientée se transforme en palabre confus, la fatigue va faire changer au fur et à mesure la façon d’interpréter les messages, mais aussi la façon de les proposer. Si à cela vous y ajoutez des sujets un peu tendus ou provoc, il y a de fortes chances qu’émergent des injonctions plus que des discussions et des interlocuteurs qui vont créer des binômes se séparant de l’échange commun.

Communiquer en groupe est différent de ce que nous connaissons et comprendre les rouages pour à minima diffuser son idée, serait déjà une première étape importante.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #356: The Difficulty of Group Communication

Yesterday with some of the HnO, we were talking about an element that can sometimes be overlooked when we talk about communication: that of getting your messages across when you’re in a group. As Christine pointed out, when you’re in a movement where there is a « leader, » as is the case in a company or in a well-defined corporate setting, it’s relatively simple.

The group can be considered as an entity, and therefore personal variables are erased. Moreover, since the « hierarchy » function is accepted, we find ourselves more in a marketing or advertising mode, with an oral memo. Where it starts to get more complex, especially for us hypnotists from a model that incorporates NLP or Ericksonian notions, such as rapport, pace, and lead.

Because if this can be easily done in a one-on-one setting, in a free and dynamic group like with friends, at a party, over a drink, etc., the sender can be interrupted. As a result, the trances and rapport that we may have established can go awry in an instant, and the various elements that are inserted into the exchange can lead to an inability to reframe, or it can take a long time.

It is at these moments that the energy of the different senders and receivers is seized, and in addition to the fact that oriented communication turns into confused chatter, fatigue will gradually change the way messages are interpreted, but also the way they are proposed. If you add to that somewhat tense or provocative subjects, there is a strong chance that injunctions rather than discussions will emerge, and interlocutors will create pairs, separating themselves from the common exchange.

Communicating in a group is different from what we know, and understanding the mechanisms to at least disseminate one’s idea would already be an important first step.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #336 : L’illusion du « Se sentir concerné »

Pank explore la notion de "se sentir concerné" et la questionne comme un processus d'induction pouvant entraîner une adhésion non critique à des causes ou idéologies. Il met en lumière l'influence de l'idée de responsabilité collective et de l'empathie dans ce phénomène, et invite à une réflexion sur l'authenticité de nos engagements.

Comme je le partageais dans ma capsule de ce matin (https://youtu.be/Ooy7WvajwHA), la notion de « se sentir concerné » me semble être une sorte de processus inductif qui nous entraîne dans une transe. Dès lors, l’ensemble des systèmes dans lesquels nous évoluons, internes et externes, deviennent des suggestions que nous suivons en limitant notre esprit critique.

En extrapolant, je me demande si nous pouvons nous sentir concernés par ce qui ne nous concerne pas réellement.  Comme une induction indirecte, nous plongeons dans des causes, des idéologies ou des pensées politiques diverses, comme aspirés par une dynamique obscure.

Je vous faisais part de l’idée qu’une technique d’influence consiste à nous faire croire que nous sommes tous responsables.  L’écologie, la sécurité…  « Il faut être tous ensemble ! ». Petit à petit, l’individu, déjà nourri par notre société individualiste, peut se sentir appartenir à un groupe.  Dans cette notion de rassemblement, volontaire ou non, il devient un élément qui peut, sans s’en rendre compte, se sentir concerné, même si le sujet n’est pas lié à son vécu, à son « réel ».

L’empathie, cette facette naturelle de l’humain, souvent mise en avant comme une qualité sociale, peut également être un vecteur d’induction.  Elle offre une clé pour entrer en « substitution » avec l’autre ou le groupe.  Dès lors, on a la sensation que le discours ou les actions nous appartiennent, alors qu’ils sont probablement mus par d’autres leviers.

Par quoi vous sentez-vous concerné ?  Avez-vous rationnellement plongé dans ces sujets en lien avec votre « réel » ?

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Reflections of Pank / Snapshot #336: The Illusion of « Feeling Concerned »

As I shared in my capsule this morning (https://youtu.be/Ooy7WvajwHA), the notion of « feeling concerned » seems to me to be a kind of inductive process that draws us into a trance. From then on, all the systems in which we evolve, internal and external, become suggestions that we follow by limiting our critical thinking.

Extrapolating, I wonder if we can feel concerned about things that don’t really concern us. Like an indirect induction, we immerse ourselves in various causes, ideologies or political thoughts, as if sucked in by an obscure dynamic.

I was sharing with you the idea that one technique of influence is to make us believe that we are all responsible. Ecology, security… « We must all be together! ». Little by little, the individual, already nourished by our individualistic society, can feel that they belong to a group. In this notion of gathering, voluntary or not, they become an element that can, without realizing it, feel concerned, even if the subject is not related to their experience, to their « reality ».

Empathy, this natural facet of human beings, often put forward as a social quality, can also be a vector of induction. It offers a key to enter into « substitution » with the other or the group.  From then on, we have the feeling that the discourse or the actions belong to us, whereas they are probably driven by other levers.

What do you feel concerned about? Have you rationally immersed yourself in these subjects in connection with your « reality »?

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Hypnose et Manipulation Mentale #74: Est ce que le consentement est nécessaire pour être hypnotisé ?

Cette notion de consentement est mise en avant en ce moment, et il y a une attention à porter sur le sujet.

Consultations et Formations: http://www.pank.one

Testez, observez et concluez par vous mêmes.
Les potentiels sont en vous.
La connaissance est Partage
Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous
Be One
Pank

Sites Mp3 Gratuits : https://hno-mp3-hypnose.com/

Mail : pank@pank.one
Page FB : https://www.facebook.com/pankdehno
Chaîne Youtube : https://www.youtube.com/@pankhno

influence #darkempath #phobie #softpower #hypnosePolitique #hypnoseetmanipulation #effetmouton #mkultra #Propagande #hypnose #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #Psychologie #manipulation