Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #391 : Les « arts martiaux » vs le modernisme militaire

Une analyse comparative du nombre de morts dans les conflits anciens et modernes, soulignant l'impact des armes blanches et des armes à feu, et remettant en question l'efficacité perçue des arts martiaux dans un contexte de guerre.

On ne peut que constater que la guerre et les conflits humains sont une réalité quotidienne pour de nombreuses populations. On entend constamment parler des guerres modernes, basées sur les drones, les missiles à distance, et la menace toujours présente de la bombe nucléaire.

Quand j’entends quotidiennement le nombre de morts causées par les missiles et les attaques avec des tanks ou autres, je me dis que même si c’est déjà trop… c’est peu.

Nous avons des armes à feu modernes, des possibilités officiellement destructrices capables de tout anéantir… mais comparé aux guerres d’autrefois, où l’on utilisait des flèches, des épées ou des fusils de qualité moindre, les affrontements et les systèmes de combat étaient concrets et destinés à tuer.

Les chiffres que je partage avec vous sont « officiels », mais ils servent surtout de points de repère pour notre réflexion. Aujourd’hui, un conflit comme celui entre la Russie et l’Ukraine a fait, en 3,3 ans, 203 000 morts, soit 170 par jour. Nous sommes dans l’ère moderne de la guerre. À titre d’exemple, au Rwanda, où les massacres ont été commis à la machette et aux armes à feu, on a dénombré entre 500 000 et 800 000 morts en 104 jours, soit 4 800 à 7 000 tués par jour…

On se rend bien compte que les plus grands massacres de nos guerres ont souvent été perpétrés par des combattants, des militaires ou des civils en colère. Prenons l’exemple du 13e siècle avec Gengis Khan, où l’on utilisait des flèches et des sabres : 40 000 000 de morts en 21 ans, soit plus de 5 000 tués par jour (10 % de la population mondiale).

Je pourrais vous parler du Congo et de ses 6 millions de morts. Il est entendu que tous ces décès ne sont pas dus à des affrontements ; les maladies et les famines consécutives à ces guerres en sont également responsables.

Se dire que combattre pour tuer avec des armes blanches a fait plus de morts que nos tonnes de bombes ou de missiles depuis le 20e siècle me laisse songeur, quand on entend que les arts martiaux n’ont pas d’efficacité… Si l’on s’en tient à ce malheureux constat, d’un point de vue statistique, nos guerres modernes sont, heureusement pour nous, moins dévastatrices.

Puissent la paix se développer… et nos instincts belliqueux ne s’exprimer que dans nos salles et nos dojos.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Martial Reflections of an Hypnofighter #391: « Martial Arts » vs. Military Modernism

We can only see that war and human conflict are present in the daily lives of many populations. We only hear that modern wars are based on drones, remote missiles, and the ever-present possibility of nuclear bombs.

When I hear daily the number of deaths that missiles and attacks with tanks or other weapons share with us in the news, I reflect that even if it is already too much… it is little.

We have modern firearms, we have officially destructive possibilities to destroy everything… but compared to old-fashioned wars where arrows, swords or reduced quality rifles were used. The oppositions or combat systems were used in concrete terms and to kill.

The figures that I share with you are « official », but it is more of a marker for our reflection. Today a conflict like Russia and Ukraine in 3.3 years has had 203,000 deaths or 170 per day. We are in the modern era of warfare, for example where we know that massacres were carried out with machetes and firearms, Rwanda in 104 days lost between 500 and 800,000 people, or 4,800 to 7,000 killed per day…

We realize that the biggest massacres of our wars have often been carried out by fighters, soldiers or angry civilians. Let’s go back to the 13th century with Genghis Khan, and there it was arrows and sabers: 40,000,000 dead in 21 years or more than 5,000 killed per day (10% of the world population).

I could tell you about Congo and its 6 million deaths. In all these deaths it is understood that not everything was due to confrontations, disease and other famine following these wars are also to blame.

To say that fighting to kill with edged weapons has killed more people than our tons of bombs or missiles since the 20th century, leaves me thoughtful, when we hear that martial arts have no effectiveness… if we take this unfortunate observation, on a statistical principle, it is rather our modern wars and fortunately for us, are less devastating.

May peace develop… and may our warlike natures remain only in our rooms and dojos.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Pank Hypnosophie #1092 : Est ce que toutes ces guerres prouvent que nous ne savons pas être en paix?

Une réflexion sur la remise en question d’un point de vue micro de notre capacité à être en paix.

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Réflexions de Pank / Instantané #379 : Savons-nous vivre en paix ?

L'article explore la difficulté de l'humanité à vivre en paix, tant au niveau individuel que collectif. Il souligne la persistance des conflits, de la violence et de l'individualisme, malgré les efforts politiques et sociaux. L'auteur s'interroge sur la nature même de l'être humain, programmé pour l'homéostasie plutôt que pour la paix.

La paix pourrait être une idée commune, un monde qui ne vit pas sous les conflits et les violences absurdes. Ces dernières étant initiées par des instincts assez primitifs et une volonté de prise de pouvoir. Nous venons de fêter les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et ces 8 décennies, si nous n’avons pas, de notre côté en France, vécu en direct des guerres (plutôt avec des proxys), notre société n’est pas pacifiée.

Quoi que l’on fasse au niveau politique, économique ou social, il n’y aura jamais une satisfaction globale. Il y a sans cesse des conflits, de la violence verbale ou physique, il y a les idéologies, les tendances, ou les croyances qui entraînent encore une volonté d’imposer sa vision comme la seule qui soit juste.

Nous sommes dans un monde où, si les choses ne sont pas les pires, nous trouvons le moyen de dissoudre la solidarité, qui paradoxalement ne revient que lors de crises avant de disparaître dans un individualisme. On peut dire que c’est la cause d’un individualisme, mais nous savons que c’est la nature grégaire de l’humain qui, une fois satisfait, revient à se centrer non pas sur le groupe, mais sur soi.

Du coup, nous nous retrouvons dans un monde de paix qui ne peut se maintenir, comme si nous ne pouvions pas vivre sans conflit. Comme si la lutte pour maintenir la paix ne pouvait pas gagner face au besoin de lutte dans une guerre. Regardez le nombre de cessez-le-feu qui ne tiennent pas, certainement à cause d’un petit groupe de personnes qui estiment que la paix transitoire ne vaut pas le coup et balancent grenades et missiles…

Si on regarde individuellement qui est capable d’être en paix avec soi-même, il n’est pas certain que nous croisions beaucoup d’humains en paix. Alors comment voulez-vous que, déjà seuls avec nous, nous soyons en tension, nous puissions être en paix avec les autres, qui sont souvent tellement différents ? Nous sommes programmés pour de l’homéostasie, mais pas pour la paix…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
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Reflections by Pank / Snapshot #379: Do we know how to live in peace?

Peace could be a common idea, a world that does not live under conflicts and absurd violence. The latter being initiated by rather primitive instincts and a desire for power. We have just celebrated the 80th anniversary of the end of the Second World War. And these 8 decades, if we have not on our side in France directly experienced wars (rather with proxies), our society is not pacified.

Whatever we do at the political, economic or social level, there will never be global satisfaction. There is constant conflict, verbal or physical violence, there are ideologies, trends, or beliefs that still lead to a desire to impose one’s vision as the only one that is right.

We are in a world where, if things are not the worst, we find a way to dissolve solidarity, which paradoxically only returns during crises before disappearing into individualism. It can be said that this is the cause of individualism, but we know that it is the gregarious nature of the human being who, once satisfied, returns to focus not on the group, but on himself.

As a result, we find ourselves in a world of peace that cannot be maintained, as if we could not live without conflict. As if the struggle to maintain peace could not win against the need to fight in a war. Look at the number of ceasefires that do not hold, certainly because of a small group of people who believe that transitional peace is not worth it and throw grenades and missiles…

If we look individually at who is capable of being at peace with oneself, it is not certain that we will meet many humans at peace. So how do you expect that, already alone with ourselves, we are in tension, we can be at peace with others, who are often so different? We are programmed for homeostasis, but not for peace…

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
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Réflexions de Pank / Instantané #367 : La Guerre et l’Acceptable ?

L'auteur dénonce l'hypocrisie des discours politiques qui qualifient les atrocités de la guerre d'"inacceptables" tout en les tolérant de facto. Il souligne la brutalité intrinsèque des conflits, où la volonté de domination et les intérêts économiques et territoriaux priment sur toute considération humaine. Il critique également l'illusion des règles et conventions internationales, souvent bafouées dans la réalité des combats.

Hier encore, l’Ukraine a déploré des pertes civiles, frappée par des missiles russes. Des tragédies similaires se déroulent en Palestine, au Congo, et ailleurs. Nous entendons des déclarations politiques empreintes de termes tels que « inacceptable » et « indignation », alors qu’il s’agit de la guerre elle-même.

Nous avons cherché à édulcorer la réalité de la guerre, qui est l’expression brutale de la volonté territoriale, économique et politique de clans ou de pays cherchant à s’emparer de tout et à dominer l’autre. Il n’y a ni humanisation ni humanité dans la guerre, et rien de ce qui s’y passe n’est acceptable.

Comment peut-on utiliser des mots comme « accepter » ? « Nous acceptons que des bâtiments civils soient détruits, nous acceptons que des populations soient exterminées ou déplacées, nous acceptons la mort d’enfants, mais aussi celle de soldats, parfois à peine sortis de l’adolescence, qui sont broyés ou enrôlés comme enfants soldats. »

Il y a cette notion de « tolérable » : « Oh, tiens, il n’y a eu que 10 morts aujourd’hui, ça va. Regarde, il n’y a pas eu trop de viols, c’est presque une bonne guerre… » Nous sommes hypocrites. Ce n’est pas parce que le Zyklon B n’est pas utilisé à l’échelle industrielle, ce n’est pas parce que nous n’apprécions pas telle ou telle idéologie que nous pouvons accepter, tolérer ou admettre l’inacceptable.

La posture critique de tous les pays qui « gronde » ressemble à un parent qui lève le doigt en disant « ce n’est pas bien ». Mais dès que la guerre éclate, il n’y a plus de lois ni de règles. Les Conventions de Genève ne sont là que pour nous rassurer, pour donner une illusion de contrôle. Qui les respecte vraiment ? Nous-mêmes, qui figurons parmi les cinq premiers vendeurs d’armes au monde, avons-nous, en tant que nation économique, le souci réel d’éviter la guerre et ses atrocités ?

Nous sommes des marchands de mort, mais nous allons publier un communiqué, alors que tout le monde sait que la guerre et les intentions qui la sous-tendent sont toujours sordides et injustes, et que rien de ce qui sera fait ne pourra être normalisé. Seuls ceux qui n’ont jamais vécu la violence peuvent croire que des règles seront respectées une fois les combats engagés. La peur, le stress et la menace constante de mort instantanée submergent tout et anéantissent toute rationalité humaine.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #367: War and the Acceptable?

Yesterday again, Ukraine mourned civilian losses, struck by Russian missiles. Similar tragedies unfold in Palestine, Congo, and elsewhere. We hear political statements filled with terms like « unacceptable » and « outrage, » when this is war itself.

We have tried to sugarcoat the reality of war, which is the brutal expression of the territorial, economic, and political will of clans or countries seeking to seize everything and dominate the other. There is no humanization or humanity in war, and nothing that happens there is acceptable.

How can we use words like « accept »? « We accept that civilian buildings are destroyed, we accept that populations are exterminated or displaced, we accept the deaths of children, but also those of soldiers, sometimes barely out of adolescence, who are crushed or enrolled as child soldiers. »

There is this notion of « tolerable »: « Oh, well, there were only 10 deaths today, it’s okay. Look, there weren’t too many rapes, it’s almost a good war… » We are hypocrites. It’s not because Zyklon B is not used on an industrial scale, it’s not because we don’t appreciate this or that ideology that we can accept, tolerate, or admit the unacceptable.

The critical stance of all the countries that « grumble » resembles a parent raising their finger saying « that’s not good. » But as soon as war breaks out, there are no more laws or rules. The Geneva Conventions are only there to reassure us, to give an illusion of control. Who really respects them? Do we ourselves, who are among the top five arms sellers in the world, as an economic nation, really care about avoiding war and its atrocities?

We are merchants of death, but we will issue a statement, when everyone knows that war and the intentions behind it are always sordid and unjust, and that nothing that will be done can be normalized. Only those who have never experienced violence can believe that rules will be respected once the fighting begins. Fear, stress, and the constant threat of instant death overwhelm everything and annihilate all human rationality.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #294 : Quand la mémoire s’efface : leçons oubliées de la Grande Guerre

Ce texte explore l’incapacité collective à tirer des leçons des guerres passées, en dépit des commémorations et des enseignements historiques. Il questionne notre rapport à la mémoire et à la transmission des leçons de paix, tout en observant des parallèles troublants entre le passé et les tensions contemporaines.

Une guerre qui remonte à plus de 106 ans, c’est difficile à imaginer, surtout quand nous sommes actuellement bombardés par des images de conflits du 21e siècle, montrant la mort, la haine et la peur dans les yeux de ceux qui les vivent, qu’ils soient acteurs ou victimes.

Quand on cherche à accomplir un devoir de mémoire, il y a une intention, un désir. Nous évoquons les tranchées, cette souffrance, mais aussi ce qui est souvent moins mis en avant : le nombre de morts survenus après les combats, notamment en raison de l’utilisation d’armes chimiques dont les effets se sont manifestés des années plus tard. Nous en parlons pour éviter de recommencer.

Pourtant, ce message semble ne pas passer. Ces blessures et ces jeunes vies fauchées sans raison n’arrivent pas à être une suggestion suffisamment forte. Nous aimons nous illusionner en pensant que la connaissance est pouvoir, alors qu’elle n’est parfois qu’un amas d’objets rangés dans un garage, inutilisés.

Ces derniers mois, en France et ailleurs, nous avons pu observer des événements qui rappellent étrangement les contextes ayant mené à des négations de la démocratie ou à des exacerbations de tensions et de haines, susceptibles de déboucher sur des conflits similaires à ceux du passé. Pourtant, malgré notre connaissance historique, nos apprentissages forcés à l’école et nos jours de mémoire, nous ne parvenons pas à briser ce cycle, voire nous rationnalisons les évènements.

Que penseraient donc ces anciens, ceux qui ont vu, vécu et péri, face à l’oubli progressif de leur message ? Quand la compréhension des ravages causés par la haine, l’intolérance et la guerre est diluée, mise de côté et oubliée, parce que ritualiser la mémoire n’est pas investir cette dernière…

guerre #paix #combat #mémoire #14-18

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Be one,
Pank
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Reflections by Pank / Snapshot #294: When Memory Fades: Forgotten Lessons of the Great War

A war that dates back more than 106 years is hard to imagine, especially when we are constantly bombarded with images of 21st-century conflicts, showing death, hatred, and fear in the eyes of those who live through them, whether as participants or victims.

When we seek to honor the duty of remembrance, there is intention, a desire. We talk about the trenches, the suffering, but also what is often less highlighted: the number of deaths that occurred after the confrontations, especially due to the use of chemical weapons, whose effects persisted years later. We do this to ensure we never repeat such horrors.

Yet, this message seems to fall on deaf ears. These wounds and these young lives lost for no reason fail to serve as a strong enough warning. We like to delude ourselves into thinking that knowledge is power, while it often remains nothing more than a collection of unused items in a garage.

In recent months, in France and elsewhere, we’ve seen events reminiscent of those that led to denials of democracy or to the exacerbation of tensions and hatreds, potentially resulting in conflicts eerily similar to those of the past. And yet, despite our historical knowledge, the lessons drilled into us at school, and the memorial days we observe, we fail to break this cycle.

What would these ancestors think, those who saw, experienced, and perished, as their message is slowly forgotten? When the understanding of the destruction wrought by hatred, intolerance, and war is diluted, stored away, and neglected, because ritualizing memory is not the same as truly investing in it…

war #peace #fight #remembrance #WWI

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #270 : Les règles… illusions

 Cet article explore la distinction entre les sports de combat et la self-défense, soulignant que la brutalité des conflits armés dépasse les règles établies. À travers les siècles, la haine et la violence ont façonné une réalité où les règles ne sont que des illusions.

On fait souvent une distinction entre le sport de combat et la dimension de la self-défense, qui ne prend pas en compte les règles. En ce moment, nous faisons face à de nombreux conflits armés, et chaque protagoniste estime que l’extermination du camp adverse est juste. Comme dans un match, les combattants veulent éliminer leurs adversaires, souvent de manière impitoyable.

Ce que les arts martiaux et même l’art de la guerre mettent en avant comme une sorte de noblesse ne devient évident qu’après coup, une fois les guerres terminées, avec tous les morts et les atrocités accomplies.

Nous l’observons déjà dans le sport, où la haine et la violence sont facilement exprimées. Et avec des récits datant de décennies ou de centaines d’années, façonnant un désir de détruire l’autre, il ne reste plus ni règles ni honneur.

Les conventions, les armes interdites, et autres restrictions reviennent à dire, lors d’une agression de rue, que le provocateur n’a pas le droit d’être armé ou d’attaquer à dix contre un. Nous le lisons chaque jour dans les actualités : la violence et l’intention martiale sont brutales, sans limite de destruction. Il n’y a pas de règles, seulement des justifications.

Quant aux jugements potentiels, même pour une agression « simple » du quotidien, la justice peine à rendre son verdict. Alors quand il s’agit d’une nation, avec tous les enjeux économiques, la plupart des responsables qui n’auront pas respecté les prétendues règles mourront en paix, comme tant d’autres avant eux, dans un pays à l’abri…

La guerre, le combat brutal nourri par la haine de l’autre, n’aura jamais aucune règle ni limite.

#guerre #conflit #loi #règles #limite #haine #récit #paix #illusion #justice 

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Be one,

Pank

Martial Reflections of a Hypnofighter #270: Rules… Illusions

We often make a distinction between combat sports and the realm of self-defense, which disregards rules. At the moment, we are facing numerous armed conflicts, and each protagonist believes that the extermination of the opposing side is justified. Like in a match, the fighters aim to eliminate their opponents, often ruthlessly.

What martial arts and even the art of war promote as a kind of nobility only becomes evident after the fact, once wars are over, with all the deaths and atrocities committed.

We already see this in sports, where hatred and violence are easily expressed. And with stories dating back decades or even hundreds of years, shaping a desire to destroy the other, there are no longer any rules or honor.

Conventions, banned weapons, and other restrictions are akin to saying, in a street assault, that the aggressor does not have the right to be armed or attack with ten people against one « defenseless » individual. We read this every day in the news: violence and martial intent are brutal, without limits to destruction. There are no rules, only justifications.

As for potential judgments, even for a « simple » daily assault, justice struggles to deliver a verdict. So when it concerns a nation, with all the economic stakes, most of those responsible for not following the so-called rules will die in peace, just as so many others before them, in a safe country…

War, brutal combat fueled by hatred of the other, has and will never have any rules or limits.

#war #conflict #law #rules #limits #hatred #destruction #illusion #peace #justice

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Pank

HnO Coaching 359 / Réflexions sur les croyances #14 : Les croyances, une induction en transe fermée

Un des problèmes majeurs dans les échanges sur des conflits comme nous avons actuellement, c’est de ne plus être dans un lead du conscient mais une transe dirigée par notre subconscient donc nos croyances.

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HnO Coaching #102 : Diminuer les guerres/conflits (Internes -Externes) en s’apaisant ?

On peut passer son temps à critiquer les conflits, la colère des gens, le manque de respect et tout autre aspect de ce monde, néanmoins quand est ce que nous nous offrons la possibilité de retourner travailler sur notre propre stress, tension, conflit ou guerre intérieure ?

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