Réflexions martiales d’un Hypnofighter #482 : Encaisser quitte à se blesser

Dans le combat ou dans les actions de self-défense, l’idée générale est d’esquiver, de bloquer et de faire en sorte de ne pas en ressortir dans un état lamentable. Il y a cependant des exceptions, que ce soit en boxe ou en MMA, où certains combattants agressifs perdent des années de vie avec un style qui rentre dans toutes les actions. Cela fait malheureusement la joie des spectateurs qui objectivent les combattants.

Même si l’idée initiale (d’éviter les coups) est juste. Je ne parle même pas du cas des armes où l’encaissement est un pari sur la vie, surtout face à une lame, un bâton, une barre de fer, etc. Je vais néanmoins ajouter un « mais ».

Je me souviens de professeurs philippins dire avec une belle sincérité que si vous n’avez pas de lame et que vous n’avez plus de moyen de fuir, il faudra peut-être accepter de perdre votre main ou votre bras pour « éventuellement » jouer sur une opportunité… qui serait vraiment minime.

Il est contre-intuitif de faire du renforcement aux frappes, et il est impossible de renforcer sa tête. Des écoles comme le Karaté d’Okinawa, le Kyokushin et certains styles chinois ont des méthodes progressives pour être capable de prendre des coups en diminuant la possibilité de blessure et de KO.

Il ne faut pas croire qu’en situation de stress, tous nos automatismes nous amèneront à finir le conflit sans entrer dans le combat. Pour rappel, la self-défense est un « non-combat » ; elle ne cherche pas l’opposition mais la destruction de la structure agressive pour éviter la phase d’affrontement. Et même dans ces quelques secondes, il se peut qu’une droite, un coup de tête, une griffure ou autre vienne perturber nos actions. Si la douleur n’est pas gérée, elle peut nous mettre en situation d’échec.

Le renforcement n’est pas juste musculaire. C’est bien d’avoir des muscles, mais si l’on ne sait pas absorber ou continuer à combattre avec le nez en sang, la mâchoire en vrac ou les côtes douloureuses (entre autres), les muscles ne serviront pas de bouclier utile. Dans ma pratique, je dis à mes élèves : vous allez vous faire couper, peut-être vous faire « exploser ». Il faudra serrer les dents et « espérer » ne pas tomber KO pour aller au clinch puis au sol (en 1 contre 1 sans arme, bien sûr).

Préparer les apprenants à ces douleurs particulières, mentalement et de la façon la plus progressive possible à l’encaissement, est important dans tous les styles qui veulent préparer à la défense personnelle ou à l’opposition. Sans oublier que c’est quand même vraiment mieux d’esquiver.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous. Be One, Pank. https://www.passioncombat.net/

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Martial Reflections of an Hypnofighter #482: Absorbing hits even if it means getting injured

In combat or self-defense actions, the general idea is to dodge, block, and ensure you don’t emerge in a pitiful state. There are exceptions, however, whether in boxing or MMA, where certain aggressive fighters lose years of their lives with a style that engages in every action. This unfortunately delights spectators who objectify the fighters.

Even if the initial idea (of avoiding hits) is correct. I am not even talking about situations involving weapons, where « absorbing » is a gamble with your life, especially when facing a blade, a stick, an iron bar, etc. Nevertheless, I am going to add a « but ».

I remember Filipino teachers saying with beautiful sincerity that if you don’t have a blade and you no longer have a way to flee, you might have to accept losing your hand or your arm to « possibly » play on an opportunity… which would be truly minimal.

It is counter-intuitive to condition oneself for strikes, and it is impossible to strengthen one’s head. Schools like Okinawan Karate, Kyokushin, and certain Chinese styles have progressive methods to be capable of taking hits while decreasing the possibility of injury and KO.

We must not believe that under stress, all our automatisms will lead us to end the conflict without entering into combat. As a reminder, self-defense is « non-combat »; it does not seek opposition but the destruction of the aggressive structure to avoid the confrontation phase. And even in those few seconds, a right hand, a headbutt, a scratch, or something else might disrupt our actions. If the pain is not managed, it can put us in a situation of failure.

Conditioning is not just muscular. It’s good to have muscles, but if you don’t know how to absorb or continue fighting with a bloody nose, a messed-up jaw, or painful ribs (among other things), muscles will not serve as a useful shield. In my practice, I tell my students: you are going to get cut, maybe get « smashed ». You will have to grit your teeth and « hope » not to get knocked out so you can get to the clinch and then to the ground (in 1 vs 1 without weapons, of course).

Preparing learners for these particular pains mentally, and in the most progressive way possible for absorption, is important in all styles that want to prepare for personal defense or opposition. Without forgetting that it is still much better to dodge.

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Réflexions de Pank / Instantané #375 : La gestion de la douleur, une base essentielle

Cet article de Pank met en lumière l'importance cruciale de la gestion de la douleur dans l'apprentissage et la pratique de l'hypnose. Soulignant que l'hypnose est intrinsèquement liée au soulagement de la douleur physique, l'auteur déplore le manque d'emphase sur cette compétence fondamentale dans les formations actuelles. Il rappelle l'approche de John Butler sur la nécessité d'une pratique régulière de l'autohypnose pour maîtriser la gestion de la douleur et suggère de réintégrer cet aspect essentiel dans le cursus de l'hypnose, en complément du travail psychologique.

La gestion de la douleur est certainement l’élément le plus important pour tout apprenant en hypnose. Si elle est à l’origine de l’utilisation de cette discipline, pour “guérir” mais surtout soulager, l’hypnose offre une capacité à analgésier la majeure partie des problématiques physiques que nous vivons.

Il arrive néanmoins souvent que la plupart des apprenants ou des praticiens n’utilisent pas vraiment cette capacité fondamentale qu’offre l’hypnose : celle de gérer au mieux leurs douleurs.

S’il y a une chose réellement certaine, c’est que tout un chacun va, à un moment ou à un autre dans sa vie, finir par avoir des douleurs, et la gestion de ces dernières est un atout qui pourra améliorer des séquences de vie particulièrement complexes.

Alors, qu’est-ce qui fait que les hypnotistes n’utilisent pas davantage cette capacité ? Je vous rappelle que John Butler avait partagé l’idée que pour devenir un spécialiste de la douleur et avoir une capacité rapide à ne plus souffrir, il était nécessaire de s’exercer très régulièrement à entrer en transe, en auto-hypnose, afin d’orienter et de développer une autre capacité à gérer les différents maux.

Il est certain que nous ne savons pas ce que le futur nous proposera, ni le type de douleur que nous allons devoir gérer. Néanmoins, plus nous utilisons l’autohypnose, plus nous connaissons nos propres capacités, plus nous sommes à l’écoute de notre corps, plus nous allons avoir la compétence d’arriver à transformer l’information douloureuse vers une forme de neutralisation.

Bien sûr, il n’est pas toujours simple de réussir quand nous sommes dans des phases de stress ou que nous avons un choc psycho-émotionnel. C’est pour cette raison qu’il est impératif de développer cette compétence en amont, et de ne pas attendre d’être dans des phases de souffrance pour commencer à vouloir travailler sur elle.

Aujourd’hui, dans les formations, il est assez rare de travailler sur la douleur, parce que la plupart du temps nous nous orientons vers une démarche qui se veut plus psychologique que physique. Pourtant, ne serait-ce qu’apprendre une simple transe somnambulique qui, au travers d’une rapide suggestion, permet de diminuer voire de retirer toute sensation, pourrait être un atout qui pourra être utilisé tout au long d’une vie.

Remettons dans le cursus de l’hypnose, comme base fondamentale, la gestion des maux, qu’ils soient bien sûr physiques, et puis après, avec un travail parfois plus complexe, psychiques ?

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #375: Pain Management, the Foundation

Pain management is certainly the most important element for any hypnosis learner. If it is at the origin of the use of this discipline, to heal but above all to relieve, hypnosis offers a capacity to analgesize the majority of the physical problems we experience.

Nevertheless, it often happens that most learners or practitioners do not really use this fundamental capacity that hypnosis offers: that of managing their pain in the best possible way.

If there is one truly certain thing, it is that everyone will, at one time or another in their life, end up experiencing pain, and managing it is an asset that can improve particularly complex life sequences.

So, what makes hypnotists not use this capacity more often? I remind you that John Butler shared the idea that to become a pain specialist and have a rapid ability to no longer suffer, it was necessary to practice entering trance, self-hypnosis, very regularly in order to orient and develop another ability to manage different ailments.

It is certain that we do not know what the future holds for us, nor the type of pain we will have to manage. Nevertheless, the more we use self-hypnosis, the more we know our own capacities, the more we listen to our body, the more competent we will be in transforming painful information into a form of neutralization.

Of course, it is not always easy to succeed when we are in phases of stress or when we have a psycho-emotional shock. It is for this reason that it is imperative to develop this skill beforehand, and not to wait until we are in phases of suffering to start wanting to work on it.

Today, in training courses, it is quite rare to work on pain, because most of the time we orient ourselves towards an approach that is more psychological than physical. However, learning even a simple somnambulistic trance which, through a rapid suggestion, makes it possible to reduce or even remove any sensation, could be an asset that can be used throughout one’s life.

Should we put back into the hypnosis curriculum, as a fundamental basis, the management of ailments, whether they are of course physical, and then afterwards, with sometimes more complex work, psychological?

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #299 : Diffuser l’hypnose

Je discutais avec Brice du retour d’un des plus grands chercheurs en hypnose, David Spiegel, qui faisait une présentation lors de la convention britannique d’hypnose. Ce dernier, ayant démontré de manière rigoureuse et scientifique l’efficacité de cette discipline, conclut néanmoins sa carrière sur une note de déception.

En effet, aux États-Unis comme dans de nombreux autres pays, l’hypnose stagne. Elle subit les pressions du business pharmaceutique et de divers lobbies médicaux. Pourtant, il est scientifiquement prouvé que l’hypnose offre de nombreux bénéfices, notamment dans la gestion de la douleur, du sommeil, du stress/anxiété, des troubles psychosomatiques et des addictions.

Malheureusement, les populations qui pourraient bénéficier de ces avantages ne demandent pas l’utilisation de cette discipline. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elles ignorent son utilité en complément des traitements médicaux. En France, nous avons la chance d’avoir une sécurité sociale remarquable. Mais aux États-Unis, où les soins sont extrêmement coûteux, l’hypnose pourrait être une solution pour réduire les dépenses médicales.

Cependant, la volonté des autorités, dans de nombreux pays, d’interdire l’exercice de l’hypnose par des non-médecins n’arrange rien. Même les professionnels de santé formés via des DU (diplômes universitaires) — comme les infirmiers, médecins ou dentistes — admettent souvent ne pas utiliser leurs compétences faute de maîtrise ou de temps.

Il reste donc à Spiegel, tout comme à nous, passionnés d’hypnose, un seul chemin : celui de la popularisation de la discipline. Pas à travers des spectacles ou des démonstrations de rue, mais par des interviews, des démonstrations sérieuses et d’autres formes de communication. L’objectif serait de sensibiliser la population, afin qu’elle réclame ces soins, ce qui pourrait, peut-être, encourager le monde médical à intégrer l’hypnose dans ses pratiques.

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Reflections of Pank / Snapshot #299: Spreading Hypnosis

I was discussing with Brice the feedback from one of the greatest hypnosis researchers, David Spiegel, who gave a presentation at the British Hypnosis Convention. Despite having rigorously demonstrated the effectiveness of hypnosis, Spiegel concludes his career with a sense of disappointment.

Indeed, in the United States, as in many other countries, hypnosis is at a standstill. It suffers from the pressures of the pharmaceutical business and various medical lobbies. Yet, it is scientifically proven that hypnosis provides numerous benefits, particularly in managing pain, sleep, stress/anxiety, psychosomatic disorders, and addictions.

Unfortunately, the populations that could benefit from these advantages do not seek hypnosis. Why? Simply because they are unaware of its complementary role alongside medical treatments. In France, we are fortunate to have an outstanding social security system. But in the United States, where healthcare is extremely expensive, hypnosis could be a viable option to reduce medical costs.

However, the authorities’ decision in many countries to prohibit non-medical practitioners from performing hypnosis does not help. Even healthcare professionals trained via university degrees — such as nurses, doctors, or dentists — often admit they don’t use their skills due to lack of mastery or time.

Thus, Spiegel, like us hypnosis enthusiasts, is left with one path: the popularization of hypnosis. Not through stage or street demonstrations, but through interviews, serious demonstrations, and other forms of communication. The goal would be to raise public awareness so that they demand these treatments, possibly encouraging the medical world to incorporate hypnosis into its practices.

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Hypnose et Douleur #54 : L’hypnose comme outil dans les disciplines médicale comme la dentisterie

L’hypnose peut servir autant comme discipline que comme outils. Dans le monde médical, il est plus un outil notamment pour la gestion de la douleur.

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #67 : Frapper là où ça fait mal.

Ce week-end, un événement UFC a eu lieu, mettant en vedette Chris Weidman, un ancien champion de sa catégorie, de retour après une grave blessure. Son adversaire, Brad Tavares, n’a pas hésité à cibler la zone où Chris avait été blessé, tout au long du combat. De même, Ian Garry a ciblé et endommagé le mollet de Magny.

Je suis souvent fasciné par les réactions des spectateurs lorsque quelqu’un insiste sur une faiblesse de son adversaire. Dans le monde des sports de combat, les réactions sont souvent surprenantes. Des critiques peuvent fuser, affirmant que cibler une faiblesse n’est pas éthique.

Cependant, que ce soit dans un combat sportif ou dans un contexte urbain, l’objectif ultime est la victoire, avec le moins de blessures possibles. Garder cela à l’esprit est crucial. Beaucoup pensent que les combattants devraient avoir un code d’honneur chevaleresque. Pourtant, si les deux parties sont d’accord pour engager le combat, toutes les stratégies sont permises.

Je me souviens d’une erreur que j’ai commise lors d’un combat de Pankido lors d’un salon d’arts martiaux. J’affrontais un adversaire avec un bandage au poignet. J’ai pensé que cela devrait être pris en compte, et pendant une phase au sol, j’ai commencé à attaquer son poignet violemment, avant de m’arrêter en réalisant que ce n’était pas sportif. En fin de compte, j’ai perdu peu de temps après.

Mon adversaire m’a dit par la suite que j’aurais dû continuer, étant donné qu’il était blessé et n’aurait pas dû porter un bandage peu pratique pendant le combat. Il est crucial d’exploiter toutes les faiblesses pour atteindre la victoire. Bien sûr, dans le MMA-catch, le spectacle est important.

Le public a tendance à moins apprécier si ce n’est pas visuellement impressionnant, mais s’il y a du sang, alors l’enthousiasme monte, et l’appétit pour le spectacle sanglant augmente. Nous avons tous déjà vu des combattants couverts de sang à cause d’une coupure ou d’un nez cassé.

Chercher et exploiter les faiblesses de l’adversaire est une stratégie clé en jiu-jitsu, consistant à imposer son propre jeu et à cibler les zones où l’adversaire a du mal à se défendre. Cela crée des moments cruciaux chez les athlètes de haut niveau, où chacun évalue l’autre. O’Malley, par exemple, a su capitaliser sur une erreur fréquente de son adversaire en utilisant une contre-attaque qu’il avait travaillée en salle d’entraînement.

Personne n’est excellent dans tous les domaines, et même lorsque certains combattants semblent invincibles, il y a toujours un adversaire parfaitement adapté pour exploiter leurs faiblesses. Et si ce n’est pas un adversaire, c’est souvent un adversaire imbattable : le temps.

Et vous, comment identifiez-vous les points faibles de vos adversaires ?

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Be One.

Pank

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HnO Hypnose et Douleur /HypNO Pain #50 : Suggestion et intention plus rapide que l’imagerie mentale

Une expérience que vous pouvez mettre en place avec vos partenaires, est de proposer des suggestions après adhésion à l’idée d’analgésie et rapidement tester.

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HypnoKinésis #3 : Écoutons et rééduquons le corps/inconscient.

Bosser avec des Physiothérapeutes en complétant avec les psycho-praticiens pour un travail à long terme sur les douleurs et blessures.

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