Les intentions sont des éléments qui peuvent être un élément initial important dans la mise en place de nos objectifs.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank
Pour beaucoup, dire non est difficile, certainement en raison des conséquences possibles que peut avoir l’utilisation d’un tel mot dans différentes situations. Il est possible que l’éducation sanctionnait ce non, qu’il soit juste ou provocant.
Des schémas de comportement (patterns) se sont alors développés, et dire non, juste prononcer trois lettres, peut placer son auteur en marge d’un groupe, comme refuser de prendre une drogue ou de l’alcool avec les autres. Cela peut aussi générer de la violence, verbale ou physique, comme un conjoint qui se sent refusé dans son exigence.
Dire non est si simple et pourtant si compliqué, sans même prendre en compte que, après une lutte, il est prononcé, il arrive des cas où il n’est pas entendu, pas pris en compte, pas respecté.
Si le non existe ou se construit dans son expression, il doit s’imposer, que ce soit mentalement et possiblement physiquement. Il doit pouvoir être fort et assumé, au risque des conséquences que cette négation nous oblige à gérer.
Le non est une lutte, il n’est pas qu’une négation ou un refus. Il est un engagement vis-à-vis de soi, parfois même un acte d’amour, pour soi et pour les autres.
Il n’y a pas de non facile, même si le quotidien rend son utilisation neutre, car le non peut changer une vie, un système, son monde.
Il est assez difficile de connaître les critères qui pourraient aider au quotidien les personnes qui viennent nous consulter. D’autant plus que dans l’hypnose, il reste cette attente, parfois un peu trop passive, de suggestions qui pourraient tout changer ou, pire, cette idée de reprogrammation des schémas internes, comme si on envoyait notre PC au service informatique de notre entreprise.
Il y a une infinité d’éléments qui peuvent influencer les comportements, et une chose semble assez récurrente : la constance. C’est vrai que c’est peut-être un point qui peut apporter des bénéfices. Combien de fois abandonnons-nous ou diminuons-nous nos engagements dans nos actions et objectifs du quotidien ou à moyen/long terme ?
Nous savons que les motivations intrinsèques comme extrinsèques ne sont parfois stimulantes que pendant quelques semaines ou mois, mais beaucoup de nos projets demandent des années. C’est donc une routine, un schéma qui doit s’inscrire en nous. Quoi qu’il arrive, je continue mon processus, je répète et je corrige ce qui n’est pas validé par les faits.
Recommencer et recommencer encore et encore sans jamais savoir si aujourd’hui, demain ou dans 10 ans ce que nous avons mis en place apportera un bénéfice. La constance va au-delà de la satisfaction d’y parvenir, parce qu’il est possible dès le début que nous ne parvenions pas à ce que nous avions en tête.
Il arrive que le résultat soit parfois plus incroyable et d’autres fois, assez décevant, et pourtant, en sachant que ce que nous visons puisse ne pas nous apporter ce que nous cherchons, nous utilisons quotidiennement et pendant des années de l’énergie, on investit dans la démarche pour avancer petit à petit et voir le projet se constituer, parfois s’écraser, ou s’égarer.
Pourtant, avec constance, recommencer à faire les efforts et les investissements avec cette lueur que peut-être ça va passer un jour… Être constant, c’est une qualité que nous pouvons tous développer, mais il faut savoir que ça va nous faire mal et qu’il n’y a jamais de garantie…
It is quite difficult to know the criteria that could help on a daily basis the people who come to us. Especially since in hypnosis, there remains this expectation, sometimes a little too passive, of suggestions that could change everything or, worse, this idea of reprogramming internal patterns, as if we were sending our PC to our company’s IT department.
There are an infinite number of elements that can influence behaviors, and one thing seems quite recurrent: constancy. It is true that this may be a point that can bring benefits. How many times do we abandon or diminish our commitments in our daily or medium/long term actions and objectives?
We know that intrinsic as well as extrinsic motivations are sometimes only stimulating for a few weeks or months, but many of our projects take years. It is therefore a routine, a pattern that must be inscribed in us. Whatever happens, I continue my process, I repeat and I correct what is not validated by the facts.
Starting over and over again without ever knowing if today, tomorrow or in 10 years what we have put in place will bring a benefit. Constancy goes beyond the satisfaction of achieving it, because it is possible from the beginning that we do not achieve what we had in mind.
It happens that the result is sometimes more incredible and other times, quite disappointing, and yet, knowing that what we are aiming for may not bring us what we are looking for, we use energy daily and for years, we invest in the approach to advance little by little and see the project take shape, sometimes crash, or go astray.
Yet, with constancy, start making the efforts and investments again with this glimmer that maybe it will happen one day… Being constant is a quality that we can all develop, but you have to know that it will hurt us and that there is never a guarantee…
Il y a une logique qui est très présente dans les styles nippons, ce sont les notions d’engagement total. Que ce soit en karaté ou en judo, il est fréquent que nos senseis nous expliquent qu’il faille envoyer tout ce que l’on peut et ne pas s’arrêter quand on engage une technique. Que ce soit en frappe ou en projection, il y a cette recherche d’idéal, du mouvement parfait et unique.
Si j’aime cette idée, je pense être très mauvais à cela, ce qui fait que je rentre plus facilement dans la notion de « grinder », d’avancer pas à pas en pression si possible, mais pas forcément dans une notion de pureté technique mais un plein engagement de ne pas arrêter tant qu’il reste un peu d’espace de saisie ou de distance.
On voit beaucoup cette idée dans la luta et le BJJ où on va s’user à continuer dans une direction que nous avons en tête quitte à prendre un cm par cm. C’est un engagement qui n’est pas total dans la notion en one shot mais constant, qui ne cesse tant qu’il n’y a vraiment plus moyen de finir ce qui a été initié.
Cette différence d’engagement donne à la fois des états d’esprit et des façons de combattre différents. Il va y avoir d’un côté l’aspect brillant et propre et de l’autre l’idée du besogneux qui part avec l’idée que c’est possible que ça ne marche pas mais qu’il faut quand même s’y mettre.
En MMA, un Bellal a un peu cette façon que beaucoup de lutteurs proposent de faire avec ce qu’il peut saisir. En Jiu-Jitsu, on peut facilement commencer en étant dans l’engagement total avec la pureté de la technique, pour finir en chien de la casse qui mord le moindre cm de tissus qui dépasse en espérant passer un renversement ou mettre assez la pression pour passer la garde.
La chose commune qu’il faut garder en tête c’est qu’il faut initier. Qu’on y aille en y mettant toute son âme ou se dire ca va durer je vais “bourriner”, tout cela commence par une première action et une décision.
Martial Reflections of an Hypnofighter #380: Total Commitment
There’s a logic very present in Japanese styles, and that’s the notion of total commitment. Whether it’s in karate or judo, our senseis often explain that we must give it our all and not stop when we engage a technique. Whether it’s in striking or projection, there’s this pursuit of the ideal, the perfect and unique movement.
While I like this idea, I think I’m very bad at it, which makes me more easily enter into the notion of « grinder », of advancing step by step with pressure if possible, but not necessarily in a notion of technical purity but a full commitment not to stop as long as there is a little space for seizure or distance.
We see this idea a lot in luta and BJJ where we will wear ourselves out to continue in a direction that we have in mind even if it means taking it cm by cm. It’s a commitment that is not total in the one-shot notion but constant, which does not cease until there is really no way to finish what has been initiated.
This difference in commitment gives both states of mind and different ways of fighting. There will be on one side the brilliant and clean aspect and on the other the idea of the hard worker who starts with the idea that it is possible that it will not work but that it is still necessary to get down to it.
In MMA, a Bellal has a bit of this way that many wrestlers propose to do with what he can grab. In Jiu-Jitsu, one can easily start by being in total commitment with the purity of the technique, to finish as a mad dog who bites the slightest cm of fabric that protrudes hoping to pass a reversal or put enough pressure to pass the guard.
The common thing to keep in mind is that you have to initiate. Whether you go there putting all your soul or say it will last I will « hammer », all this begins with a first action and a decision.
Vous le savez sûrement si vous lisez mes articles, je suis de ceux qui ne croient qu’au résultat des conflits et des oppositions. Il y a des vainqueurs et des vaincus, ceux qui ont du pouvoir et ceux qui vont chercher à l’avoir. Du coup, je ne suis pas militant dans des camps politiques, idéologiques, spirituels ou autres.
Il y a dans le militantisme, que vous l’appréciiez ou non, un ensemble de valeurs et de croyances qui fait se mouvoir des populations de personnes qui veulent faire avancer des choses du quotidien ou des rapports psycho-sociaux dans de nombreux domaines de leur vie.
Seulement, si les idées peuvent être séduisantes pour beaucoup de personnes qui aiment les projets en « -ismes », peu sont réellement militants ou plutôt, il est rare d’avoir des personnes congruentes. Vous savez, des activistes qui ont le discours et les actes, mais dans toutes les facettes de leur vie.
Et nous le voyons avec des politiques qui défendent par exemple des discours pacifistes et non-violents et qui ne cessent de crier, insulter et cracher leur haine sur les écrans ou dans des hémicycles, avec une belle rationalisation, comme quoi « parfois c’est nécessaire ». Je ne vous reprends pas les cas actuels, des politiques qui nous parlent d’être exemplaires et qui détournent des fonds ou se retrouvent dans des conflits d’intérêt, tout comme ceux qui sont des professionnels des discours anti-féministes mais qui frappent leur conjointe.
Être militant, ce n’est pas seulement s’engager avec des stickers, des pancartes ou des réunions, c’est aussi chercher à incarner les idées et pensées qui ont réussi à nous séduire et plus encore, qui ont mis en branle les valeurs et les désirs pour des actions. Ce n’est pas un cadre qui se limite aux rassemblements ou aux « propagandes », mais hors de ces cadres « médiatiques », où on les voit, c’est aussi et je pense surtout, dans le quotidien, l’intime, le discret.
Devenir ce qui est revendiqué, un peu plus chaque jour, plutôt que d’être excessif pendant des périodes de tensions pour se considérer comme actif alors que l’on reste consommateur.
Pank’s Reflections / Snapshot #364: The Difficulty of Activism
As you probably know if you read my articles, I am one of those who only believe in the outcome of conflicts and oppositions. There are winners and losers, those who have power and those who seek to have it. Therefore, I am not an activist in political, ideological, spiritual, or other camps.
There is in activism, whether you appreciate it or not, a set of values and beliefs that moves populations of people who want to advance everyday things or psycho-social relationships in many areas of their lives.
However, while the ideas can be appealing to many people who like projects ending in « -isms, » few are truly activists, or rather, it is rare to find congruent people. You know, activists who have the discourse and the actions, but in all facets of their lives.
And we see this with politicians who, for example, defend pacifist and non-violent discourses and who constantly shout, insult, and spew their hatred on screens or in hemicycles, with a beautiful rationalization, as if « sometimes it’s necessary. » I won’t revisit the current cases, of politicians who talk to us about being exemplary and who embezzle funds or find themselves in conflicts of interest, just like those who are professionals of anti-feminist discourses but who hit their partners.
Being an activist is not just engaging with stickers, signs, or meetings, it is also seeking to embody the ideas and thoughts that have managed to seduce us and, even more, that have set in motion the values and desires for action. It is not a framework that is limited to gatherings or « propaganda, » but outside these « media » frameworks, where we see them, it is also and I think especially, in the daily, the intimate, the discreet.
Becoming what is claimed, a little more each day, rather than being excessive during periods of tension to consider oneself active while remaining a consumer.
Nous connaissons tous des personnes qui ont un don pour éviter les problèmes, et plus encore, pour gérer certaines situations. Nous avons peut-être eu des expériences avec ce type de personne qui ne s’engage jamais et refuse de prendre des décisions.
Nous pouvons facilement classer ces personnalités comme des « évitants ». Le plus difficile, c’est pour ceux qui se retrouvent dans cet automatisme de ne pas se confronter aux différentes situations de leur vie. Il y a une sensation de rater des occasions et de ne pas avoir saisi les opportunités quand d’autres, d’après eux, ne se posent pas de questions, ou, à minima, osent entrer dans la boucle d’action.
Ce que je partage souvent avec les consultants qui ont cette facette de personnalité (comme souvent avec ce que le monde peut considérer comme des défauts), c’est qu’il y a une expertise dans ce qui est mis en place. Éviter et esquiver n’est pas donné à tout le monde. Certains sont programmés, par exemple, en réactance et ne vont faire qu’agir, mais souvent se casser la tête contre un mur parce qu’ils n’ont aucune capacité à prendre du recul.
Les évitants sont excellents pour prendre du recul, même si parfois c’est un peu trop. De plus, ils ont la capacité de se dire que si les choses ne vont pas comme ils le souhaitent, ils ne perdent pas leurs compétences, même s’ils sont au cœur de l’action. Au contraire, ils vont pouvoir être insaisissables si vraiment les choses ne se passent pas comme prévu.
Paradoxalement, une fois engagé, un « évitant » n’a pas moins de réussite ou de satisfaction. Il sera plus volatile et possiblement plus à même de voir ce qui ne va pas, et là encore, c’est une bonne chose. Il voit ce qui l’échaude et peut dès lors apporter une plus-value dans de nombreuses situations.
Éviter est une qualité dans beaucoup de sports. Il faut juste y associer une contre-attaque ou, au contraire, une compétence à se dépêtrer d’un problème, pour se rendre compte que cela peut aussi être une qualité.
Pank’s Reflections / Snapshot #344: The Qualities of Avoidance
We all know people who have a gift for avoiding problems, and even more so, for managing certain situations. We may have had experiences with this type of person who never commits and refuses to make decisions.
We can easily classify these personalities as « avoiders. » The most difficult thing is for those who find themselves in this automatism of not confronting the different situations of their life. There is a feeling of missing opportunities and not having seized opportunities when others, according to them, do not ask themselves questions, or, at the very least, dare to enter the action loop.
What I often share with consultants who have this facet of personality (as often with what the world may consider flaws), is that there is an expertise in what is put in place. Avoiding and dodging is not for everyone. Some are programmed, for example, in reactance and will only act, but often bang their heads against a wall because they have no ability to take a step back.
Avoiders are excellent at taking a step back, even if sometimes it’s a little too much. Moreover, they have the ability to tell themselves that if things don’t go as they want, they don’t lose their skills, even if they are at the heart of the action. On the contrary, they will be able to be elusive if things really don’t go as planned.
Paradoxically, once engaged, an « avoider » has no less success or satisfaction. He will be more volatile and possibly more able to see what is wrong, and again, this is a good thing. He sees what is bothering him and can therefore bring added value in many situations. Avoiding is a quality in many sports. You just have to combine it with a counterattack or, on the contrary, a skill to get out of a problem, to realize that it can also be a quality.
Comme je le partageais dans ma capsule de ce matin (https://youtu.be/Ooy7WvajwHA), la notion de « se sentir concerné » me semble être une sorte de processus inductif qui nous entraîne dans une transe. Dès lors, l’ensemble des systèmes dans lesquels nous évoluons, internes et externes, deviennent des suggestions que nous suivons en limitant notre esprit critique.
En extrapolant, je me demande si nous pouvons nous sentir concernés par ce qui ne nous concerne pas réellement. Comme une induction indirecte, nous plongeons dans des causes, des idéologies ou des pensées politiques diverses, comme aspirés par une dynamique obscure.
Je vous faisais part de l’idée qu’une technique d’influence consiste à nous faire croire que nous sommes tous responsables. L’écologie, la sécurité… « Il faut être tous ensemble ! ». Petit à petit, l’individu, déjà nourri par notre société individualiste, peut se sentir appartenir à un groupe. Dans cette notion de rassemblement, volontaire ou non, il devient un élément qui peut, sans s’en rendre compte, se sentir concerné, même si le sujet n’est pas lié à son vécu, à son « réel ».
L’empathie, cette facette naturelle de l’humain, souvent mise en avant comme une qualité sociale, peut également être un vecteur d’induction. Elle offre une clé pour entrer en « substitution » avec l’autre ou le groupe. Dès lors, on a la sensation que le discours ou les actions nous appartiennent, alors qu’ils sont probablement mus par d’autres leviers.
Par quoi vous sentez-vous concerné ? Avez-vous rationnellement plongé dans ces sujets en lien avec votre « réel » ?
Reflections of Pank / Snapshot #336: The Illusion of « Feeling Concerned »
As I shared in my capsule this morning (https://youtu.be/Ooy7WvajwHA), the notion of « feeling concerned » seems to me to be a kind of inductive process that draws us into a trance. From then on, all the systems in which we evolve, internal and external, become suggestions that we follow by limiting our critical thinking.
Extrapolating, I wonder if we can feel concerned about things that don’t really concern us. Like an indirect induction, we immerse ourselves in various causes, ideologies or political thoughts, as if sucked in by an obscure dynamic.
I was sharing with you the idea that one technique of influence is to make us believe that we are all responsible. Ecology, security… « We must all be together! ». Little by little, the individual, already nourished by our individualistic society, can feel that they belong to a group. In this notion of gathering, voluntary or not, they become an element that can, without realizing it, feel concerned, even if the subject is not related to their experience, to their « reality ».
Empathy, this natural facet of human beings, often put forward as a social quality, can also be a vector of induction. It offers a key to enter into « substitution » with the other or the group. From then on, we have the feeling that the discourse or the actions belong to us, whereas they are probably driven by other levers.
What do you feel concerned about? Have you rationally immersed yourself in these subjects in connection with your « reality »?
Hier, en discutant avec des amis karatékas, nous avons abordé une problématique que l’on rencontre peut-être davantage dans les styles de karaté au KO que dans le karaté sans contact : le manque de professionnalisation des athlètes visant les titres les plus prestigieux de la discipline.
En observant le développement du BJJ (Jiu-Jitsu Brésilien) ces dernières années, on constate une évolution marquée. Les jeunes ceintures bleues et violettes s’entraînent comme des professionnels, avec plusieurs sessions quotidiennes et un suivi rigoureux. Grâce à la CFJJB, un pôle France a même été créé pour améliorer la qualité de l’enseignement et développer une préparation optimale pour la compétition.
Dans des disciplines comme le Kyokushin ou le Shidokan, on trouve des passionnés dotés d’un mental incroyable. Ces styles, parmi les plus douloureux aux côtés de la lutte, impliquent un apprentissage exigeant et souvent marqué par les blessures.
Le Kyokushin, en particulier, cultive un état d’esprit proche des mangas Shōnen : un dépassement de soi constant, où l’adversité devient une source de progression. Cette mentalité est sans doute influencée par le manga Karate Baka Ichidai, qui a contribué à la popularité du Kyokushin dans les années 1970.
Cependant, lorsqu’un pratiquant ambitionne de devenir le meilleur, il ne peut se contenter d’une vision romantique ou idéalisée. Il doit adopter une approche professionnelle. Aujourd’hui, tout compte. Nous ne sommes plus à l’ère de l’approximation. Un engagement total est requis, où l’on s’oublie presque au service de sa « cause ».
Pour atteindre cet objectif, il est crucial d’être entouré des bonnes personnes, capables de partager leurs expertises spécifiques. Il faut également dépasser l’imaginaire de Mas Oyama, selon lequel s’isoler des mois en montagne rendra forcément plus fort. Ce type de préparation n’est plus adapté à l’exigence des compétitions modernes.
Martial Reflections of a Hypnofighter #289: Setting High Goals Demands Strong Commitment
Yesterday, while talking with karate friends, we discussed an issue that seems more prevalent in knockout karate styles compared to non-contact karate: the lack of professionalization among athletes aiming for the highest titles in the discipline.
In Brazilian Jiu-Jitsu (BJJ), things have evolved significantly in recent years. Young blue and purple belts train like professionals, with multiple daily sessions and quality coaching. Thanks to the CFJJB, there is even a national training center in France to further enhance teaching quality and competition preparation.
In karate styles like Kyokushin or Shidokan, passionate practitioners exhibit incredible mental toughness. These styles, alongside wrestling, are among the most painful and challenging to learn, often leading to injuries along the way.
Kyokushin, in particular, fosters a mindset akin to Shōnen manga: constant self-improvement, where adversity becomes a tool for growth. This mentality is likely influenced by the manga Karate Baka Ichidai, which propelled Kyokushin’s popularity in the 1970s.
However, when a practitioner decides to become the best, they cannot view themselves through the lens of a manga hero but as a professional. Today, every detail matters. We are no longer in the era of « good enough. » Total commitment to the goal is essential, requiring one to almost forget oneself in service of their « cause. »
Nonetheless, achieving this requires surrounding oneself with the right people who can share their specialized knowledge. It’s also important to move beyond the Mas Oyama narrative, where isolating oneself in the mountains for months is seen as the ultimate preparation. This approach is no longer suited to the demands of modern competition.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank
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C’est la fin de la cop 27. Une fois de plus beaucoup de mots, de promesses et le pire d’engagementsque nous savons ne seront pas tenu.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank