Revenir sur nos expériences et admettre que certaines choses peuvent ne pas changer, même avec des efforts.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank
C’est la rentrée et, pour de nombreuses personnes, notamment avec la routine scolaire, c’est une reprise des habitudes. Il n’est pas toujours simple de se dire que le rythme qui a pu être différent, parfois grâce aux vacances ou simplement parce que le quotidien de l’école, des devoirs et des activités n’était pas présent.
Redémarrer, c’est aussi se remettre sous pression, avec le stress, comme si notre corps et notre esprit avaient un peu oublié et qu’ils étaient redevenus un peu plus sensibles. C’est là que notre caractère et notre culture jouent énormément : certaines personnes vont se sentir rapidement débordées, et peut-être encore plus pour celles qui commencent de nouvelles activités ou s’il y a des éléments changeants pour la première fois : un enfant, un nouveau boulot, un nouveau lieu, de nouvelles activités.
Et puis il y a ceux qui, par nature, vont se préparer et y plonger. Ce qui est utile de savoir, c’est que nous sommes tous dans des processus d’habituation et que nous avons tous la capacité d’absorber. S’il est vrai que nous entendons beaucoup plus parler de santé mentale parfois plus fragilisée, nous ne devons pas oublier que nous sommes quand même solides.
Sans être excessif et dire que nous sommes capables de tout gérer, sachant que les ères modernes créent toujours de nouveaux stresseurs, nous mettons parfois plus de temps à trouver une résilience. Mais quand on voit ce que vivent malheureusement de nombreuses populations dans le monde et pourtant leur capacité à trouver des solutions, nous sommes en Occident dans des niveaux nettement plus gérables.
Redémarrer offre aussi la possibilité de mettre en place de nouvelles stratégies et de nouveaux comportements, que nous allons pouvoir améliorer ou adapter au fur et à mesure de notre saison. Plein d’énergie à vous toutes et tous, préparez-vous à créer de belles choses et à avancer au mieux.
It’s back-to-school time, and for many people, especially with the school routine, it’s a return to old patterns. It’s not always easy to accept that the rhythm has changed, sometimes thanks to vacation or simply because the daily grind of school, homework, and activities wasn’t there.
Restarting also means putting ourselves back under pressure and stress, as if our body and mind had forgotten a bit and become a little more sensitive. This is where our character and culture play a huge role: some people will quickly feel overwhelmed, perhaps even more so for those starting new activities or if there are new changing elements for the first time: a child, a new job, a new place, new activities.
And then there are those who, by nature, will prepare and dive right in. What’s useful to know is that we are all in a process of habituation and that we all have the capacity to absorb. While it’s true that we hear a lot more about mental health sometimes being more fragile, we must not forget that we are still resilient.
Without being excessive and saying that we are capable of managing everything, knowing that the modern era always creates new stressors, we sometimes take more time to find resilience. But when we see what many populations in the world are unfortunately experiencing and yet their ability to find solutions, we in the West are at much more manageable levels.
Restarting also offers the possibility of implementing new strategies and behaviors that we will be able to improve or adapt as our season progresses. Full of energy to all of you, get ready to create beautiful things and move forward in the best way possible.
Pour beaucoup, dire non est difficile, certainement en raison des conséquences possibles que peut avoir l’utilisation d’un tel mot dans différentes situations. Il est possible que l’éducation sanctionnait ce non, qu’il soit juste ou provocant.
Des schémas de comportement (patterns) se sont alors développés, et dire non, juste prononcer trois lettres, peut placer son auteur en marge d’un groupe, comme refuser de prendre une drogue ou de l’alcool avec les autres. Cela peut aussi générer de la violence, verbale ou physique, comme un conjoint qui se sent refusé dans son exigence.
Dire non est si simple et pourtant si compliqué, sans même prendre en compte que, après une lutte, il est prononcé, il arrive des cas où il n’est pas entendu, pas pris en compte, pas respecté.
Si le non existe ou se construit dans son expression, il doit s’imposer, que ce soit mentalement et possiblement physiquement. Il doit pouvoir être fort et assumé, au risque des conséquences que cette négation nous oblige à gérer.
Le non est une lutte, il n’est pas qu’une négation ou un refus. Il est un engagement vis-à-vis de soi, parfois même un acte d’amour, pour soi et pour les autres.
Il n’y a pas de non facile, même si le quotidien rend son utilisation neutre, car le non peut changer une vie, un système, son monde.
Une réponse à une question qui m’a été posé sur la vitesse de « changement » entre de l’auto hypnose et l’ancrage.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank
Nous savons que nous pouvons développer ce qui est nommé l’impuissance acquise. Des limites que nous acceptons alors que, factuellement, nous pourrions aller à un niveau supérieur. Pour autant, il existe clairement une chose que nous devons admettre, malgré les textes, les biographies ou autres, sur le fait qu’un homme peut changer le monde.
D’ailleurs, il est intéressant de voir que cette vision messianique est encore plus présente dans une période qui connaît de nombreuses tensions à travers le monde. Trump, Poutine ou les présidents sur le continent africain ou sud-américain, sans oublier notre Jupiter, il y a une croyance, une attente, un désir d’être celui qui, par sa puissance personnelle, fera cesser les guerres en 48h…
Et je comprends qu’il est difficile de se dire que nous, dans notre individualité, ne sommes que des rouages qui doivent s’associer à d’autres éléments pour mettre en place une dynamique, pour éventuellement créer une petite étincelle de puissance. Nous ne cessons d’avoir des groupes, des pensées et des comportements alternatifs, des mouvements qui veulent être anti-système.
Pourtant, rares, très rares même, sont les petits groupes sans puissance qui ont pu modifier et changer le monde. Même dans le monde du numérique, beaucoup de fondateurs d’entreprises qui ont changé le monde comme Meta étaient issus de milieux de pouvoir (Californie ou Harvard…).
Nous pouvons faire de belles choses seuls, mais il y a peu de chance que notre seule personne puisse modifier ou corriger des problèmes comportementaux ou moraux d’un grand nombre de personnes. C’est la notion de collaboration que nos ancêtres ont si bien développée qui a permis de faire passer notre monde d’une technologie préhistorique à la modernité.
Pour le meilleur et pour le pire de quelques individus qui ont réussi à prendre un peu plus de puissance en utilisant tous les autres…
Pank’s Reflections / Snapshot #398: The Impotence of the Individual
We know that we can develop what is called learned helplessness. Limits that we accept when, factually, we could go to a higher level. However, there is clearly one thing we must admit, despite texts, biographies or others, about the fact that one man can change the world.
Moreover, it is interesting to see that this messianic vision is even more present in a period that is experiencing many tensions throughout the world. Trump, Putin or the presidents on the African or South American continent, not forgetting our Jupiter, there is a belief, an expectation, a desire to be the one who, by his personal power, will stop the wars in 48 hours…
And I understand that it is difficult to think that we, in our individuality, are only cogs that must associate with other elements to set up a dynamic, to eventually create a small spark of power. We never stop having groups, alternative thoughts and behaviors, movements that want to be anti-system.
However, rare, very rare even, are the small groups without power who have been able to modify and change the world. Even in the digital world, many of the founders of companies that have changed the world like Meta came from powerful backgrounds (California or Harvard…).
We can do beautiful things alone, but there is little chance that our single person can modify or correct behavioral or moral problems of a large number of people. It is the notion of collaboration that our ancestors have so well developed that has allowed our world to move from prehistoric technology to modernity.
For better and for worse of a few individuals who have managed to take a little more power by using everyone else…
Nous le savons, la nature est immense et, bien que l’Homme ait pu illusoirement croire la maîtriser, elle nous rappelle de temps à autre, en quelques instants, que notre sentiment de contrôle n’est qu’une illusion. Nous vivons sur un rythme qui nous fait croire que tout va bien.
De plus en plus, en séance, des personnes souvent de la génération Z mettent en avant l’anxiété face à la nature que devaient ressentir nos ancêtres. Nous qui avons tendance à oublier l’éphémère de toute chose, sommes interpellés par les plus jeunes ou les personnes plus sensibles sur ce sujet : comment allons-nous gérer les changements naturels ?
Et avec ou sans les humains, la nature évolue depuis les débuts de notre planète bleue. Seulement, nous, Occidentaux, et plus spécifiquement nous, Français, avions une impression de protection, allant jusqu’à croire en une sorte d' »exception culturelle » face à la nature.
Mais non, la nature balaye Valence en Espagne, ou nos régions du Nord comme du Sud avec des pluies diluviennes et des inondations. Et cette éco-anxiété, que Paris ne veut pas admettre mais qui a toujours été associée à la ville lumière, évoque le risque d’un débordement de la Seine à des niveaux qui mettraient à mal population et administrations.
On pourrait penser pouvoir anticiper de tels événements, mais pas du tout. Hier encore, dans la région parisienne, une averse de grêle de vingt minutes a frappé, et l’humain n’a pu qu’observer son impuissance face à la destruction potentielle de ses biens.
Revenons à notre juste place et gardons à l’esprit que, même si nous interagissons avec la planète et la nature depuis des millénaires, nous ne restons qu’une infime partie de cet ensemble. Prendre en compte cette possibilité qui obsède ceux qui ressentent cette angoisse dès qu’ils pensent à l’avenir est un sujet sérieux. Nous ne pouvons rien promettre, mais simplement réaffirmer que la vie est impermanente et que nous devons être prêts à nous adapter, comme l’ont fait les générations passées.
Pank’s Reflections / Snapshot #377 : Putting Ourselves Back in Our Place Regarding Nature
We know that nature is vast, and although Humanity may haveillusorily believed to have mastered it, it reminds us from time to time, in a few moments, that our feeling of control is just an illusion. We live at a pace that makes us believe everything is okay.
More and more, in sessions, people often from Generation Z highlight the anxiety towards nature that our ancestors must have felt. We who tend to forget the ephemeral nature of all things are challenged by younger or more sensitive people on this subject: how will we manage natural changes?
And with or without humans, nature has been evolving since the beginning of our blue planet. Only we, Westerners, and more specifically we, French, had an impression of protection, even believing in a kind of « cultural exception » in the face of nature.
But no, nature sweeps away Valencia in Spain, or our regions of the North and South with torrential rains and floods. And this eco-anxiety, which Paris does not want to admit but which has always been associated with the city of lights, evokes the risk of the Seine overflowing to levels that would harm the population and administrations.
One might think we could anticipate such events, but not at all. Just yesterday, in the Paris region, a twenty-minute hailstorm struck, and humans could only observe their powerlessness in the face of the potential destruction of their property.
Let’s return to our rightful place and keep in mind that, even if we have interacted with the planet and nature for millennia, we remain only a tiny part of this whole. Taking into account this possibility that obsesses those who feel this anguish as soon as they think about the future is a serious subject. We cannot promise anything, but simply reaffirm that life is impermanent and that we must be ready to adapt, as past generations did.
Testez, observez et concluez par vous mêmes. Les potentiels sont en vous. La connaissance est Partage Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous Be One Pank
Il y a un problème que toutes les personnes qui sont en quête de succès ou de perfection n’ont de cesse de répéter : celui de se donner des devoirs. « Je dois réussir ceci ou cela, je dois devenir meilleur, je ne dois pas faire d’erreur, je dois être aimable », etc.
À force, les personnes se retrouvent à saturer sur tout ce qu’elles mettent en place, simplement parce qu’elles se mettent une pression d’être les meilleurs, de ne pas vivre d’échecs, de faire mieux que tel ou tel autre. En somme, il y a un « Je dois » complètement totalitaire qui pourrit des vies sur des décennies.
Quand des consultants se disent que là, c’en est trop, ils viennent avec le DEVOIR de ne plus se sentir stressés et oppressés. En somme, même leur accompagnement est une obligation de réussite, sinon ils vont se considérer comme des personnes complètement nulles et sans valeur.
C’est là où une gymnastique sémantique peut être mise en place. La notion de pouvoir. Ce simple changement permet une orientation mentale sur un autre plan. Il n’y a plus de devoir à performer, mais le pouvoir de performer. Ce n’est plus une posture d’une puissance supérieure (mode posture parentale), mais une réappropriation de sa propre conscience de ses moyens et de ses pouvoirs, avec certes ses limites, mais qui vient de soi.
Cela pourrait ne pas être assez, mais à l’inverse du « Je dois » qui entraînera ad vitam de l’insatisfaction, le « Je peux » mènera à l’idée de faire mieux. La nuance, là aussi, est subtile : dans le pouvoir, nous admettons notre facette insatisfaite, et on se donne une démarche pour aller un peu plus loin, alors que dans le « Je dois », quoi qu’il arrive, ça ne sera pas bon.
Cet espace, cet oxygène apaise et offre alors un pouvoir qui prendra place sans devoir, juste avec le respect des efforts fournis.
Pank’s Reflections / Snapshot #361: I Must vs. I Can
There’s a problem that all those seeking success or perfection constantly repeat: that of giving themselves duties. « I must succeed at this or that, I must become better, I must not make mistakes, I must be kind, » etc.
Eventually, people end up overwhelmed by everything they put in place, simply because they put pressure on themselves to be the best, to avoid failures, to do better than so-and-so. In short, there’s a completely totalitarian « I must » that ruins lives for decades.
When consultants say they’ve had enough, they come with the DUTY to no longer feel stressed and oppressed. In essence, even their coaching becomes an obligation to succeed, otherwise, they’ll consider themselves completely worthless and without value.
This is where a semantic shift can be implemented. The notion of « can. » This simple change allows for a mental orientation on another level. There’s no longer a duty to perform, but the power to perform. It’s no longer a posture of superior power (parental mode), but a reappropriation of one’s own awareness of one’s means and powers, with its limits, of course, but which comes from within.
This might not be enough, but unlike « I must, » which will lead to lifelong dissatisfaction, « I can » will lead to the idea of doing better. The nuance, here again, is subtle: in « can, » we acknowledge our dissatisfied side, and we give ourselves a process to go a little further, whereas in « I must, » no matter what happens, it won’t be good enough.
This space, this oxygen, soothes and then offers a power that will take place without duty, just with respect for the efforts made.
Il est toujours intéressant de pouvoir prendre de plus en plus conscience de soi. Même s’il est totalement possible que nous ne parvenions pas à utiliser cette conscience dans des situations de stress qui nous entraînent dans des tunnels.
C’est à ces moments-là que nous pouvons remarquer à quel point nous sommes des automates qui, une fois dans des « états » non contrôlés comme le stress, reprennent ce qui est le plus simple, le moins énergivore et que nous considérons comme le plus efficace.
La notion d’efficacité est d’ailleurs souvent illusoire, mais biaisée par notre « in-conscience » de ce que nous mettons en place. Nous allons dans ce qui nous a donné l’illusion d’être efficient.
Alors pourquoi prendre conscience de soi alors que nous ne pourrons pas nécessairement l’être dans certaines conditions ? Peut-être parce que nous pourrions juste avoir plus de compréhension et d’accueil de nous-même. Quand nous savons que nous avons des patterns qui resteront inchangés, qu’importe notre travail personnel, nous pouvons prendre le temps de la permission.
Certes, nous ne pourrons pas nous vendre que nous avons « changé », que nous sommes « la meilleure version de soi », mais toujours la même version avec des mises à jour qui parfois semblent rendre notre système d’exploitation plus pratique. Cette conscience que derrière nous avons les mêmes programmes qui maintiennent le système, apporte une tolérance à nos réactions.
Le plus, c’est que nous pouvons parfois mieux prédire, voire pressentir, ce qui pourrait se passer si nous décidions certaines actions ou nous nous retrouvions dans telle ou telle situation. Nous ne pouvons pas nous étonner de ce qui se passe sachant que nous avons un paquet de data qui nous sont disponibles et notre connaissance peut nous permettre de choisir d’autres options.
It is always interesting to be able to become more and more self-aware. Even though it is entirely possible that we will not be able to use this awareness in stressful situations that drag us into tunnels.
It is in these moments that we can notice how much we are automatons who, once in uncontrolled « states » like stress, fall back on what is simplest, least energy-consuming, and what we consider to be the most effective.
The notion of efficiency is, moreover, often illusory, but biased by our « unconsciousness » of what we are putting in place. We go for what has given us the illusion of being efficient.
So why become self-aware when we cannot necessarily be so in certain conditions? Perhaps because we could just have more understanding and acceptance of ourselves. When we know that we have patterns that will remain unchanged, no matter what our personal work, we can take the time for permission.
Certainly, we cannot sell ourselves on the idea that we have « changed », that we are « the best version of ourselves », but always the same version with updates that sometimes seem to make our operating system more practical. This awareness that behind us we have the same programs that maintain the system brings a tolerance to our reactions.
The best part is that we can sometimes better predict, even anticipate, what might happen if we decide on certain actions or find ourselves in this or that situation. We cannot be surprised by what happens knowing that we have a lot of data available to us and our knowledge can allow us to choose other options.
Il est intéressant d’écouter les informations internationales, non pas parce qu’elles impactent directement notre quotidien, mais parce qu’elles révèlent une sorte d’universalité des comportements humains. Régulièrement, on entend parler de crises, souvent politiques et économiques, dans différents pays.
La conséquence récurrente est l’orientation de nombreux citoyens, qui, ne croyant plus en ce que propose la dynamique matérialiste, se tournent vers toutes sortes de réflexions et de pratiques spirituelles.
Lorsqu’on attend des réponses, de l’aide ou un changement dans la vie quotidienne qui n’arrive jamais à travers les doctrines et actions politiques, la confrontation entre croyance et faits peut conduire notre esprit à chercher du sens ailleurs, en s’accrochant ou en développant d’autres croyances.
Dans le cadre de la spiritualité, c’est un peu comme le boss final d’un jeu vidéo : il n’existe pas de croyances capables de la surpasser, et l’aspect factuel devient subjectif. Cela permet à nos récits intérieurs de toujours se mettre à jour pour valider des idées, des ressentis et des événements liés à la spiritualité.
Cette quête de sens, ce plongeon – ou plutôt ce retour – vers le spirituel, est probablement l’un des schémas les plus universels de l’histoire de l’humanité : la foi en une force toute-puissante capable de tout transformer, d’apporter de la lumière dans les ténèbres.
Pendant ce temps, les « élites » matérialistes (pas pires que les élites spirituelles) continuent à perdre le sens de leurs discours, comportements et actions, tout en cherchant à rester au sommet d’une hiérarchie du pouvoir qui, elle aussi, perd son sens.
politique #spiritualité #illusion #attente #changement #escroc
Reflections of Pank / Snapshot #306: When Crises Lead to a Need for Spirituality
It is interesting to listen to international news—not because it directly impacts our daily lives, but because it reveals a sort of universality in human behaviors. Frequently, we hear about crises, often political and economic, in various countries.
The recurring consequence is that many citizens, losing faith in what materialistic dynamics offer, turn to various spiritual reflections and practices.
When people expect answers, help, or change in their daily lives that political doctrines and actions fail to deliver, the confrontation between beliefs and reality often drives the mind to seek meaning elsewhere by clinging to or developing other beliefs.
In the realm of spirituality, it’s like the final boss in a video game: no belief surpasses it, and the factual becomes subjective. This allows our internal narratives to continually update, validating ideas, feelings, and events tied to spirituality.
This quest for meaning, this dive—or rather, return—into spirituality, is likely one of the most universal patterns in human history: faith in an all-powerful force capable of transforming everything and bringing light into darkness.
Meanwhile, the materialistic « elites » (no worse than the spiritual elites) continue to lose the sense behind their words, behaviors, and actions, striving to remain at the top of a power hierarchy that itself is losing meaning.