Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #330 : Le respect du temps au dojo

Cet article traite de l'importance de la ponctualité dans un dojo. L'auteur, Pank, s'oppose à l'idée de ne pas sanctionner les retards, arguant qu'il s'agit d'un manque de respect envers ceux qui sont à l'heure. Il partage son expérience personnelle où la mise en place de sanctions a permis de réduire significativement les retards.  Pank souligne que le dojo est un lieu avec des règles spécifiques, distinct d'une salle de sport classique, et que la ponctualité y est essentielle pour instaurer un climat de discipline et de respect mutuel.

Il y a quelques jours, Jasmine Rochas exprimait l’idée qu’il était sans intérêt de « sanctionner » les pratiquants qui arrivent en retard. Étant de ceux qui sanctionnent les retardataires à la minute près, je ne partage pas son avis, qui me semble plus orienté « safe place » pour un bon business que dojo traditionnel avec ses règles spécifiques.

Si je comprends parfaitement qu’il puisse nous arriver d’être en retard, j’estime que cela reste néanmoins un manque de respect pour ceux qui ont fait en sorte d’être à l’heure. Décider d’aller au dojo implique, comme pour un rendez-vous, de mettre en place une organisation qui nous permette d’arriver à l’heure. Chacun s’y contraint et accepter ceux qui ne s’y astreignent pas, revient à ne pas valoriser ceux qui font cet effort.

De plus, nous le savons tous (c’est même devenu un meme), beaucoup de gradés évitent les débuts de cours pour ne pas faire les échauffements. Ils n’attendent que les randoris. J’ai trouvé la parade : les randoris, c’est au début du cours, en guise d’’échauffement.

Outre la notion d’effort et de respect de l’horaire, j’ai constaté empiriquement qu’imposer d’être à l’heure sous peine de longs exercices physiques rendait les retards rares. Pendant quelques années, le midi, je comprenais et acceptais que les participants arrivent quelques minutes en retard.

Du coup, il y avait des retards assez courts (entre 3 et 5 minutes) pour peut-être un tiers des pratiquants. Le jour où j’ai sanctionné la minute de retard, étrangement, les retards sont devenus sporadiques.  Il s’avère que pour beaucoup, ces quelques minutes de retard n’étaient pas importantes et qu’ils auraient très bien pu arriver à l’heure. La sanction a limité, voire fait disparaître, cet état d’esprit.

Chaque dojo a ses règles et si je comprends les arguments inverses aux miens, je reste convaincu qu’un dojo n’est pas un Basic Fit ou une salle de sport « ordinaire ».

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Martial Reflections of a Hypnofighter #330: Respecting Time at the Dojo

A few days ago, Jasmine Rochas expressed the idea that there was no point in « punishing » practitioners who arrive late. Being one of those who sanction latecomers to the minute, I do not share her opinion, which seems to me more oriented towards a « safe space » for good business than a traditional dojo with its specific rules.

While I fully understand that we may be late, I believe that it is nevertheless a lack of respect for those who have made the effort to be on time. Deciding to go to the dojo implies, as for an appointment, setting up an organization that allows us to arrive on time. Everyone is bound by it and accepting those who do not constrain themselves amounts to not valuing those who make this effort.

Moreover, we all know (it has even become a meme) that many senior students avoid the beginning of classes to skip the warm-up. They are only waiting for the randoris. I found the solution: randoris are at the beginning of the class..

In addition to the notion of effort and respect for the schedule, I have empirically observed that imposing punctuality under penalty of long physical exercises made lateness rare. For a few years, at lunchtime, I understood and accepted that participants arrived a few minutes late.

As a result, there were fairly short delays (between 3 and 5 minutes) for perhaps a third of the practitioners. The day I sanctioned the minute of delay, strangely, the delays became sporadic. It turns out that for many, these few minutes of delay were not important and they could very well have arrived on time. The sanction limited, even eliminated, this mindset.

Each dojo has its own rules and if I understand the arguments contrary to mine, I remain convinced that a dojo is not a Basic Fit or an « ordinary » gym.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #308 : Oser mettre fin

Mettre fin à une situation est souvent une étape difficile, teintée de peur et d'incertitudes. Pourtant, apprendre à respecter la fin, même sans l’aimer, peut ouvrir la voie à des transitions de vie significatives. Explorez ce jeu simple de clôturer les petits moments du quotidien pour en ressentir les bénéfices.

S’il est une chose difficile, c’est de mettre en action cette fin que nous avons en tête depuis parfois des mois, voire des années. Je l’observe fréquemment en consultation : ce moment où il faut passer à l’acte, que ce soit vis-à-vis d’un travail, d’une situation ou d’une personne. Pourtant, une peur subsiste. Une crainte face à cet après incertain, inconnu, et différent.

J’en ai conclu que nous n’aimons pas les fins. Certaines, comme la fin d’une guerre ou d’une violence, sont évidemment des libérations extraordinaires, mais en général, elles sont teintées d’un aspect mortifère. Et même si, sur le papier, mettre fin à certaines situations semble apporter uniquement du positif, le vécu, lui, s’accompagne d’un « deuil » de cette étape de vie.

Cependant, cette possibilité de mettre fin redonne du pouvoir. À ceux qui ont été en position de victime, comme à ceux qui ont perdu leurs repères. Il peut être juste d’apprendre à respecter la fin, non pas à l’aimer ou à la promouvoir, mais simplement à lui donner une place marquante. Car nos passages importants et nos nouveaux chapitres de vie, souvent plus grands et plus beaux, passent par cette étape.

Alors, commencez simplement. Très simplement même. Appréciez la fin d’un repas, d’une journée, ou d’un appel. Peut-être remarquerez-vous quelque chose que nous ignorons parfois : nous ne terminons pas complètement certaines choses. Soit des actions restent à accomplir, soit nous laissons volontairement des portes ouvertes.

Jouez à ce jeu. Puis, mettez-y fin quand vous aurez ressenti les bénéfices de ces multiples fins…

fin #terminer #oser

Prenez uniquement ce qui est bon et juste pour vous.
Be one,
Pank
https://www.pank.one/blog

Pank’s Reflections / Snapshot #308: Dare to End

If there’s one difficult thing, it’s taking action to bring about an end we’ve had in mind for months, sometimes even years. I often witness this in consultations: that moment when action must be taken regarding a job, a situation, or a person. Yet, there’s fear. Fear of an uncertain, unknown, and different aftermath.

I’ve concluded that we don’t particularly like endings. Some, like the end of a war or violence, are extraordinary. But most carry a morbid undertone. Even when ending something seems, on paper, to bring only positives, in reality, it often comes with a « grieving » process for that chapter of life.

Still, the simple possibility of ending something restores power—both to those who’ve been victims and to those who’ve lost their bearings. It might be wise to learn to respect endings—not to love or glorify them, but to give them a meaningful place. Our significant transitions and new, bigger, and brighter chapters often begin with this step.

So, start simply. Very simply. Appreciate the end of a meal, a day, or a call. You might notice something we often overlook: we don’t always completely finish certain things. Either there’s more to be done, or we deliberately leave doors open.

Play this game. Then end it when you’ve felt the benefits of these many small endings…

end #dare #closure

Take only what is good and right for you.
Be one,
Pank
https://www.pank.one/blog

Réflexions de Pank / Instantané #295 : Ne pas vouloir faire plus ?

De plus en plus de jeunes générations refusent d’accéder à des postes supérieurs, mettant en lumière les limites des modèles d’évolution professionnelle actuelle. Illusion de reconnaissance, absence de formation, et surcharge de responsabilités non valorisées poussent les individus à privilégier un contentement personnel face aux attentes des entreprises.

Hier, dans un article de Inc., une problématique de plus en plus courante dans le monde de l’entreprise était mise en avant : une génération qui ne souhaite plus accéder à des postes supérieurs à celui pour lequel elle a été embauchée.

Cela met à mal les entreprises, qui risquent de rencontrer des difficultés croissantes pour pourvoir les postes de responsables. C’est aussi un juste retour de bâton face à cette illusion de progression, où des postes plus élevés offrent souvent davantage de complications, sans qu’un salaire proportionné ne suive. Ces promotions donnent l’illusion d’une reconnaissance, mais sans offrir les moyens nécessaires pour réussir, et sans formation ni orientation pour accompagner cette évolution. Une fois de plus, le « développement personnel » de l’employé semble devoir compenser les lacunes des ressources humaines.

L’autre facette intéressante est cette idée de choisir ce qui suffit réellement, sans chercher à en faire toujours plus dans des systèmes où la reconnaissance est illusoire et dénuée de réelle valeur nourrissante. Accomplir le nécessaire, sans céder à l’accumulation de tâches et de responsabilités qui, autrefois, donnaient un statut, mais qui aujourd’hui se résument à un titre supplémentaire dénué de sens.

Quand même votre n+1, responsable du changement de l’huile des frites, est appelé « manager », tous ces acronymes et intitulés techniques masquent des travaux que d’autres ne veulent pas faire. Cela ne fait plus sens.

C’est peut-être le début d’un contentement à travers un choix conscient de poste, et peut-être un levier pour que, dans les années à venir, les entreprises repensent leur modèle de valorisation et de respect des individus.

travail #évolution #contentement #illusion #mot #verbiage

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,
Pank
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Reflections of Pank / Snapshot #295: Not Wanting to Do More?

Yesterday, an article in Inc. highlighted an increasingly common issue in the corporate world: a generation unwilling to take on positions higher than the ones they were hired for.

This creates significant challenges for companies, which will face growing difficulties filling management positions. At the same time, it is a fair backlash against the illusion of career advancement, where higher positions often come with more complications without commensurate pay. These promotions create the illusion of recognition but fail to provide the necessary resources or training for success. Once again, employees’ « personal development » is expected to make up for the shortcomings of human resources.

Another interesting aspect is the notion of choosing what is truly enough and refusing to overextend oneself in systems where recognition is illusory and far from nourishing. Doing what is necessary without succumbing to an accumulation of tasks and responsibilities, which in the past might have conferred status but now merely add another meaningless title.

When even your n+1, responsible for changing fryer oil, is called a « manager, » all these acronyms and technical titles obscure tasks no one else wants to do. It no longer makes sense.

This could mark the beginning of a conscious contentment in selecting one’s position—a lever for companies to rethink their model of valuing and respecting individuals in the years to come.

work #evolution #contentment #illusion #word #verbiage

Take only what is good and right for you.

Be one,
Pank
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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #258 : Combattre avec tout le monde

Les règles d’un dojo dictent l'inclusivité et le respect mutuel. Découvrez pourquoi refuser de combattre avec certaines personnes peut être perçu comme de la discrimination dans les arts martiaux.

Régulièrement, j’entends, je lis ou je visionne des discours en BJJ où des pratiquants refusent de s’entraîner avec tout le monde dans l’académie. Ce que j’ai le plus souvent entendu, c’est un homme qui ne veut pas combattre avec une femme. Pour moi, cette attitude est inacceptable dans mon dojo. Certains de mes amis acceptent cette idée, mais je trouve que cela va à l’encontre de l’esprit spécifique de cette salle d’entraînement.

Les seuls qui peuvent choisir sont les gradés. Comme je vous l’ai déjà expliqué, ils bénéficient de droits supplémentaires en raison de leur temps et de leurs contributions à l’académie. Si l’on me dit qu’on ne s’entraîne pas à cause de son statut marital ou de ses croyances spirituelles, cela revient, selon moi, à accepter une forme de discrimination, qu’elle soit raciale, liée à un handicap ou toute autre forme de -phobie.

Je comprends parfaitement que chacun d’entre nous a ses propres idées, valeurs et croyances. Mais dans ma vision d’un dojo, il existe des règles souvent fixées par le professeur. Les élèves sont libres de ne pas adhérer à ces règles et de ne pas rester.

Quand un gradé invite un non-gradé, peu importe qui il ou elle est, le moins gradé doit toujours accepter. Les idées politiques, spirituelles ou autres doivent être mises en pause pendant la pratique. Imaginez un pratiquant de Shorinji Kenpo qui refuserait de faire les Gasho (salut bouddhique) parce qu’il appartient à une autre confession.

Les écoles, les styles et les dojos ont des spécificités culturelles qui font partie du « package ». Si l’on n’est pas d’accord, il faut trouver un club qui corresponde à ses attentes. La CFJJB fait signer en début de saison un contrat pour éviter (ou du moins limiter) les discriminations. Je trouve cela pertinent, même si ce n’est qu’un outil parmi d’autres.

Je fais une distinction entre s’inscrire dans une salle de sport et rejoindre un dojo, et je me rangerai toujours derrière le choix de mon/ma gradé(e) plutôt que ceux qui viennent avec leurs propres attentes. Dans les arts martiaux, il existe une notion d’uniformité et de rigueur à travers des règles qui doivent être respectées.

Cela laisse également un espace de réflexion lorsqu’on établit sa propre académie, où le cadre devient déterminant pour répondre aux besoins des différentes populations. Apprenez les règles et les conditions de vos clubs pour éviter de vous retrouver dans des situations qui pourraient vous déranger, mais qui font partie de l’esprit du groupe. L’individualité ne doit pas primer sur le collectif…

#artsmartiaux #dojo #règles #cadre #acceptation #refus #philosophie #spiritualité #politique

Prenez uniquement ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Martial Reflections of a Hypnofighter #258: Fighting with Everyone

I regularly hear, read, or watch discussions in BJJ where practitioners refuse to spar with everyone in the academy. What I hear most often is a man who doesn’t want to fight with a woman. To me, this attitude is unacceptable in my dojo. Some of my friends accept this idea, but I believe it goes against the specific spirit of this training space.

Only the higher ranks can choose. As I have explained before, they have additional rights due to their time and contributions to the academy. If someone tells me they don’t train because of marital status or spiritual beliefs, I see it as accepting a discriminatory concept, whether it’s racism, disability, or any form of -phobia.

I fully understand that we all have our own ideas, values, and beliefs. But in my vision of a dojo, there are rules that are often set by the teacher. Students are free not to adhere to them and to leave if they choose.

When a higher-ranked student invites a lower-ranked one, regardless of who they are, the lower rank must always accept. Political, spiritual, and other ideas should be paused during practice. Imagine a Shorinji Kenpo practitioner who refuses to do Gasho (a Buddhist salute) because they follow another faith.

Schools, styles, and dojos have cultural specifics that are part of the package. If one disagrees, they need to find a club that aligns with their expectations. The CFJJB (French BJJ Federation) makes practitioners sign a contract at the start of the season to prevent (or at least limit) discrimination. I find the idea good, even if it’s just one tool among many.

I distinguish between signing up for a gym and joining a dojo, and I will always side with my higher-ranked students over those who come with their own expectations. Martial arts have a notion of uniformity and rigor through rules that must be respected.

This also leaves space for reflection when setting up your own academy, where the framework becomes key to meeting the needs of different populations. Learn the rules and conditions of your clubs so you don’t find yourself in situations that bother you but are part of the group’s spirit. Individuality should not take priority over the collective…

#martialarts #dojo #rules #framework #acceptance #refusal #philosophy #spirituality #politics

Take only what is good and right for you.

Be one,

Pank

Réflexions martiales d’un Hypnofighter #48 : Nos légendes

Hier, Poulpy m’a fait repenser à un vieux Sensei français que nous avons la chance d’avoir : Roland Habersetzer. Cela m’a rappelé que c’est grâce aux écrits de pratiquants et d’auteurs comme lui que j’ai pu apprendre des tas de choses avant l’ère d’internet. Mais surtout tous les articles sur Karate Bushido, les Chroniques de Plée, celle de Tokitsu. La découverte de ces passionnés de la première génération.

Ces sensei et Sifu comme Dan Schwartz nous montraient des possibilités, des univers que nous ne pouvions qu’imaginer avec une ou deux photos dans les magazines ou quelques autres pour agrémenter les ouvrages.

Chacun d’eux a planté une graine dans l’esprit du jeune passionné que j’étais. Même si avec le temps, j’ai remis en question, voire critiqué, les idées, les formes de combats. Il y a sûrement eu beaucoup de mystifications que ce soit dans les textes, la jeunesse même de ceux qui allaient devenir des légendes de notre monde martial en France.

On rêvait beaucoup. Il y a quelques années, quand j’allais faire une démo avec Flavio Santiago et la FSTeam à Bercy, on a papoté avec Greg Bouchlaghem de ce que l’on se disait quand on avait une vingtaine d’années. Il m’a fait remarquer que quand on était jeunes adultes, c’est nous qui allions voir le festival et que maintenant c’est nous qui le faisions. Pareil pour les couvertures du magazine.
C’est vrai que nous sommes devenus les anciens qu’on aimait tant. C’est vraiment amusant de voir ce cycle de la vie. Et puis petit à petit je découvre que des senseis s’en vont ou simplement vieillissent. J’ai grandi en regardant un livre que j’avais eu aux USA, il y a 20 ans avec Joko Ninomiya, fondateur de l’Enshin Karate et du fameux Sabaki Challenge. Il y a quelques mois, je regardais un reportage sur son fils Mike qui a été addict et comment avec le Karate, il a pu se remettre sur les rails.

Il y avait son père qui a maintenant près de 70 ans, c’était un choc de le voir ainsi et puis j’ai remis les choses sur la ligne du temps, c’est normal, le temps fait vieillir nos légendes. Tout le monde ne meurt pas comme Andy Hug ou n’est vieux depuis que nous sommes jeunes.

Il y a des morts qui ne nous surprennent pas, celle de Dekkers, ne m’a pas touché. Apprendre que Rickson est malade de Parkinson m’a fait cogiter sur le bien-être et les arts martiaux (Réflexion #9). En tout cas, j’ai de la chance d’avoir pu m’acheter ces livres, partir à la recherche d’un ouvrage à la Montagne Ste Geneviève sur Paris.
Les encyclopédies des arts martiaux, particulièrement celle de Patrick Lombardo, ont certainement été celles que j’ai le plus feuilletées. J’étais complètement fasciné par tous ces noms, ces styles, ces écoles et ces histoires. Et j’ai même eu la chance de retrouver mon nom dans une petite case de résultats. C’est comme si le gosse qui avait tant lu la première édition avait grandi et avait pu exister dans ce monde immense des arts martiaux.

Hier, en lisant le nom de Roland, je me suis dit que j’ai envie, comme dans la psychologie, d’aller à leur rencontre avant qu’ils ne partent. Ça ne sera qu’un stage, quelques heures, plus un retour dans mon gi d’enfant et me dire : « C’est génial ce moment. »

Et vous, est-ce que vous avez rencontré vos légendes ?

Ne prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One.
Pank

#encyclopédiedesartsmartiaux #légendes #RolandHabersetzer #KenjiTokitsu #GregMMA #danschwartz #Flaviosantiago #Jokoninomiya #enshinkarate #ramondekkers #ricksongracie

Hypnosophie #682 : Les comportements toxiques des hommes vis à vis des femmes dans notre milieu ?!

Un projet d’échange et de podcast que j’aimerai mettre en place, si ça vous intéresse, suite à des échanges pendant l’hypnopapotage de Jeudi.
Quels sont les comportements déviants que les femmes peuvent subir dans nos milieux, hypnose et psychopratique ?

Testez, observez et concluez par vous mêmes.
Les potentiels sont en vous.
La connaissance est Partage
Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous
Be One
Pank

App disponible sur Google Play : https://bit.ly/3hoqIxT

Toutes vidéos HnO répertoriées ici : https://bit.ly/2UHyREj
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Harcélement #Comportements #Respect #hypnose #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #Psychologie

Infographie Ecouter et se Respecter

Hello,

Une infographie sur la vidéo d’aujourd’hui / HnO Coaching #245 : Différence entre écoute et respect de soi / https://youtu.be/2c80vTYtvGg

Voici quelques idées complémentaires
La Connaissance est Partage. Diffusez la.
Ne Prenez que ce qui est bon et juste pour vous.
Be One
Pank Hno

Ps : toutes les infographies disponibles ici : https://bit.ly/2HcSuRL