Réflexions de Pank / Instantané #446 : Les compromis, une force ou un abandon ?

Il est difficile pour beaucoup d’entre nous de faire des compromis. On le voit dans la géopolitique et au niveau national, mais on voit aussi très souvent qu’à notre niveau personnel, nous devons en créer. Nous le devons vis-à-vis de notre environnement, mais également vis-à-vis de nous-mêmes, en fonction de notre temps, de notre état et de notre énergie.

Faire des compromis, c’est accepter de ne pas pouvoir faire ou avoir telle ou telle chose à un moment T. C’est devoir gérer une frustration qui peut affecter d’autres facettes de notre quotidien. Nous voyons d’ailleurs que le monde numérique et économique cherche à nous faire oublier les compromis dans sa volonté à nous faire consommer, en limitant les « moins » et en maximisant les « plus ». On le voit notamment avec les crédits à la consommation ou les paiements en plusieurs fois qui donnent l’impression que nous pouvons posséder ou consommer des choses sans avoir à décider ce que nous devrions laisser ou abandonner.

Parce que les mots utilisés sont parfois puissants. Prenez ce mot que je viens d’utiliser : abandonner. C’est enlever toute possibilité d’avoir ce que l’on veut, une sorte de décision sans retour. Il y a, en plus, une sorte de notion auto-jugeante, avec l’idée que nous sommes nous-mêmes contraints de prendre une décision que nous ne souhaitons pas.

Alors que revenir sur l’idée que ce que nous ne prenons pas est simplement une décision, un choix, c’est l’inverse de l’abandon. C’est une force, une qualité de savoir ce que nous voulons vraiment et de dire non à ce que nous ne pouvons pas pour le moment.

Prendre le temps de se créer des compromis dans des éléments simples du quotidien, comme la consommation de loisirs, de nourriture, de numérique ou d’information, peut être un levier qui recadre notre façon de vivre au quotidien et nous apporter plus de satisfaction que d’avoir « abandonné » face à nos pulsions.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Compromise: A strength or an abandonment?

It’s difficult for many of us to compromise. We see it in geopolitics and at the national level, but we also often see that on a personal level, we have to make them. We owe it to our environment, but also to ourselves, depending on our time, our state, and our energy.

Making compromises means accepting that we can’t do or have a certain thing at a given moment. It means having to manage a frustration that can affect other facets of our daily lives. We also see that the digital and economic world seeks to make us forget about compromises in its desire to make us consume, by limiting the « minuses » and maximizing the « pluses. » We see this particularly with consumer credit or payment in installments, which give the impression that we can own or consume things without having to decide what we should give up or abandon.

Because the words used are sometimes powerful. Take this word I just used: abandon. It’s taking away any possibility of having what we want, a kind of irreversible decision. There’s also a kind of self-judging notion, with the idea that we are ourselves forced to make a decision we don’t want.

Whereas going back to the idea that what we don’t take is simply a decision, a choice, is the opposite of abandonment. It’s a strength, a quality of knowing what we really want and saying no to what we can’t have for the moment.

Taking the time to create compromises for ourselves in simple daily elements, such as the consumption of leisure, food, digital content, or information, can be a lever that reframes our way of life and brings us more satisfaction than having « abandoned » in the face of our impulses.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #413 : Trouver du plaisir dans l’effort

Ce texte explore la nécessité d'accepter l'effort comme une constante de la vie, indépendamment du résultat. Il souligne que l'effort ne garantit pas le succès, et que l'échec est une possibilité normale. L'auteur propose de déplacer la perspective du "plaisir" à celle du "bénéfice" intrinsèque de l'effort, même en l'absence de réussite externe. Ces bénéfices peuvent inclure la reconnaissance de sa propre capacité à persévérer et la découverte de leçons précieuses, permettant de continuer malgré la difficulté et l'absence de résultats immédiats.

Si nous n’avons pas vraiment le choix dans la vie que de faire des efforts pour obtenir ce que l’on veut, que ce soit en nous ou dans nos environnements, nous allons devoir apprendre à nous habituer à cette dépense d’énergie.

Comme nous en avons déjà parlé, un effort ne « mérite » pas un résultat attendu ; il n’y a aucune raison que nous obtenions ce que nous désirons même si nous nous battons comme un beau diable pour l’avoir. C’est déjà un élément que nous devons admettre au commencement. Même si nous savons que nous pouvons orienter notre dialogue interne vers des idées « positives » vis-à-vis de nos objectifs, nous ne devons néanmoins pas nous mentir et la possibilité des échecs est normale.

Une fois que nous savons que pour une grande majorité d’entre nous, nous allons devoir fournir des efforts sans être assuré du résultat et que cela peut demander beaucoup de temps, sur le papier, ça ne donne pas vraiment envie. Et c’est là que nous pouvons y mettre ou plutôt y développer une notion de plaisir.

Le mot n’est pas juste, je dirais plutôt du bénéfice à l’effort, mais attention, cela n’a rien à voir avec la réussite. Que nous parvenions là où nous le souhaitons ou pas, les efforts que nous aurons fournis nous auront apporté des bénéfices, même si parfois, il faut se creuser la tête pour les trouver.

Cela peut être simplement le fait de se dire que nous sommes capables de faire des efforts. Cela peut être décevant parce que cela peut ne pas nous avoir apporté de résultat, mais nous cherchons ce que cela nous apporte.

Ce qui est intéressant, et on pourrait dire pour 80% des choses que nous mettons en place, c’est que nous pouvons apprendre à regarder les bénéfices de nos efforts dans nos actions. Ça ne retire pas que c’est difficile, parfois profondément ennuyant, mais au moins nous cherchons à ne pas nous effondrer au moindre effort sans résultat, et continuons bon gré mal gré, un jour de plus…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

Pank’s Reflections / Snapshot #413: Finding Pleasure in Effort

If we don’t really have a choice in life but to make efforts to get what we want, whether it’s within ourselves or in our environments, we will have to learn to get used to this expenditure of energy.

As we have already discussed, an effort does not « deserve » an expected outcome; there is no reason for us to get what we desire even if we fight tooth and nail for it. This is already something we must admit from the start. Even if we know that we can orient our internal dialogue towards « positive » ideas regarding our goals, we must nevertheless not lie to ourselves, and the possibility of failure is normal.

Once we know that for a large majority of us, we will have to make efforts without being assured of the result and that this can take a lot of time, on paper, it doesn’t really sound appealing. And that’s where we can introduce, or rather develop, a notion of pleasure.

The word isn’t quite right; I would rather say the benefit of effort, but be careful, this has nothing to do with success. Whether we achieve what we want or not, the efforts we have made will have brought us benefits, even if sometimes, we have to rack our brains to find them.

This can simply be the fact of telling ourselves that we are capable of making efforts. It can be disappointing because it may not have brought us a result, but we look for what it does bring us.

What is interesting, and one could say for 80% of the things we implement, is that we can learn to look at the benefits of our efforts in our actions. This doesn’t negate that it’s difficult, sometimes profoundly boring, but at least we seek not to collapse at the slightest effort without result, and continue willy-nilly, one more day…

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
https://www.pank.one/blog

Réflexions de Pank / Instantané #364 : La difficulté du militantisme

L'auteur explore la difficulté du véritable militantisme, soulignant l'écart fréquent entre les discours et les actions des activistes. Il critique les politiques qui prônent des valeurs qu'ils ne respectent pas eux-mêmes et insiste sur l'importance d'incarner les idéaux militants dans la vie quotidienne, au-delà des manifestations et de la "propagande".

Vous le savez sûrement si vous lisez mes articles, je suis de ceux qui ne croient qu’au résultat des conflits et des oppositions. Il y a des vainqueurs et des vaincus, ceux qui ont du pouvoir et ceux qui vont chercher à l’avoir. Du coup, je ne suis pas militant dans des camps politiques, idéologiques, spirituels ou autres.

Il y a dans le militantisme, que vous l’appréciiez ou non, un ensemble de valeurs et de croyances qui fait se mouvoir des populations de personnes qui veulent faire avancer des choses du quotidien ou des rapports psycho-sociaux dans de nombreux domaines de leur vie.

Seulement, si les idées peuvent être séduisantes pour beaucoup de personnes qui aiment les projets en « -ismes », peu sont réellement militants ou plutôt, il est rare d’avoir des personnes congruentes. Vous savez, des activistes qui ont le discours et les actes, mais dans toutes les facettes de leur vie.

Et nous le voyons avec des politiques qui défendent par exemple des discours pacifistes et non-violents et qui ne cessent de crier, insulter et cracher leur haine sur les écrans ou dans des hémicycles, avec une belle rationalisation, comme quoi « parfois c’est nécessaire ». Je ne vous reprends pas les cas actuels, des politiques qui nous parlent d’être exemplaires et qui détournent des fonds ou se retrouvent dans des conflits d’intérêt, tout comme ceux qui sont des professionnels des discours anti-féministes mais qui frappent leur conjointe.

Être militant, ce n’est pas seulement s’engager avec des stickers, des pancartes ou des réunions, c’est aussi chercher à incarner les idées et pensées qui ont réussi à nous séduire et plus encore, qui ont mis en branle les valeurs et les désirs pour des actions. Ce n’est pas un cadre qui se limite aux rassemblements ou aux « propagandes », mais hors de ces cadres « médiatiques », où on les voit, c’est aussi et je pense surtout, dans le quotidien, l’intime, le discret.

Devenir ce qui est revendiqué, un peu plus chaque jour, plutôt que d’être excessif pendant des périodes de tensions pour se considérer comme actif alors que l’on reste consommateur.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #364: The Difficulty of Activism

As you probably know if you read my articles, I am one of those who only believe in the outcome of conflicts and oppositions. There are winners and losers, those who have power and those who seek to have it. Therefore, I am not an activist in political, ideological, spiritual, or other camps.

There is in activism, whether you appreciate it or not, a set of values and beliefs that moves populations of people who want to advance everyday things or psycho-social relationships in many areas of their lives.

However, while the ideas can be appealing to many people who like projects ending in « -isms, » few are truly activists, or rather, it is rare to find congruent people. You know, activists who have the discourse and the actions, but in all facets of their lives.

And we see this with politicians who, for example, defend pacifist and non-violent discourses and who constantly shout, insult, and spew their hatred on screens or in hemicycles, with a beautiful rationalization, as if « sometimes it’s necessary. » I won’t revisit the current cases, of politicians who talk to us about being exemplary and who embezzle funds or find themselves in conflicts of interest, just like those who are professionals of anti-feminist discourses but who hit their partners.

Being an activist is not just engaging with stickers, signs, or meetings, it is also seeking to embody the ideas and thoughts that have managed to seduce us and, even more, that have set in motion the values and desires for action. It is not a framework that is limited to gatherings or « propaganda, » but outside these « media » frameworks, where we see them, it is also and I think especially, in the daily, the intimate, the discreet.

Becoming what is claimed, a little more each day, rather than being excessive during periods of tension to consider oneself active while remaining a consumer.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #335 : Développer son auto-hypnose au quotidien

Pank nous invite à considérer l'auto-hypnose comme un outil simple et accessible pour améliorer notre quotidien.  Il souligne la facilité d'apprentissage de cette technique et ses nombreux bénéfices : gestion du stress, des émotions, des comportements problématiques, amélioration du sommeil, etc.  Un appel à se libérer des idées reçues et à explorer le potentiel de l'auto-hypnose pour un mieux-être au quotidien.

Il faudrait s’amuser avec l’auto-hypnose comme un outil du quotidien. Se dire que nous avons dans notre poche un canif suisse pour nous permettre de mieux gérer ce qui se passe dans notre vie. Nous sommes tous capables de nous auto-hypnotiser. Nous sommes tous capables d’utiliser cette compétence et, à l’inverse du sport ou d’autres activités, cela peut s’apprendre facilement.

Il existe de nombreux cours en quelques jours, voire on peut apprendre en regardant quelques vidéos en ligne. Je me demande si on marketait mieux cette facette de l’hypnose, si les néophytes se plongeraient dedans. En effet, qui n’aimerait pas « utiliser 100% de son cerveau »… Non, je déconne, mais apprendre à s’étonner et à se détacher de petites choses qui pouvaient abîmer notre quotidien, qui ne nous touchent plus, c’est déjà beaucoup.

Nous avons aussi la possibilité d’utiliser l’auto-hypnose comme un support pour arrêter des comportements qui ne nous conviennent plus. J’aimerais bien trouver un levier pour motiver les gens à apprendre cette méthode parce que nous sommes dans un monde qui a besoin de petits plus qui ne nous amènent pas toujours à utiliser un outil ou du numérique.

Se rendre compte que nous pouvons nous apporter du mieux avec des méthodes applicables sans entrer dans des discours spirituels ou ésotériques, en restant très terre à terre, cela rend aussi plus universel ce cheminement possible. Que ce soit pour une addiction, des comportements problématiques, du sommeil, des peurs ou de multiples autres choses qui peuvent vous miner, n’hésitez pas à vous intéresser à l’auto-hypnose.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #335: Developing Your Everyday Self-Hypnosis

We should play with self-hypnosis as an everyday tool. To tell ourselves that we have a Swiss Army knife in our pocket to help us better manage what happens in our lives. We are all capable of self-hypnosis. We are all capable of using this skill and, unlike sports or other activities, it can be learned easily.

There are many courses over a few days, or you can even learn by watching a few videos online. I wonder if this facet of hypnosis were better marketed, if neophytes would delve into it. Indeed, who wouldn’t like to « use 100% of their brain »… No, I’m kidding, but learning to be surprised and to detach from small things that could damage our daily lives, that no longer affect us, is already a lot.

We also have the possibility of using self-hypnosis as a support to stop behaviors that no longer suit us. I would love to find a lever to motivate people to learn this method because we are in a world that needs little extras that do not always lead us to use a tool or digital technology.

Realizing that we can bring ourselves better with applicable methods without entering into spiritual or esoteric discourse, remaining very down to earth, also makes this possible path more universal. Whether it is for an addiction, problematic behaviors, sleep, fears or many other things that can undermine you, do not hesitate to take an interest in self-hypnosis.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions martiales d’un Hypnofighter #42 : S’entraîner au quotidien

Je pense qu’en tant que sportif, on peut facilement s’engager à s’entraîner beaucoup. Je le constate chaque année avec mes nouveaux pratiquants, dont certains s’accrochent bien et viennent de plus en plus souvent chaque semaine. Je ne parle pas des professionnels qui s’entraînent entre 2 et 3 fois par jour.

Lorsqu’on est un amateur, avoir la possibilité de s’entraîner une heure ou deux chaque jour est une chance incroyable. J’ai cette opportunité depuis que je suis adolescent, ce qui, après plus de 30 ans de pratique, me permet d’avoir une solide expérience.

L’entraînement quotidien est devenu un rituel, une habitude dans ma vie. Si pendant quelques jours je ne peux pas m’entraîner au dojo, je pratique le karaté comme lorsque j’étais enfant, même si je ne suis plus dans un club depuis des années. Aller chaque jour me dépenser et me reconnecter à cet élément naturel de l’animal que je suis m’apporte énormément de satisfaction.

En plus des poussées d’ocytocine et d’endorphine, il y a l’expression de soi à travers le combat. Il y a également des nuances émotionnelles qui modifient la pratique, la perception des choses, ouvrant ainsi un cheminement quotidien sur ma psyché.
Mon premier professeur de karaté m’avait dit que je devais m’entraîner même quand je n’ai pas envie. C’est ce que j’essaie de mettre en pratique chaque jour. Il y a des midis ou des soirs où mon corps est peu en forme ou où je suis encore plongé dans le travail. Il se peut qu’il pleuve ou qu’il fasse très froid, et en plus, prendre ma moto sur le périphérique n’est pas toujours agréable.

À l’académie, le changement d’humeur n’est pas immédiat, c’est un processus, d’autant plus que je dois gérer le cours en même temps que je m’entraîne (l’une des opportunités du BJJ/Luta). Les transformations psychiques se font dans le combat. Parfois, cela améliore mon état d’esprit, parfois pas du tout.

J’entends souvent dire qu’on ressort allégé des entraînements, pourtant ce n’est pas toujours le cas. Il arrive fréquemment que je ressorte avec plein de questionnements techniques, sur ce que je peux améliorer, si mes stratégies ou mes thèmes en combat ont été efficaces. L’entraînement est également une contrainte. Il ne faut pas oublier que nous sommes peut-être faits pour marcher tous les jours, mais pas pour nous battre quotidiennement.

Il y a des réflexions à avoir sur cette démarche quotidienne. Est-ce que ce que je pratique est adapté à ma physiologie et à mes compétences ? J’ai rapidement décidé des techniques que je vais adopter et de celles que je vais abandonner. Contrairement à certains pratiquants qui veulent tout faire, tout ce que mon corps n’apprécie pas après quelques entraînements, je mets de côté. Il y a parfois des angles qui tirent trop ou qui demandent trop de compensation. Je pars du principe qu’à long terme, cela pourrait me blesser.

Ma formule semble avoir fonctionné, je n’ai jamais eu de grosse blessure et je n’ai pas de douleurs particulières. L’entraînement quotidien offre également des possibilités de rencontrer et d’apprendre à connaître beaucoup de monde. La connaissance ne se fait pas autour d’un verre, mais dans l’affrontement. On apprend à « mieux » reconnaître l’autre.

Et vous, pratiquez-vous un sport quotidiennement ?

Ne prenez ce qui est bon et juste pour vous.
Be One
Pank Hno

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Les potentiels sont en vous.
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Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous
Be One
Pank

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Toutes vidéos HnO répertoriées ici : https://bit.ly/2UHyREj
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Un trimestre de Point Cosmos au quotidien

Voici un petit retour de l’utilisation du point cosmos dans le quotidien. Notez que ces quelques lignes font parties d’une série d’article que j’écris depuis la découverte de ce système.

J’ai commencé a comprendre quelque chose. J’ai moins utilisé consciemment le point cosmos. Je le laisse plus libre en ayant conscience qu’il est là.

Cette semaine en testant pour la première fois les bols chantants tibétains, j’ai compris une chose qui me semble déterminante. Ce n’est pas à moi de diriger ce point, seulement à initier l’action puis à suivre sa vibration.

C’est comme la vibration d’un bol, plus on l’impose et moins on est dans le temps juste, plus nous nous deconnectons de l’outil. En fait nous devenons outil de ce point, comme il est le notre.

L’excès du centrage ne peut apporter qu’un profond déséquilibre. C’est comme si nous souhaitions imposer un rythme et une vibration spécifique à une vibration qui est déjà en train de vivre et qui n’a besoin de nous que pour éviter de s’éteindre.

A mesure de mes tests en quasi Non-Stop, j’ai pu observer les effets négatifs de l’excès.
– je suis paradoxalement plus centré et plus en transe, donc moins en phase avec mon ‘ici et maintenant’
– je construis d’importante distorsions de temps et d’espace.
– mon corps dans un premier temps se soigne, s’apaise et accélère de nombreux processus internes. Puis comme l’abus d’un produit bénéfique, il devient un poison avec de nouvelles douleurs, des sensations internes désagréables et un véritable dérèglement physiologique. Allant jusqu’à des douleurs très fortes et même les jambes en coton, impossible de marcher.

J’ai vécu également des transes très violentes à mesure que j’insistais sur ce point, m’entrainant dans des régressions spontanées difficiles à gerer, des abreactions tres fortes, et une difficulté à mettre la moindre distance avec les émotions négatives qui pouvaient remonter lors de travaux en auto hypnose, ou d’écoute de soi.

Du plus nous entrainons du moins.
Je commence à comprendre le fonctionnement du point dans une démarche personnelle : méditation, réflexions, yoga, sport….

Ce n’est pas la permance de centrage qui apporte un bénéfice, simplement la prise de conscience de ce point quelques instants pour faire tourner la roue, pour qu’elle reste en mouvement. Un peu lorsque l’on conseille de prendre conscience du souffle pour entrer dans un état d’apaisement où d’harmonisation avec soi.

Quand une douleur ou une gêne physique ou émotionnelle entre dans notre être, la prise de conscience ou l’activation du point pendant une minute ou deux offrent un bénéfice considérable.
C’est un peu notre ancrage le plus positif qui est disponible par la pensée d’un point. Nous pénétrons dans une transe comme je le proposais précédemment, somnambulique. Il nous suffit soit de laisser la perfection de cette transe agir, soit simplement le compléter de suggestions positives.

Comme le souffle, il me semble que l’intégration du point cosmos dans notre vie doit avoir des phases de pleine conscience pour offrir une pleine possibilité de cet outil naturel.

Je commence juste à percevoir un début d’utilisation positive et possible dans le quotidien sans s’abimer. Je ne le sais que trop, l’excès est l’ennemi du bon. Cette fois ci encore mon trimestre en ‘full-cosmos’, a été physiquement et psychiquement difficile. Le seul bénéfice étant de comprendre un processus possible d’utilisation positive des effets positifs du point cosmos.

Il y a encore de nombreuses choses que je ne comprends pas, je continue ce joyeux voyage, en attendant je vous conseille de vraiment utiliser cet outil.

Mettez le en ‘marche’ dès votre reveil et retournez y quelques fois dans la journée. Utilisez le quand vous en avez un besoin, c’est à dire douleur, malaise, peur, ou plus concret dans le sport…

Prenez soin de vous.
Be one
Pank