HnO Ennéagramme #54 : Point de vue d’un type 8 / Quand être « bien » c’est accepter d’être qu’en lutte

Un retour d’expérience sur la force de la « Transe mère » dans mon typage de personnalité.

Testez, observez et concluez par vous mêmes.
Les potentiels sont en vous.
La connaissance est Partage
Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous
Be One
Pank

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#enneagramme #réalité #typagedepersonnalité #Transe #hypnose #hypnotherapie #autohypnose #questiosophie #hypnosophie #coaching #hnohypnose #Experience #flexibilité #Psychologie

Réflexions de Pank / Instantané #400 : Gérer son stress pour trouver la paix 

Ce texte explore la difficulté inhérente à la nature humaine de maintenir un état de paix constant, tant au niveau individuel que global. Il examine comment le stress, exacerbé par les imprévus et les incertitudes, peut mener à des réactions agressives. L'auteur souligne que la gestion du stress est une démarche personnelle et que la paix intérieure n'implique pas nécessairement la paix mondiale. Des solutions comme l'hypnose, la méditation et la respiration sont proposées pour apaiser le quotidien. En conclusion, l'article insiste sur l'importance d'agir concrètement pour la paix, au-delà des simples discours.

La paix est une chose qui semble ne pas vraiment motiver notre nature humaine. Nous parvenons sporadiquement, dans certaines régions du monde, à avoir moins de conflits. Nous-mêmes, nous ne sommes pas capables de rester en paix de nombreuses fois dans la journée.

Nous pourrions nous dire que nous restons zen quand nous gérons bien les situations. On peut constater que, quand tout semble se dérouler comme prévu, même si pour certains ce qui se passe est stressant, nos expériences et peut-être même nos anticipations nous font traverser ces moments avec calme.

Les choses se compliquent quand il y a des imprévus et des incertitudes, et que, pour une raison ou une autre, notre énergie et nos options se réduisent. Nous pouvons facilement développer un stress qui nous rend plus vindicatifs, agressifs envers nous-mêmes, voire les autres.

Je rappelle que ce n’est pas un devoir ou une pression de gérer son stress, et que si nous pouvions tous être en paix avec nous-mêmes, ça ne signifierait absolument pas que le monde, à notre échelle microscopique, le deviendrait. Nous avons la possibilité d’apprendre à gérer le stress au travers de l’hypnose, de méditations diverses et de la respiration, qui peuvent nous ouvrir une perspective plus apaisée sur la résolution des divers problèmes du quotidien.

Notre monde restera, pour chacun d’entre nous, à des niveaux et sur des thèmes différents, un monde qui peut nous stresser et nous entraîner dans des réactions destructrices. Nous pouvons clamer la paix, mais parfois, même dans ces manifestations pacifistes, il y a de la colère non gérée envers les états, les militaires ou les opposants.

Parler de paix ne suffit pas, tenter de montrer la paix par ses comportements et en offrant des moyens est plus concret que de chanter des slogans oubliés une fois plongé sur les réseaux sociaux.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #400: Managing stress to find peace

Peace is something that doesn’t really seem to motivate our human nature. We sporadically manage to have fewer conflicts in certain regions of the world. We ourselves are not able to remain at peace many times during the day.

We could tell ourselves that we remain zen when we manage situations well. We can see that when everything seems to go according to plan, even if for some what is happening is stressful, our experiences and perhaps even our anticipations make us go through these moments calmly.

Things get complicated when there are unforeseen events and uncertainties, and when, for one reason or another, our energy and our options are reduced. We can easily develop a stress that makes us more vindictive, aggressive towards ourselves, or even others.

I remind you that it is not a duty or a pressure to manage your stress, and that if we could all be at peace with ourselves, it would absolutely not mean that the world, on our microscopic scale, would become so. We have the possibility of learning to manage stress through hypnosis, various meditations, and breathing, which can open a more peaceful perspective on resolving the various daily problems.

Our world will remain, for each of us, at different levels and on different themes, a world that can stress us and lead us into destructive reactions. We can claim peace, but sometimes, even in these pacifist demonstrations, there is unmanaged anger towards states, the military, or opponents.

Talking about peace is not enough, trying to show peace through your behavior and by offering means is more concrete than singing slogans forgotten once immersed in social networks.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Pank Hypnosophie #1092 : Est ce que toutes ces guerres prouvent que nous ne savons pas être en paix?

Une réflexion sur la remise en question d’un point de vue micro de notre capacité à être en paix.

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Réflexions de Pank / Instantané #379 : Savons-nous vivre en paix ?

L'article explore la difficulté de l'humanité à vivre en paix, tant au niveau individuel que collectif. Il souligne la persistance des conflits, de la violence et de l'individualisme, malgré les efforts politiques et sociaux. L'auteur s'interroge sur la nature même de l'être humain, programmé pour l'homéostasie plutôt que pour la paix.

La paix pourrait être une idée commune, un monde qui ne vit pas sous les conflits et les violences absurdes. Ces dernières étant initiées par des instincts assez primitifs et une volonté de prise de pouvoir. Nous venons de fêter les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et ces 8 décennies, si nous n’avons pas, de notre côté en France, vécu en direct des guerres (plutôt avec des proxys), notre société n’est pas pacifiée.

Quoi que l’on fasse au niveau politique, économique ou social, il n’y aura jamais une satisfaction globale. Il y a sans cesse des conflits, de la violence verbale ou physique, il y a les idéologies, les tendances, ou les croyances qui entraînent encore une volonté d’imposer sa vision comme la seule qui soit juste.

Nous sommes dans un monde où, si les choses ne sont pas les pires, nous trouvons le moyen de dissoudre la solidarité, qui paradoxalement ne revient que lors de crises avant de disparaître dans un individualisme. On peut dire que c’est la cause d’un individualisme, mais nous savons que c’est la nature grégaire de l’humain qui, une fois satisfait, revient à se centrer non pas sur le groupe, mais sur soi.

Du coup, nous nous retrouvons dans un monde de paix qui ne peut se maintenir, comme si nous ne pouvions pas vivre sans conflit. Comme si la lutte pour maintenir la paix ne pouvait pas gagner face au besoin de lutte dans une guerre. Regardez le nombre de cessez-le-feu qui ne tiennent pas, certainement à cause d’un petit groupe de personnes qui estiment que la paix transitoire ne vaut pas le coup et balancent grenades et missiles…

Si on regarde individuellement qui est capable d’être en paix avec soi-même, il n’est pas certain que nous croisions beaucoup d’humains en paix. Alors comment voulez-vous que, déjà seuls avec nous, nous soyons en tension, nous puissions être en paix avec les autres, qui sont souvent tellement différents ? Nous sommes programmés pour de l’homéostasie, mais pas pour la paix…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
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Reflections by Pank / Snapshot #379: Do we know how to live in peace?

Peace could be a common idea, a world that does not live under conflicts and absurd violence. The latter being initiated by rather primitive instincts and a desire for power. We have just celebrated the 80th anniversary of the end of the Second World War. And these 8 decades, if we have not on our side in France directly experienced wars (rather with proxies), our society is not pacified.

Whatever we do at the political, economic or social level, there will never be global satisfaction. There is constant conflict, verbal or physical violence, there are ideologies, trends, or beliefs that still lead to a desire to impose one’s vision as the only one that is right.

We are in a world where, if things are not the worst, we find a way to dissolve solidarity, which paradoxically only returns during crises before disappearing into individualism. It can be said that this is the cause of individualism, but we know that it is the gregarious nature of the human being who, once satisfied, returns to focus not on the group, but on himself.

As a result, we find ourselves in a world of peace that cannot be maintained, as if we could not live without conflict. As if the struggle to maintain peace could not win against the need to fight in a war. Look at the number of ceasefires that do not hold, certainly because of a small group of people who believe that transitional peace is not worth it and throw grenades and missiles…

If we look individually at who is capable of being at peace with oneself, it is not certain that we will meet many humans at peace. So how do you expect that, already alone with ourselves, we are in tension, we can be at peace with others, who are often so different? We are programmed for homeostasis, but not for peace…

Take what is right and good for you.
Be One
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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #341 : L’Instinct du Conflit

Ce texte explore la nature humaine et son penchant pour le conflit, malgré les aspirations à la paix. L'auteur, un pratiquant de sports de combat, observe que le désir de pouvoir et de domination est profondément ancré en nous, comme le montrent les événements actuels et les comportements individuels. Il souligne que la force est souvent le dernier recours pour résoudre les conflits, même si elle engendre de nouveaux problèmes.

Il est troublant de constater que nous ne sommes pas des êtres pacifistes, surtout lorsque nous avons la capacité d’être les plus forts. L’actualité nous le rappelle quotidiennement. Un président américain qui agresse des populations du monde entier par ses décisions. Il est l’archétype de l’harceleur de cour d’école, menaçant et prêt à la violence.

Hier encore, notre propre président se voulait plus martial. On reparle de militarisation, de bombes nucléaires, etc. Nous, les humains, sommes programmés pour la conquête du pouvoir. Même si les études progressistes affirment que la paix est possible, elles ont raison, mais de manière limitée dans le temps.

Nous aimons le pouvoir, nous aimons dominer. Nous, pratiquants de sports de combat, le savons peut-être mieux que quiconque. Il est agréable de se sentir fort, invincible. Nous savons que cela exige un travail sur soi, de l’humilité, une remise en question constante pour ne pas abuser de notre force, pour respecter les autres et éviter les comportements égotiques.

Cependant, nous savons aussi qu’il y aura toujours ces pratiquants qui blessent intentionnellement, qui aiment faire mal, se sentir craints. Et pour apaiser cela, ce sont rarement les mots et les négociations qui transforment le comportement des agresseurs. C’est la force, encore une lutte pour savoir « qui est le plus fort » et donc qui a les droits.

Nous (les Occidentaux) n’avons pas réussi à faire du monde une planète pacifiée, même si nous avons pu gérer au mieux pendant 80 ans, avec des menaces persistantes durant des décennies (la guerre froide).

La force, le pouvoir et l’envie de dominer peuvent être sujets à réflexion, tout comme nous pouvons théoriser les combats et les agressions. Pourtant, toute théorie vacille face aux faits qui nous ramènent à des comportements primitifs, souvent source d’une chaîne de problèmes et de violence…

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Martial Reflections of a Hypnofighter #341: The Instinct for Conflict

It’s unsettling to realize that we are not pacifist beings, especially when we have the capacity to be the strongest. The news reminds us of this daily. An American president who aggresses populations around the world with his decisions. He is the archetype of the schoolyard bully, threatening and ready to use violence.

Just yesterday, our own president adopted a more martial stance. We are talking about militarization, nuclear bombs, etc. We humans are programmed to conquer power. Even if progressive studies claim that peace is possible, they are right, but only for a limited time.

We love power, we love to dominate. We, practitioners of combat sports, perhaps know this better than anyone. It is pleasant to feel strong, invincible. We know that this requires work on oneself, humility, constant questioning to avoid abusing our strength, to respect others and avoid egotistical behavior.

However, we also know that there will always be those practitioners who intentionally injure, who like to hurt, to feel feared. And to appease this, it is rarely words and negotiations that transform the behavior of aggressors. It is force, yet another struggle to know « who is the strongest » and therefore who has the rights.

We (Westerners) have not succeeded in making the world a peaceful planet, even if we have been able to manage as best we can for 80 years, with persistent threats for decades (the Cold War).

Strength, power and the desire to dominate can be subjects for reflection, just as we can theorize about combat and aggression. Yet, any theory falters in the face of facts that bring us back to primitive behaviors, often the source of a chain of problems and violence…

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #294 : Quand la mémoire s’efface : leçons oubliées de la Grande Guerre

Ce texte explore l’incapacité collective à tirer des leçons des guerres passées, en dépit des commémorations et des enseignements historiques. Il questionne notre rapport à la mémoire et à la transmission des leçons de paix, tout en observant des parallèles troublants entre le passé et les tensions contemporaines.

Une guerre qui remonte à plus de 106 ans, c’est difficile à imaginer, surtout quand nous sommes actuellement bombardés par des images de conflits du 21e siècle, montrant la mort, la haine et la peur dans les yeux de ceux qui les vivent, qu’ils soient acteurs ou victimes.

Quand on cherche à accomplir un devoir de mémoire, il y a une intention, un désir. Nous évoquons les tranchées, cette souffrance, mais aussi ce qui est souvent moins mis en avant : le nombre de morts survenus après les combats, notamment en raison de l’utilisation d’armes chimiques dont les effets se sont manifestés des années plus tard. Nous en parlons pour éviter de recommencer.

Pourtant, ce message semble ne pas passer. Ces blessures et ces jeunes vies fauchées sans raison n’arrivent pas à être une suggestion suffisamment forte. Nous aimons nous illusionner en pensant que la connaissance est pouvoir, alors qu’elle n’est parfois qu’un amas d’objets rangés dans un garage, inutilisés.

Ces derniers mois, en France et ailleurs, nous avons pu observer des événements qui rappellent étrangement les contextes ayant mené à des négations de la démocratie ou à des exacerbations de tensions et de haines, susceptibles de déboucher sur des conflits similaires à ceux du passé. Pourtant, malgré notre connaissance historique, nos apprentissages forcés à l’école et nos jours de mémoire, nous ne parvenons pas à briser ce cycle, voire nous rationnalisons les évènements.

Que penseraient donc ces anciens, ceux qui ont vu, vécu et péri, face à l’oubli progressif de leur message ? Quand la compréhension des ravages causés par la haine, l’intolérance et la guerre est diluée, mise de côté et oubliée, parce que ritualiser la mémoire n’est pas investir cette dernière…

guerre #paix #combat #mémoire #14-18

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Reflections by Pank / Snapshot #294: When Memory Fades: Forgotten Lessons of the Great War

A war that dates back more than 106 years is hard to imagine, especially when we are constantly bombarded with images of 21st-century conflicts, showing death, hatred, and fear in the eyes of those who live through them, whether as participants or victims.

When we seek to honor the duty of remembrance, there is intention, a desire. We talk about the trenches, the suffering, but also what is often less highlighted: the number of deaths that occurred after the confrontations, especially due to the use of chemical weapons, whose effects persisted years later. We do this to ensure we never repeat such horrors.

Yet, this message seems to fall on deaf ears. These wounds and these young lives lost for no reason fail to serve as a strong enough warning. We like to delude ourselves into thinking that knowledge is power, while it often remains nothing more than a collection of unused items in a garage.

In recent months, in France and elsewhere, we’ve seen events reminiscent of those that led to denials of democracy or to the exacerbation of tensions and hatreds, potentially resulting in conflicts eerily similar to those of the past. And yet, despite our historical knowledge, the lessons drilled into us at school, and the memorial days we observe, we fail to break this cycle.

What would these ancestors think, those who saw, experienced, and perished, as their message is slowly forgotten? When the understanding of the destruction wrought by hatred, intolerance, and war is diluted, stored away, and neglected, because ritualizing memory is not the same as truly investing in it…

war #peace #fight #remembrance #WWI

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Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #270 : Les règles… illusions

 Cet article explore la distinction entre les sports de combat et la self-défense, soulignant que la brutalité des conflits armés dépasse les règles établies. À travers les siècles, la haine et la violence ont façonné une réalité où les règles ne sont que des illusions.

On fait souvent une distinction entre le sport de combat et la dimension de la self-défense, qui ne prend pas en compte les règles. En ce moment, nous faisons face à de nombreux conflits armés, et chaque protagoniste estime que l’extermination du camp adverse est juste. Comme dans un match, les combattants veulent éliminer leurs adversaires, souvent de manière impitoyable.

Ce que les arts martiaux et même l’art de la guerre mettent en avant comme une sorte de noblesse ne devient évident qu’après coup, une fois les guerres terminées, avec tous les morts et les atrocités accomplies.

Nous l’observons déjà dans le sport, où la haine et la violence sont facilement exprimées. Et avec des récits datant de décennies ou de centaines d’années, façonnant un désir de détruire l’autre, il ne reste plus ni règles ni honneur.

Les conventions, les armes interdites, et autres restrictions reviennent à dire, lors d’une agression de rue, que le provocateur n’a pas le droit d’être armé ou d’attaquer à dix contre un. Nous le lisons chaque jour dans les actualités : la violence et l’intention martiale sont brutales, sans limite de destruction. Il n’y a pas de règles, seulement des justifications.

Quant aux jugements potentiels, même pour une agression « simple » du quotidien, la justice peine à rendre son verdict. Alors quand il s’agit d’une nation, avec tous les enjeux économiques, la plupart des responsables qui n’auront pas respecté les prétendues règles mourront en paix, comme tant d’autres avant eux, dans un pays à l’abri…

La guerre, le combat brutal nourri par la haine de l’autre, n’aura jamais aucune règle ni limite.

#guerre #conflit #loi #règles #limite #haine #récit #paix #illusion #justice 

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Martial Reflections of a Hypnofighter #270: Rules… Illusions

We often make a distinction between combat sports and the realm of self-defense, which disregards rules. At the moment, we are facing numerous armed conflicts, and each protagonist believes that the extermination of the opposing side is justified. Like in a match, the fighters aim to eliminate their opponents, often ruthlessly.

What martial arts and even the art of war promote as a kind of nobility only becomes evident after the fact, once wars are over, with all the deaths and atrocities committed.

We already see this in sports, where hatred and violence are easily expressed. And with stories dating back decades or even hundreds of years, shaping a desire to destroy the other, there are no longer any rules or honor.

Conventions, banned weapons, and other restrictions are akin to saying, in a street assault, that the aggressor does not have the right to be armed or attack with ten people against one « defenseless » individual. We read this every day in the news: violence and martial intent are brutal, without limits to destruction. There are no rules, only justifications.

As for potential judgments, even for a « simple » daily assault, justice struggles to deliver a verdict. So when it concerns a nation, with all the economic stakes, most of those responsible for not following the so-called rules will die in peace, just as so many others before them, in a safe country…

War, brutal combat fueled by hatred of the other, has and will never have any rules or limits.

#war #conflict #law #rules #limits #hatred #destruction #illusion #peace #justice

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Réflexions de Pank / Instantané #275 : La violence peut-elle s’apaiser ?

Cet article explore la nature instinctive de la violence humaine et les rationalisations qui justifient son expression. Il questionne si des alternatives viables à la violence peuvent réellement apaiser ceux qui y sont plongés, en soulignant la difficulté de choisir la paix face à l’injustice et à la haine.

Les événements nous montrent que l’humain est violent, et peu importe qui est visé, il y aura toujours une justification à l’expression de cette violence. Chacun de nous trouve des rationalisations pour un comportement si instinctif chez tant de personnes. En tant que personne ayant connu la violence, je réalise que, dans les conflits ou les faits de société actuels, la première réponse qui vient à l’esprit est souvent de répondre à la violence par encore plus de violence.

On comprend pourquoi nous ne vivons plus sous la loi du talion, mais dans un monde parfois trop régulé, qui cherche à offrir une forme de « justesse ». Il faut une grande énergie pour qu’une personne violente parvienne à se recentrer et envisager des alternatives. Face à la haine, à l’injustice, et aux pertes subies, le système cognitif est rarement celui qui prend le dessus.

Comme je l’évoquais il y a quelques jours, il est possible d’éviter l’escalade de la violence si nous avions la capacité d’accepter la défaite. Mais lorsque nous nous sentons agressés, non respectés, et surtout, sans avoir obtenu vengeance ou compensation, cela devient extrêmement difficile.

Pourrions-nous réellement offrir à ceux perdus dans leur violence, ou en quête de celle-ci, une alternative qui les apaiserait ? Si je me mets à leur place, je me dis que tant que « l’autre indéterminé » n’aura pas subi ce qu’ils ont enduré, l’apaisement semble impossible. Pourtant, dans l’esprit, seule la paix est une solution viable.

#violence #paix #vengeance #guerre #agression #mental #émotion #compensation

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

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Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #275: Can Violence Be Pacified?

Events show us that humans are violent, and regardless of who is targeted, there will always be a justification for expressing this violence. We all rationalize what is so instinctive in many people. As someone familiar with violence, I realize that in current societal conflicts or disputes, the immediate response that comes to mind is often to meet violence with even more violence.

We easily understand why we no longer live under the law of retaliation, but in a world that is sometimes overly regulated, striving to offer some sense of « fairness. » It requires immense energy for a violent person to center themselves and reflect on finding alternatives. When confronted with hatred, injustice, and loss, the cognitive system is rarely the one that comes into play.

As I mentioned a few days ago, it is possible to avoid escalating violence if we had the ability to accept defeat. However, when we feel attacked, disrespected, and especially without receiving vengeance or compensation, it becomes incredibly delicate.

Could we truly offer those lost in their violence, or seeking it, an alternative that could calm them? If I put myself in their shoes, I think that as long as “the other” has not endured what they have suffered, peace seems impossible. Yet in the mind, peace is the only viable solution.

#violence #peace #revenge #war #aggression #mind #emotion #compensation

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Pank