Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #405 : Un art martial sans combat

Il y a une recherche chez certains de ne jamais faire de combats. Un peu comme si la seule chose à faire était de répéter la technique, à l’instar du fit boxing ou d’autres formes de body karaté. L’absence de combat existe aussi dans le Jiujitsu, notamment avec les Machado qui avaient développé une évolution martiale sans randoris.

Pour moi, c’est une énorme injonction contradictoire. Sachant que je limite les arts martiaux, dans un premier temps, à nous faire combattre, à nous opposer pugilistiquement parlant à un autre individu. Venir dans une salle de sport de combat pour faire du fitness me semble étrange.

On voit bien que les styles qui n’ont pas de randori ou de sparring sont factuellement moins efficaces et donc utiles que ceux qui habituent à l’opposition et à l’adaptation, en plus de la gestion des différents stress qui existent. Même les styles plus orientés self-défense, comme le Krav Maga, font des combats boxés et en opposition pour habituer leurs pratiquants.

Faire un système qui, à aucun moment, n’entraîne à l’opposition – une démarche où l’autre veut te broyer, pas sur une frappe ou un mouvement, mais sur des séries, sur un désir réel de toucher et de ne pas être touché, de t’arracher un bras ou de t’étrangler – apportera certes un bien-être physique, mais il ne faut pas considérer que c’est un sport martial.

Le combat est la base de nos disciplines. Plus on limite les impacts, les règles, plus on peut facilement s’illusionner sur l’efficience des techniques. Sans même parler de l’énorme fossé entre les salles et les compétitions où l’autre ne cherche que ton mal, avec certes un cadre sécurisé mais où les KO ou les blessures sont acceptés.

Sans combat, nous ne faisons que du fitness ou du HIIT ; c’est autre chose, mais pas un chemin pugilistique.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One,

Pank

Martial Reflections of a Hypnofighter #405: A Martial Art Without Combat

Some people seek to never engage in combat. It’s as if the only thing to do is to repeat techniques, similar to fit boxing or other forms of body karate. The The absence of combat also exists in Jiujitsu, notably with the Machado family who had developed a martial evolution without randoris.

For me, this is a huge contradictory injunction. Knowing that I primarily define martial arts as making us fight, as opposing another individual in a pugilistic sense. Coming to a combat sports gym just for fitness seems strange to me.

It is clear that styles without randori or sparring are factually less effective and therefore less useful than those that accustom practitioners to opposition and adaptation, in addition to managing various existing stresses. Even more self-defense-oriented styles, like Krav Maga, incorporate boxing and opposition drills to prepare their practitioners.

Creating a system that at no point trains for opposition – an approach where the other person wants to crush you, not with a single strike or movement, but with sequences, with a real desire to hit and not be hit, to tear off an arm or choke you – will certainly provide physical well-being, but it should not be considered a martial sport.

Combat is the foundation of our disciplines. The more we limit impacts and rules, the more easily we can delude ourselves about the efficiency of techniques. Not to mention the huge gap between gyms and competitions where the opponent only seeks to harm you, albeit within a secure framework where KOs or injuries are accepted.

Without combat, we are only doing fitness or HIIT; it’s something else, but not a pugilistic path.

Take what is good and right for you.

Be One,

Pank

Réflexions Martiales d’un Hypnofighter #276 : Cardio et Self-Défense

Cet article explore l'endurance nécessaire en situation d'agression et le mythe des combats longs en self-défense. Découvrez comment le cardio et la capacité de continuer malgré la difficulté peuvent jouer un rôle déterminant face à un agresseur.

Il y a quelque temps, j’ai reçu un commentaire sur une de mes vidéos, où l’on me voit transpirant, en train de récupérer mon souffle. Le commentaire disait que je ne tiendrais pas 30 secondes dans un combat de rue. J’ai trouvé cette réflexion intéressante : 30 secondes dans la rue, c’est en effet très long.

Comme je l’ai déjà partagé, dans ma vision de la réponse violente face à une agression de rue, après les éventuels rituels, au premier contact, une réponse doit être rapide et efficace pour neutraliser l’agresseur. Si on dépasse le temps du premier assaut (généralement moins de 30 secondes), on entre alors dans un combat et non plus dans de la self-défense.

Paradoxalement, c’est lorsque l’on bascule en combat que les choses peuvent se simplifier. Pourquoi ? Parce que c’est un domaine que nous connaissons : nous sommes habitués à des rounds de 5 à 10 minutes. Certes, le stress de la rue épuise notre énergie, mais on peut « gérer ».

Je pense donc que le commentaire est erroné. Si vous êtes essoufflé en 30 secondes mais que vous êtes entraîné à la self-défense, la situation devrait déjà être terminée. La rue n’est pas un film avec des séquences longues. Et si, malgré tout, ces 30 secondes ne suffisent pas – ce qui signifie que la première réponse n’a pas neutralisé l’opposant – alors on passe à une qualité essentielle chez de nombreux pratiquants de sports de combat et d’arts martiaux : continuer malgré la difficulté.

Qui n’a jamais été épuisé à l’entraînement avec des exercices à finir ? Plus réaliste encore : qui, après une heure de sparring, n’est pas épuisé mais doit tout de même terminer son round ? Aller au bout de soi-même, c’est le quotidien des boxeurs et des lutteurs, quelle que soit leur discipline. Dans ce contexte, même face à un agresseur jeune et athlétique, il y a de fortes chances que ce soit lui qui finisse par atteindre ses limites, incapables de soutenir l’intensité de l’opposition. Le temps de combat (s’il n’y a pas d’arme en jeu) devient alors un facteur qui peut jouer en notre faveur pour remporter cet affrontement.

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,
Pank
https://www.passioncombat.net


Martial Reflections of a Hypnofighter #276: Cardio and Self-Defense

Some time ago, I received a comment on one of my videos where I was sweating and catching my breath. The comment stated that I wouldn’t last 30 seconds in a street fight. I found this reflection interesting: 30 seconds in the street can indeed feel very long.

As I’ve shared before, in my view of a violent response to street aggression, after any rituals we might have, from the first contact, there must be a quick, decisive response to neutralize the aggression. If we go beyond the first assault (typically under 30 seconds), we then move into a fight, no longer self-defense.

Paradoxically, things can become simpler when it turns into a fight. Why? Because it’s familiar territory for us – we’re used to rounds of 5-10 minutes. Certainly, the street and stress can drain our energy, but we can “manage.”

Reflecting on this, I think the comment misses the mark. If you’re out of breath in 30 seconds, but trained in self-defense, the situation should have been resolved by then. The street is not like a movie with long sequences. And if, despite that, those 30 seconds are not enough – meaning the initial response did not stop the opponent – we then rely on a quality shared by many combat sports and martial arts practitioners: advancing despite difficulty.

Who hasn’t been exhausted in training yet had exercises to finish? More realistically, who isn’t wiped out after an hour of sparring but still has to finish their round? Being pushed to one’s limits is the reality for boxers and wrestlers, regardless of their discipline. In this context, even against a young, fit aggressor, there’s a high chance that they’ll be the one unable to handle the intensity of the opposition. Combat time (assuming no weapons are involved) could then play in our favor to win the confrontation.

Take what is good and right for you.

Be one,
Pank
https://www.passioncombat.net

Réflexions de Pank / Instantané #202 : Accepter le désaccord

Actuellement, les médias mettent en lumière les nombreux désaccords entre les différentes franges de la population. Les réactions sont variées, allant de la moquerie à la violence, que ce soit sur les campus ou lors de manifestations. On observe une tentative de la part d’un camp ou d’une idéologie de se revendiquer et surtout de confronter les opinions adverses.

Je trouve que c’est une chose saine et, comme je vous l’avais déjà partagé avec les luttes féministes, je suis favorable à l’opposition, aux luttes et aux confrontations. Pour moi, ce qui m’intéresse, c’est de voir quel camp l’emportera. Cela ressemble à ces passionnés de combats qui observent, souvent inconsciemment, une confrontation physique ou psychologique pour décider vers qui ils vont se tourner.

Le vainqueur écrit l’histoire, définit les règles et donne les directions ; c’est d’ailleurs pour cela que nous avons des formes de révisionnisme. Celui qui gagne décide, impose et parfois exécute ceux qui perdent.

C’est le cas dans les courants politiques et idéologiques, mais aussi dans les entreprises, les familles et même les regroupements associatifs. Ce qui est plus difficile à admettre pour moi, c’est la volonté d’adhésion à ce qu’une frange de population plus ou moins importante juge juste.

On sait que l’histoire a contraint des milliards d’humains, par la force ou par une éducation plus ou moins imposée, à adhérer à certaines idées. On l’a vu récemment avec Jack Ma, le fondateur d’Alibaba, qui, après quelques semaines de « disparition éducative », a modifié son discours vis-à-vis du gouvernement de Pékin.

Lutter pour promouvoir ses idées et essayer de les transformer en lois ou en nouveaux comportements est un combat intéressant. Cependant, croire que l’on peut changer les opposants ou simplement faire adhérer des personnes réticentes est une perte de temps et ne mènera jamais à une victoire.

Il est préférable d’accepter le désaccord et de le reconnaître, de savoir qu’il n’y a pas de consensus possible sur certains points de vue pour, stratégiquement, identifier les véritables opposants et les idées contraires, plutôt que d’imposer une dictature de la pensée qui attire de faux alliés préparant une contre-attaque.

Au quotidien, savoir que des connaissances, amis ou proches ne partageront jamais notre opinion n’est pas problématique. Mieux encore, cela ne nous empêche pas de discuter de ces sujets, en sachant que parfois, nous serons juste dans l’écoute et la compréhension.

#dictature #manifestation #lutte #éducation #modèleunique #inquisition #bienpensance #victoire #défaites

 Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #202: Embracing Disagreement

Currently, the media shines a spotlight on the numerous disagreements among various segments of the population. Reactions range from mockery to violence, whether on college campuses or during protests. We see efforts from one side or ideology to assert itself and especially to confront opposing views.

I believe this is a healthy thing, and as I’ve previously shared regarding feminist struggles, I am in favor of opposition, struggles, and confrontations. For me, the interest lies in seeing which side will prevail. It’s similar to fight enthusiasts who, often unconsciously, watch a physical or psychological confrontation to decide whom to support.

The victor writes history, sets the rules, and dictates directions; this is why we have forms of revisionism. The winner decides, imposes, and sometimes executes those who lose.

This is the case in political and ideological currents, but also in businesses, families, and even associations. What is harder for me to accept is the desire to adhere to what a more or less significant segment of the population deems right.

History has forced billions of humans, through force or somewhat imposed education, to adhere to certain ideas. We saw this recently with Jack Ma, the founder of Alibaba, who, after a few weeks of « educational disappearance, » changed his stance towards the Beijing government.

Fighting to promote one’s ideas and trying to turn them into laws or new behaviors is an interesting battle. However, believing that one can change opponents or merely persuade reluctant people is a waste of time and will never lead to victory.

It is better to accept disagreement and recognize it, knowing that there is no possible consensus on certain viewpoints. Strategically, it’s important to identify the real opponents and opposing ideas rather than imposing a thought dictatorship that attracts false allies preparing for a counterattack.

In daily life, knowing that acquaintances, friends, or relatives will never share our opinion is not problematic. Better yet, it doesn’t prevent us from discussing these topics, knowing that sometimes, we will just be listening and understanding.

#dictatorship #protest #struggle #education #singlemodel #inquisition #righteousness #victory #defeats

Take only what is good and right for you.

Be one,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #114 : Situation complexe

Vous le savez, à travers de mes capsules, il y a des éléments qui me semblent vraiment problématiques et qui vont profondément modifier la société dans les années à venir.

La gestion de la frustration et l’incapacité à se concentrer. Ce matin, en prenant l’avion, j’ai pu observer un florilège d’éléments questionnables dans les rapports familiaux. Je ne connais pas les différentes problématiques systémiques, mais j’ai vu une famille recomposée avec deux garçons d’environ 5 à 8 ans et une jeune fille de 10-12 ans. Cette dernière est au cœur de cette réflexion.

Pendant presque tout le vol, elle était en confrontation directe avec sa mère et insultait le conjoint de celle-ci. La mère adoptait une approche d’éducation positive avec redistribution des responsabilités : “tu es responsable de ta violence et de ton agressivité”. L’enfant, elle ne voyant aucun cadre a part “ça suffit” continuait à attaquer et changer de jeu, toutes les 3 minutes. 

La situation semblait compliquée dès le départ, mais en quelques minutes, face à l’incapacité de l’enfant à s’ennuyer plus de 2 minutes, elle a orienté sa frustration sur sa mère à cause d’une histoire d’écoute de musique. La tablette étant partagée avec ses jeunes frères, la jeune fille n’a cessé de frapper et d’insulter sa mère. Cette dernière n’avait que des stratégies de pseudo-punitions que l’enfant ignorait.

Nous voyons clairement, au-delà des problèmes sous-jacents, un manque de cadre strict et d’habitude face à l’ennui. Passer des minutes sans rien faire, à part éventuellement lire quelque chose, est un défi. Là, comme nous le savons, c’est seulement l’écran qui apaise. Ce qui a été le cas avant la fin du vol. Puis, le silence a repris…

Nous sommes face à un problème en devenir, très complexe : une génération frustrée, dans un monde qui aura probablement de moins en moins à offrir… Donc de plus en plus de frustration à vivre ….

#systémie #cadre #posture #frustration #peur #éducationstricte #liberté #limites

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous 

Be one

Pank 


English Version

Pank’s Reflections / Snapshot #114: Complex Situation

As you know, through my snippets, there are elements that I find really problematic, which will deeply alter society in the coming years.

Managing frustration and the inability to concentrate. This morning, while boarding a plane, I observed a plethora of questionable elements in family dynamics. I’m not familiar with the different systemic problems, but I saw a blended family with two boys aged about 5 to 8 and a young girl aged 10-12. This girl is at the heart of this reflection.

For almost the entire flight, she was in direct confrontation with her mother and was insulting her mother’s partner. The mother was adopting a positive education approach with a redistribution of responsibilities: « you are responsible for your violence and aggression. » The child, seeing no framework beyond « that’s enough, » kept switching and altering her games every 3 minutes.

The situation seemed complicated right from the start. Yet, within minutes, because the child couldn’t stand being bored for more than 2 minutes, she directed her frustration at her mother over a music-listening dispute. With the tablet being shared with her younger brothers, the girl kept hitting and hurling insults at her mother. The mother only had pseudo-punishment strategies, which the child simply ignored.

We clearly see, beyond the underlying problems, a lack of strict guidelines and unfamiliarity with boredom. Spending minutes doing nothing, except maybe reading something, is challenging. Here, as we know, only the screen soothes. This was the case until the flight’s end. Then, silence resumed…

We’re facing an emerging, highly complex problem: a frustrated generation in a world that will likely have less and less to offer… Hence, ever-increasing frustrations to endure…

#systemics #framework #stance #frustration #fear #stricteducation #freedom #boundaries

Take only what’s good and right for you.

Be one.

Pank

Réflexions martiales d’un Hypnofighter #64 : Pas de pitié à l’académie.

Un titre aussi percutant pourrait laisser croire que mon dojo est une émanation de Cobra Kai. Et c’est précisément ce que c’est ! Récemment, après une séance d’entraînement à la bagarre avec Guillaume, nous avons évoqué ces hommes qui se montrent un peu trop agressifs envers les femmes pendant les séances. Étant moi-même un de ces gars-là, je trouve que c’est une observation intéressante. Cela m’a rappelé pourquoi je n’éprouve aucune pitié lors de l’entraînement avec les femmes ou les autres. J’ai grandi dans le monde du karaté où le symbolisme du gi et du salut revêt une grande importance à mes yeux.

Lorsque l’on franchit les portes du dojo, notre gi ou tenue de combat symbolise la neutralité. C’est d’ailleurs pourquoi, de saison en saison, je me dis qu’un jour je pourrais simplifier les choses en imposant une seule couleur de gi et une tenue similaire en Luta. Lorsque nous enfilons notre gi et que nous saluons pour débuter le cours, nous laissons derrière nous nos opinions politiques, religieuses, genrées, etc. Cela me pousse simplement à prendre en compte un aspect : le gabarit avec lequel je vais évoluer. Néanmoins, je conserve une approche martiale du karaté : celui qui possède le grade le plus bas donne le niveau d’intensité de son adversaire, au risque d’avoir un retour intense. L’idée sous-jacente est de travailler dans un esprit de coopération et d’intelligence.

Lorsqu’une femme m’invite à un combat ou que je m’entraîne avec elle en randori, je la considère comme une combattante. Elle est une personne qui cherche à me vaincre et à me soumettre, et je vais respecter cette intention et y répondre en conséquence. Personne n’est fragile, et si c’est le cas, normalement après quelques séances, ces individus ne persévèrent pas dans la discipline. Mettre K.O. une femme n’est pas un souci non plus. Toutefois, selon moi, le K.O. doit se faire en visant le corps ou les jambes, pour éviter d’infliger des blessures sévères à l’autre.

Les clés et étranglements, comme avec tout autre combattant, sont recherchés, et s’il y a une situation de danger, on signale martialement que cela pourrait provoquer une douleur réelle ou une blessure (rappelez-vous, on ne parle pas en randori).

L’avantage du Luta et du Bjj, c’est que si nous souhaitons nous investir pleinement dans chaque combat, il est possible de s’orienter vers des thèmes spécifiques lorsque les gabarits ou les niveaux diffèrent trop. Cela permet de focaliser sur des techniques spécifiques, des sorties ou des mouvements. Cela ajoute de la complexité et permet également aux partenaires de donner leur maximum.

Une fois le cours terminé, chacun retourne au monde civil du quotidien. Chacun est ce qu’il souhaite être, comme il le souhaite. Les précieux moments passés lors des séances sont uniques. C’est un monde exceptionnel qui dépend bien sûr de l’académie, des senseis et  surtout des élèves qui y participent. Dans certaines académies, les hommes peuvent se limiter à combattre entre eux, ou bien il y a des catégories de poids inférieures à 80 kg d’un côté et +80 de l’autre. Chacun a sa propre manière d’appréhender les choses, et comme je crois que chaque dojo est unique, une discipline que nous avons adorée en un endroit peut ne pas nous convenir dans un autre.

Dans mon dojo, garder à l’esprit que nous sommes simplement des combattants, réunis dans un esprit de discipline et de dépassement, est essentiel. Peu importe qui vous êtes, vous prendrez et donnerez autant que les autres. Si cela ne vous convient pas, il existe une multitude de dojos qui pourraient répondre à vos attentes. Cependant, cela m’amène à revenir à l’article que j’ai écrit sur mon dojo, ma propre dictature.

Et vous, avez-vous déjà ressenti que les gens vous traitaient différemment en fonction de votre sexe, de votre genre, de votre taille ou de votre poids ?

Ne prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be One.

Pank

#femme #homme #combat #dureté #équité #discrimination #inclusivité #exclusivité