Réflexions de Pank / Instantané #414 : L’anneau gastrique virtuel : une approche hypnotique pour la gestion du poids

Cet article explore l'anneau gastrique virtuel comme outil hypnotique pour la gestion du poids. Il souligne l'importance de l'auto-hypnose pour personnaliser l'approche, évaluer l'impact des émotions sur l'alimentation et rétablir une relation saine avec la nourriture. L'objectif est de définir un cadre subconscient pour une alimentation équilibrée et consciente, complémentaire à l'avis d'un nutritionniste, visant une meilleure santé physique et mentale à long terme.

Il existe un nombre infini de techniques, de stratégies et de suggestions qui peuvent être utilisées en hypnose. Pour la gestion du poids, nous en connaissons de nombreuses qui peuvent donner un coup de pouce aux consultants, et d’autres qui ne leur apportent pas grand-chose. L’anneau gastrique virtuel est l’un de ces outils.

Ce qui est intéressant avec la pose de l’anneau, c’est qu’il devient un outil personnalisé pour chaque personne qui va l’utiliser. Comme beaucoup des techniques partagées en hypnose, celle-ci implique un travail fréquent d’auto-hypnose, pour maintenir le contact avec l’outil, pour faire le bilan de sa journée alimentaire, mais aussi pour évaluer l’impact des circonstances et des émotions. Cela permet de saisir comment ces différents aspects ont pu influencer sa relation à l’alimentation.

Cette relation doit être rééquilibrée, la pose de l’anneau ne se substituant en rien à la consultation d’un nutritionniste qualifié. Ce qui est soutenu par l’anneau, c’est la relation avec l’aliment, avec la satiété, et possiblement avec les pulsions. L’objectif de l’hypnose et de cet outil est d’offrir la fin d’un rapport complexé vis-à-vis de la nourriture.

Oser se dire que manger est bien et qu’on peut aimer ou avoir faim sans pour autant déclencher des pensées limitantes du type : « oui, mais si je mange, je vais grossir » ou « est-ce que je saurais m’arrêter… ».

L’anneau, c’est accepter de mettre un cadre, une limite que le subconscient rappelle en douceur, une quantité nécessaire, sans les parasitages émotionnels, sociaux ou culturels.

Activer un nouvel ancrage (par exemple, pouce-index) permet de se dire qu’on se fixe un cadre, qu’on se concentre sur une alimentation optimale, mais aussi avec plaisir, pour s’orienter et surtout maintenir une bonne santé physique et mentale à long terme.

Un programme MP3 d’hypnose gratuit est disponible : https://hno-mp3-hypnose.com/hypnose-et-anneau-gastrique-virtuel-systeme-bagh/

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #414: The Virtual Gastric Band: A Hypnotic Approach to Weight Management

There are an infinite number of techniques, strategies, and suggestions that can be used in hypnosis. For weight management, we know many that can give consultants a boost, and others that do not bring much benefit. The virtual gastric band is one of these tools.

What’s interesting about the virtual band placement is that it becomes a personalized tool for each person who uses it. Like many techniques shared in hypnosis, this one involves frequent self-hypnosis work, to maintain contact with the tool, to review one’s daily food intake, and also to evaluate the impact of circumstances and emotions. This helps to understand how these different aspects may have influenced one’s relationship with food.

This relationship must be rebalanced; the virtual band placement in no way replaces consulting a qualified nutritionist. What the band supports is the relationship with food, with satiety, and possibly with cravings. The goal of hypnosis and this tool is to offer an end to a complex relationship with food.

Daring to tell oneself that eating is good and that one can enjoy or be hungry without triggering limiting thoughts like: « yes, but if I eat, I’ll gain weight » or « will I be able to stop… ».

The band is about accepting to set a framework, a limit that the subconscious gently reminds us of, a necessary quantity, without emotional, social, or cultural interference.

Activating a new anchor (for example, thumb-index finger) allows one to tell oneself that a framework is being set, that one is focusing on optimal eating, but also with pleasure, to guide oneself and, above all, maintain good physical and mental health in the long term.

A free hypnosis MP3 program is available: https://hno-mp3-hypnose.com/hypnose-et-anneau-gastrique-virtuel-systeme-bagh/

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #413 : Trouver du plaisir dans l’effort

Ce texte explore la nécessité d'accepter l'effort comme une constante de la vie, indépendamment du résultat. Il souligne que l'effort ne garantit pas le succès, et que l'échec est une possibilité normale. L'auteur propose de déplacer la perspective du "plaisir" à celle du "bénéfice" intrinsèque de l'effort, même en l'absence de réussite externe. Ces bénéfices peuvent inclure la reconnaissance de sa propre capacité à persévérer et la découverte de leçons précieuses, permettant de continuer malgré la difficulté et l'absence de résultats immédiats.

Si nous n’avons pas vraiment le choix dans la vie que de faire des efforts pour obtenir ce que l’on veut, que ce soit en nous ou dans nos environnements, nous allons devoir apprendre à nous habituer à cette dépense d’énergie.

Comme nous en avons déjà parlé, un effort ne « mérite » pas un résultat attendu ; il n’y a aucune raison que nous obtenions ce que nous désirons même si nous nous battons comme un beau diable pour l’avoir. C’est déjà un élément que nous devons admettre au commencement. Même si nous savons que nous pouvons orienter notre dialogue interne vers des idées « positives » vis-à-vis de nos objectifs, nous ne devons néanmoins pas nous mentir et la possibilité des échecs est normale.

Une fois que nous savons que pour une grande majorité d’entre nous, nous allons devoir fournir des efforts sans être assuré du résultat et que cela peut demander beaucoup de temps, sur le papier, ça ne donne pas vraiment envie. Et c’est là que nous pouvons y mettre ou plutôt y développer une notion de plaisir.

Le mot n’est pas juste, je dirais plutôt du bénéfice à l’effort, mais attention, cela n’a rien à voir avec la réussite. Que nous parvenions là où nous le souhaitons ou pas, les efforts que nous aurons fournis nous auront apporté des bénéfices, même si parfois, il faut se creuser la tête pour les trouver.

Cela peut être simplement le fait de se dire que nous sommes capables de faire des efforts. Cela peut être décevant parce que cela peut ne pas nous avoir apporté de résultat, mais nous cherchons ce que cela nous apporte.

Ce qui est intéressant, et on pourrait dire pour 80% des choses que nous mettons en place, c’est que nous pouvons apprendre à regarder les bénéfices de nos efforts dans nos actions. Ça ne retire pas que c’est difficile, parfois profondément ennuyant, mais au moins nous cherchons à ne pas nous effondrer au moindre effort sans résultat, et continuons bon gré mal gré, un jour de plus…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.
Be One
Pank
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Pank’s Reflections / Snapshot #413: Finding Pleasure in Effort

If we don’t really have a choice in life but to make efforts to get what we want, whether it’s within ourselves or in our environments, we will have to learn to get used to this expenditure of energy.

As we have already discussed, an effort does not « deserve » an expected outcome; there is no reason for us to get what we desire even if we fight tooth and nail for it. This is already something we must admit from the start. Even if we know that we can orient our internal dialogue towards « positive » ideas regarding our goals, we must nevertheless not lie to ourselves, and the possibility of failure is normal.

Once we know that for a large majority of us, we will have to make efforts without being assured of the result and that this can take a lot of time, on paper, it doesn’t really sound appealing. And that’s where we can introduce, or rather develop, a notion of pleasure.

The word isn’t quite right; I would rather say the benefit of effort, but be careful, this has nothing to do with success. Whether we achieve what we want or not, the efforts we have made will have brought us benefits, even if sometimes, we have to rack our brains to find them.

This can simply be the fact of telling ourselves that we are capable of making efforts. It can be disappointing because it may not have brought us a result, but we look for what it does bring us.

What is interesting, and one could say for 80% of the things we implement, is that we can learn to look at the benefits of our efforts in our actions. This doesn’t negate that it’s difficult, sometimes profoundly boring, but at least we seek not to collapse at the slightest effort without result, and continue willy-nilly, one more day…

Take what is right and good for you.
Be One
Pank
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Réflexions de Pank / Instantané #412 : Se placer en Méta

L'auteur explore le concept de "méta-cognition", inspiré par les approches de la PNL de Grinder et Bandler. Il explique l'importance de prendre de la distance avec ses propres processus internes (pensées, émotions, sensations) pour observer ses automatismes. Cette observation permet de tirer des informations précieuses sur soi-même, même des schémas autodestructeurs, et d'ouvrir la voie à des modifications comportementales créatives, à l'image des stratégies utilisées en thérapie cognitivo-comportementale (TCC).

Dans le New Code de Grinder, je vous avais partagé la façon d’aborder la PNL de ce cofondateur. Il était sans cesse dans des positions méta pour gérer les problématiques et laisser aller la créativité de l’élan solutionniste que nous traquons en nous.

Depuis quelques années, la sémantique de « méta-cognition » est devenue commune dans nos domaines de réflexion et d’application. Nous pouvons donc assez facilement aborder cette idée de se mettre en méta, en écoute, à distance avec ce qui se passe en nous et ce qui est en train de se développer dans notre cognition, tout autant que dans nos sensations et émotions.

Nous pouvons avoir ce sourire vis-à-vis de nous-mêmes quand nous sommes dans cet « état », comme le partageait Grinder. Nous sommes avec plus de distance et même si nous continuons d’appliquer notre pattern automatisé, il devient comme une observation de ce qui est et de ce qui n’adviendra pas, à minima lors de cette observation.

Ce qui fait que nos automatismes, même absurdes et parfois destructeurs, peuvent nous donner des informations sur nous-mêmes, des indices sur ce qui pourrait peut-être nous donner une voie pour modifier le pattern, voire une créativité de solution pour le réorienter de façon complètement différente.

C’est un peu comme vous mettre dans l’étude de vos stratégies, comme les PNListes aiment à le faire (surtout dans le courant de Bandler). En analysant ce qui se passe quand cela arrive, avec distance, c’est un peu comme revoir une action sportive après l’événement. Nous commençons à mieux appréhender les choses et nous pouvons, comme en TCC ou en thérapie Cognitivo-Comportementale, utiliser notre cognition mais aussi nos émotions et sensations, pour aller dans l’action dissociée d’être en méta et en correction de ce qui se passe dans l’action observée…

Une transe passionnante qui nous ramène à l’humilité de la maîtrise par rapport à la puissance dans nos modèles automatisés.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #412: Placing Oneself in Meta

In Grinder’s New Code, I shared with you how this co-founder approached NLP. He was constantly in meta-positions to manage problems and allow the creative surge of solution-oriented impulses that we track within ourselves.

For several years now, the semantics of « meta-cognition » have become common in our fields of reflection and application. We can therefore quite easily approach this idea of putting ourselves in meta, listening, at a distance from what is happening within us and what is developing in our cognition, as well as in our sensations and emotions.

We can have that smile towards ourselves when we are in this « state, » as Grinder shared. We are at a greater distance, and even if we continue to apply our automated pattern, it becomes like an observation of what is and what will not happen, at least during this observation.

This means that our automatisms, even absurd and sometimes destructive, can give us information about ourselves, clues as to what might perhaps give us a way to modify the pattern, or even a creative solution to redirect it in a completely different way.

It’s a bit like putting yourself into the study of your strategies, as NLP practitioners like to do (especially in Bandler’s school). By analyzing what happens when it occurs, with distance, it’s a bit like reviewing a sports action after the event. We begin to better understand things and we can, as in CBT or Cognitive-Behavioral therapy, use our cognition but also our emotions and sensations, to move into dissociated action, being in meta and correcting what is happening in the observed action…

A fascinating trance that brings us back to the humility of mastery compared to the power within our automated models.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #411 : Le manque de réalisme écologique

Ce texte, issu des réflexions de Pank, critique la vision occidentale de l'écologie, la qualifiant d'ethnocentrique et de privilégiée. L'auteur soutient que l'inquiétude climatique est centrée sur l'humain et sa "grandeur civilisationnelle", ignorant la résilience d'autres espèces. Il dénonce un "colonialisme de la bien-pensance" où les pays développés imposent des restrictions écologiques à des populations en difficulté, tout en pratiquant des actions hypocrites comme l'exportation de déchets. Le texte souligne le fossé entre les préoccupations écologiques d'une minorité et les besoins de survie de la majorité mondiale, remettant en question l'efficacité des approches actuelles.

Hier, avec la team HnO, nous parlions écologie, un sujet pour lequel je ne porte aucun intérêt, très égoïstement, et surtout parce que c’est un discours et des actions complètement ethnocentrés et issus des privilégiés que nous, Occidentaux, sommes.

Qu’il y ait un réchauffement climatique, oui, mais nous ne sommes pas inquiets pour la planète, mais pour nous : les humains et notre « grandeur civilisationnelle ».

Dur de se dire que notre espèce va s’éteindre sans l’aide de météorites ou de pluie d’acide, mais grâce à notre « intelligence supérieure », alors que des poissons et certains animaux sont, eux, des descendants directs d’époques où l’humain n’existait pas.

Comme quoi, ce n’est pas seulement la taille du cerveau qui permet de survivre et de s’adapter.

Dans les discours qui viennent de notre cercle de pensées dominantes (mais en voie d’extinction), nord-américain et européen, nous continuons une sorte de colonialisme de la bien-pensance.

Cesser les voitures polluantes, d’exploiter la terre ou les climatiseurs, dans des pays ou des villes où il fait déjà 45 degrés, où les gens vivent et galèrent avec 2 euros par jour, et cherchent à obtenir ce que les dominants leur refusent parce qu’eux l’ont eu mais ne sont pas convaincus… Parce que ça change le climat.

Pour se donner bonne conscience, on organise des conventions et des lois, du tri qu’on envoie néanmoins en Indonésie…

Super, 1,5 milliard d’humains maximum avec la pensée écologique pour 6,5 milliards qui survivent et cherchent à avoir une vie meilleure… On s’étonne que nos actions ne fonctionnent pas… C’est comme si ta ville était 100 % écolo, croire que si ton pays est sous canicule, tu ne la vivras pas… Encore une marque de la vision des tout-puissants et des « moi-je »…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank
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Pank’s Reflections / Snapshot #411: The Lack of Ecological Realism

Yesterday, with the HnO team, we were talking about ecology, a subject I have no interest in, very selfishly, and especially because it’s a discourse and actions that are completely ethnocentric and come from the privileged people that we, Westerners, are.

That there is global warming, yes, but we are not worried about the planet, but about ourselves: humans and our « civilizational grandeur. »

It’s hard to think that our species will go extinct without the help of meteorites or acid rain, but thanks to our « superior intelligence, » while some fish and animals are direct descendants of times when humans didn’t exist.

Which goes to show that it’s not just brain size that allows one to survive and adapt.

In the discourses coming from our dominant (but endangered) North American and European thought circles, we continue a kind of colonialism of well-thinking.

Stopping polluting cars, exploiting the land, or air conditioners, in countries or cities where it’s already 45 degrees, where people live and struggle with 2 euros a day, and seek to obtain what the dominant ones deny them because they had it but aren’t convinced… Because it changes the climate.

To ease our conscience, we organize conventions and laws, sorting that we nevertheless send to Indonesia…

Great, a maximum of 1.5 billion humans with ecological thinking for 6.5 billion who are surviving and seeking a better life… We’re surprised that our actions don’t work… It’s like if your city was 100% eco-friendly, believing that if your country is under a heatwave, you won’t experience it… Another sign of the vision of the all-powerful and the « me-me »…

Take what is right and good for you.

Be One

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Réflexions de Pank / Instantané #410 : L’intérêt du niveau somnambulique

Ce texte explore l'importance du niveau somnambulique en hypnose, soulignant comment il complète les approches conscientes en facilitant un dialogue stable entre le conscient et le subconscient. L'auteur explique que cet état de transe profonde, bien que nécessitant une orientation par la suggestion, permet de transformer des perceptions ancrées et d'accéder à des ressources internes pour un mieux-être durable. La rapidité d'induction de cet état le rend particulièrement pertinent pour les séances d'hypnose.

Si nous pouvons parfaitement hypnotiser et faire une session avec juste une modification de la perception consciente des choses, il y a parfois un manque. Nous savons que la transe est un moyen d’offrir des possibilités supplémentaires quand les techniques plus conscientes restent bloquées.

Il suffit d’ailleurs parfois de quelques suggestions en transe pour que les choses se mettent au clair. C’est l’une des facultés de la mise en conscience de ce que le subconscient n’arrivait pas à faire entendre. Plus nous nous plongeons dans une transe stable et ouverte aux suggestions, plus nous offrons, ne serait-ce que par l’état, des options supplémentaires.

Le niveau somnambulique permet de mettre en dialogue de façon assez stable le conscient et le subconscient, sans entrer dans un déséquilibre qui soit rend muet le conscient, soit rend le subconscient inaudible à notre consultant/partenaire.

L’état de focalisation intense et de capacité à recevoir et émettre des informations et des directions permet de changer des paradigmes de perceptions et de sensations de ce qui est vécu parfois depuis des années.

Bien sûr, sans une orientation par le questionnement et la suggestion, le somnambulisme hypnotique n’a pas spécialement d’intérêt. Même si la transe en elle-même peut ne serait-ce que mettre de la distance ou relâcher des tensions psychologiques et physiques, elle ne permet pas réellement de travailler dans l’objectif d’un mieux-être à long terme.

De plus, entraîner un partenaire au niveau somnambulique est rapide ; il nous faut moins de 5 minutes pour 90% des cas, ce qui n’est pas contraignant dans une séance d’hypnose de 45 à 60 minutes. Nous avons tout intérêt à utiliser cette transe quotidiennement pour en découvrir encore aujourd’hui toutes les ressources pour nos clients.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Pank’s Reflections / Snapshot #410: The Interest of the Somnambulistic Level

If we can perfectly hypnotize and conduct a session with just a modification of conscious perception, there is sometimes a lacking. We know that trance is a way to offer additional possibilities when more conscious techniques remain blocked.

Sometimes, just a few suggestions in trance are enough for things to become clear. This is one of the faculties of bringing to consciousness what the subconscious was unable to make heard. The deeper we immerse ourselves in a stable trance open to suggestions, the more additional options we offer, if only through the state itself.

The somnambulistic level allows for a fairly stable dialogue between the conscious and subconscious, without entering into an imbalance that either silences the conscious mind or makes the subconscious inaudible to our consultant/partner.

The state of intense focus and the ability to receive and transmit information and directions allows for a change in paradigms of perceptions and sensations of what has sometimes been experienced for years.

Of course, without guidance through questioning and suggestion, hypnotic somnambulism has no particular interest. Even if trance itself can merely create distance or release psychological and physical tensions, it does not truly allow for work towards long-term well-being.

Furthermore, training a partner to the somnambulistic level is quick; it takes us less than 5 minutes in 90% of cases, which is not restrictive in a 45 to 60-minute hypnosis session. We have every interest in using this trance daily to continue discovering all its resources for our clients today.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #407 : Pousser les moins jeunes

Ce texte met en lumière un manque de motivation et de reconnaissance pour les personnes âgées de 50 ans et plus, contrairement aux jeunes générations constamment encouragées. Il dénonce une vision sociétale qui cantonne les "seniors" à un rôle passif, négligeant leur vaste expérience et leur potentiel de création et de reconversion. L'auteur encourage ces générations à oser se fixer de nouveaux objectifs et à s'investir, soulignant que leur maturité et leurs compétences sont des atouts précieux.

Il existe des milliers de discours et de vidéos qui motivent les jeunes générations à devenir des personnes importantes dans différents domaines. Mais il n’y en a presque pas pour les quinquagénaires, comme si la vie se résumait à l’entrée dans l’âge adulte, avec des objectifs forts comme être PDG d’une entreprise, avoir beaucoup d’argent et une famille incroyable, ou simplement être un voyageur sans fin.

Bref, il y a une société de consommation illimitée pour les jeunes adultes et jusqu’à une certaine maturité. C’est normal me direz-vous, après, normalement, il y a des crédits, peut-être une famille et des enfants, voire un divorce, un emploi stable. Il y a des milliers de services et de produits pour ces êtres humains « dans leur case ».

Pourtant, quand on lit des biographies de certains entrepreneurs à succès ou de personnes qui ont changé leur vie, on constate qu’il y a ceux qui l’ont fait à des phases où tout le monde semble « posé ». Certainement dans un quotidien établi, mais pour beaucoup, frustrés de ne pas être entrés dans la case qu’ils avaient « achetée » et objectivée en tant que jeune adulte.

Il y a une sorte d’abandon, une sensation de fatigue chez ces quinquagénaires, qui se disent que maintenant chaque chute, chaque erreur, leur coûterait trop cher. Souvent, à l’inverse de la jeunesse mise en avant sans cesse dans les médias, il n’y a pas de personnes de référence, de succès de ces quinquagénaires et sexagénaires, comme s’ils devaient rester dans des conditions qui ne leur conviennent plus, et pire, qu’ils ne peuvent plus créer ni se projeter.

Pourtant, il peut rester 20 ou 30 ans avant de « partir ». Certes, les choses sont différentes, mais nous avons des quinquagénaires et des sexagénaires avec une expérience et des potentiels qu’aucune génération n’avait auparavant. Et pourquoi ne pas oser se lancer, avoir des objectifs sérieux et oser s’investir même si « une partie de ma vie est déjà faite » ?

Justement, c’est une preuve que vous avez de l’expérience, des compétences et une connaissance de vos forces et faiblesses, ainsi que la possibilité d’être humble et de demander du soutien et des conseils, moins dans une version « pré-adulte » du genre « je suis unique, personne ne peut comprendre mes rituels de 5 heures du mat' ».

Il y a un vrai segment de la population qui a beaucoup à donner et qui a choisi de rester enfermé dans ce que la société ne met en avant que pour des problèmes, alors qu’ils sont des potentiels.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #407: Pushing the Not-So-Young

There are thousands of speeches and other videos that motivate younger generations to become important people in various fields. But there are almost none for people in their fifties, as if life were only about entering adulthood, with strong goals like being a CEO of a company, having a lot of money and an incredible family, or simply being an endless traveler.

In short, there is an unlimited consumer society for young adults and up to a certain maturity. Normal, you might say; after that, normally, there are mortgages, perhaps a family and children, even divorce, a stable job. There are thousands of services and products for these humans « in their box. »

However, when you read biographies of some successful entrepreneurs or people who have changed their lives, you see that there are those who did it during phases when everyone else seemed « settled. » Certainly in a daily routine, but for many, frustrated not to have fit into the box they had « bought » and objectified as young adults.

There is a kind of abandonment, a feeling of fatigue among these quinquagenarians, who tell themselves that now every fall, every mistake, would cost them too much. And often, unlike the youth constantly highlighted in the media, there are no reference figures, no successes of these quinquagenarians and sexagenarians, as if they had to remain in conditions that no longer suit them, and worse, that they can no longer create or project themselves.

Yet there can still be 20 or 30 years before « leaving. » Of course, things are different, but we have quinquagenarians and sexagenarians with experience and potentials that no generation has had before. And why not dare to get started, have serious goals, and dare to invest themselves even if « a part of my life is already done »?

Precisely, this is proof that you have experience, skills, and knowledge of your strengths and weaknesses, as well as the ability to be humble and ask for support and advice, less in a « pre-adult » version like « I’m unique, no one can understand my 5 AM rituals. »

There is a real segment that has a lot to give, who have chosen to remain confined to what society only highlights for problems, whereas they represent potentials.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #406 : Savoir reprendre son souffle sous la vague

Face à des périodes de stress intense et prolongé qui réduisent notre capacité à résoudre les problèmes, il est essentiel de revenir à notre "zone de confort". Cette approche permet de décomposer les défis en sous-ensembles gérables, de limiter la dépense d'énergie et de retrouver un sentiment de maîtrise, nous aidant ainsi à avancer pas à pas au lieu de se laisser submerger.

Il y a des périodes dans la vie où tout semble s’accélérer et où un grand nombre d’événements se succèdent, laissant parfois l’esprit comme le corps dans un état difficile.

Si nous sommes plutôt bons pour gérer les problèmes de façon générale, lorsqu’il y a une augmentation prolongée du stress et que ce dernier se maintient à un niveau élevé, nous pouvons constater que nous sommes loin d’être performants dans la résolution des problèmes.

Il y a souvent une distorsion du temps et de l’espace quant à ce qu’il faut faire et à ce qui nous semble être notre jauge temps-énergie. C’est à ces moments-là que nous pouvons, et parfois devons, revenir à nos bases. Revenir à ce qui est notre zone de confort.

Lorsque les systèmes ne semblent plus être ce que nous connaissons, c’est que nous sommes certainement sous un stress important. Pourquoi ? Parce que, naturellement, nous faisons des associations et nous nous tournons vers des éléments que nous avons l’impression de reconnaître.

Outre la méditation et l’autohypnose, prendre les problèmes plusieurs fois par jour et les ramener dans le filtre de ce que nous gérons bien, ce que nous connaissons, en somme ce qui nous permet de limiter notre dépense d’énergie, et nous ramener à des processus que nous maîtrisons, nous permet de ne plus être dans le rouleau de la vague, mais de tenter de remonter sur notre planche, cet espace du connu.

Il se peut que les problèmes soient des éléments inconnus et nouveaux. Cependant, tout est constitué de sous-ensembles. Chercher ce qui peut être géré en décomposant les choses permet d’avancer pas à pas, laissant les vraies facettes inconnues dans une liste de traitement ultérieur une fois que ce qui peut être géré le sera.

La zone de confort est à valoriser dans un monde d’hyperstimulation et d’injonction à vous plonger dans l’inconfort. Simplement parce que cette zone confortable offre la possibilité de ramener dans un espace maîtrisé ce qui ne l’était plus.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Reflections from Pank / Snapshot #406: Knowing when to catch your breath under the wave

There are periods in life when everything seems to accelerate and a large number of events follow one another, sometimes leaving the mind and body in a difficult state.

While we are generally quite good at managing problems, when there is a prolonged increase in stress that remains at a high level, we can see that we are far from being effective at problem-solving.

There is often a distortion of time and space regarding what needs to be done and what we perceive as our time-energy gauge. It is at these moments that we can, and sometimes must, return to our foundations. Return to what is our comfort zone.

When systems no longer seem to be what we know, it is because we are certainly under significant stress. Why? Because you know that we naturally make associations and turn to elements that we feel we recognize.

In addition to meditation and self-hypnosis, taking problems several times a day and bringing them back into the filter of what we manage well, what we know—in short, what allows us to limit our energy expenditure—and bringing ourselves back to processes we master, allows us to no longer be in the wave’s roller, but to try to get back on our board, that space of the familiar.

It may be that the problems are unknown and new elements; however, everything is made up of subsets. Seeking what can be managed by breaking things down allows us to move forward step by step, leaving the truly unknown facets on a list for later treatment once what can be managed has been.

The comfort zone is to be valued in a world of hyperstimulation and injunctions to plunge into discomfort. Simply because this comfortable zone offers the possibility of bringing back into a controlled space what was no longer so.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #405 : Le buzz a vaincu l’intelligence

Je pense que l’humain est intelligent, même si nous sommes assez biaisés et très critiques sur ce que nous pouvons lire ou voir qui ne correspond pas à nos idées. Mais l’intelligence n’est pas nécessairement utilisée pour une progression, une évolution et une idée constructive.

Je reviens sur la commission TikTok qui, pour moi, a mis fin au pouvoir de l’intelligence collective. Nous avions des professionnels des réseaux qui passent leur vie à provoquer pour avoir des « likes » et des « followers », qui débattaient avec des politiques qui font un peu la même chose pour avoir des voix et gagner des élections, mais dans un processus obsolète.

On pouvait se dire que « l’intelligence » et les valeurs de personnes formées par les écoles et autres structures culturelles, parfois élitistes, allaient pouvoir avoir un échange constructif et utile pour un recadrage possible de ces nouveaux médias. Et pourtant non, ces tiktokeurs ont tout fait mieux. Pour certains, ils avaient des dossiers préparés avec des arguments, et comme ils connaissent les réseaux, ils savaient que toute provocation ou tout élément audacieux de leur part allait être vu par des millions de jeunes qui ont pour références ces influenceurs.

Le monde du buzz a vaincu l’intelligence, ou plutôt l’utilisation de cette dernière, depuis un moment, au travers de l’acceptation qu’un tweet ou une vidéo non contextualisée est une information. Mais là, avec ces créateurs de buzz, ces chercheurs de « followers », nous avons une culture spécifique et de plus en plus importante, qui a une forme d’intelligence non négligeable, mais qui ne cherche pas à monter, mais à faire toujours plus irrespectueux, irrévérencieux, pour avoir ces quelques minutes de gloire qui amèneront des euros sonnants et trébuchants.

Cette petite séquence, qui a été passée comme un non-événement, marque pour moi une étape, ou plutôt un marqueur, que notre civilisation ne met plus en avant des valeurs et une utilisation de notre cerveau de façon à progresser, mais un laisser-aller de nos instincts, de nos natures que nous savons enclins à bien des vices. La nature vainc la culture…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Reflections from Pank / Snapshot #405: Buzz has defeated intelligence

I think humans are intelligent, even if we are quite biased and very critical of what we can read or see that does not correspond to our ideas. But intelligence is not necessarily used for progression, evolution, and a constructive idea.

I come back to the TikTok commission, which, for me, put an end to the power of collective intelligence. We had network professionals who spend their lives provoking to get likes and followers, debating with politicians who do a bit of the same to get votes and win elections, but in an obsolete process.

We could have thought that the « intelligence » and values of people trained by schools and other cultural structures, sometimes elitist, would be able to have a constructive and useful exchange for a possible reframing of these new media. And yet no, these TikTokers did everything better. For some, they had prepared files with arguments, and as they know the networks, they knew that any provocation or any audacious element on their part would be seen by millions of young people who have these influencers as references.

The world of buzz has defeated intelligence, or rather the use of the latter, for a while, through the acceptance that a tweet or a non-contextualized video is information. But there, with these buzz creators, these follower seekers, we have a specific and increasingly important culture, which has a non-negligible form of intelligence, but which does not seek to rise, but to do ever more disrespectful, irreverent things, to have those few minutes of glory that will bring in hard cash.

This small sequence, which was passed off as a non-event, marks for me a step, or rather a marker, that our civilization no longer puts forward values and a use of our brain in a way to progress, but a letting go of our instincts, of our natures that we know are prone to many vices. Nature defeats culture…

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #404 : Le groupe et l’individu

Les travaux des sociologues et de la psychologie sociale sur les systèmes et les comportements individuels au sein d’un groupe sont nombreux. Et quand nous prenons le temps d’observer la situation actuelle en France concernant le civisme, cette idée du « vivre ensemble » au mieux semble s’effriter.

Un élément que j’ai d’abord trouvé anodin m’a ensuite semblé psychologiquement significatif. En tant que motard parisien, je circule quotidiennement sur le périphérique depuis 25 ans. J’observe la pratique de l’interfile, qui permet aux motards de rouler entre les voitures à une vitesse maximale de 50 km/h.

Cette pratique fait l’objet de débats et de désaccords, révélant comment chacun interprète les règles pour justifier un comportement individualiste. La règle est simple : une vitesse maximale de 50 km/h entre les voitures et un dépassement de 20 km/h maximum par rapport aux véhicules en mouvement (ce qui est difficile à évaluer).

Si de nombreux motards et scootéristes respectent la règle, certains sont pressés. Ils collent et stressent les véhicules qui les précèdent pour qu’ils se rabattent. Bien qu’il soit compréhensible d’être agacé par une moto qui semble lente devant soi, la règle est claire : il faut prendre son mal en patience.

Cependant, de nombreux motards tiennent des discours virulents, affirmant que ceux qui respectent la règle pour le bien commun doivent céder à leur désir de vitesse, arguant que s’ils ont un accident (fréquent en interfile sur le périphérique), c’est leur problème. Au-delà de cet égocentrisme, ces propos ont des conséquences, car ils présentent un comportement individualiste comme acceptable sous couvert d’une illusion de responsabilité.

Étrangement, ce sont souvent ces mêmes individus qui tentent de s’échapper après avoir involontairement cassé les rétroviseurs des voitures. Si les règles ne nous satisfont pas toujours, elles visent à éviter le chaos. Dans le cas présent, elles protègent les motards moins expérimentés ou plus prudents qui ne souhaitent pas se rabattre et risquer de ne plus pouvoir se réinsérer dans le trafic en raison du flux continu de véhicules.

Si nous construisons un système centré uniquement sur nous-mêmes, nous ne pouvons nous plaindre qu’il ne réponde plus à un « tous ensemble », qui repose sur le principe que le groupe apporte un bénéfice supérieur à l’action individuelle. Il est essentiel de se rappeler nos devoirs communs et de modérer notre narcissisme.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #404: The Group and the Individual

Sociologists and social psychology have extensively studied systems and individual behaviors within groups. And when we take the time to observe the current situation in France regarding civic-mindedness, this idea of « living together » for the best seems to be crumbling.

One element that I initially found insignificant later struck me as psychologically meaningful. As a Parisian motorcyclist, I have been riding on the périphérique daily for 25 years. I observe the practice of lane splitting, which allows motorcyclists to ride between cars at a maximum speed of 50 km/h.

This practice is the subject of debate and disagreement, revealing how everyone interprets the rules to justify individualistic behavior. The rule is simple: a maximum speed of 50 km/h between cars and a maximum overtaking speed of 20 km/h relative to moving vehicles (which is difficult to assess).

While many motorcyclists and scooter riders follow the rule, some are in a hurry. They tailgate and stress the vehicles in front of them to make them pull over. Although it is understandable to be annoyed by a motorcycle that seems slow in front of you, the rule is clear: you have to be patient.

However, many motorcyclists make heated statements, claiming that those who respect the rule for the common good must give way to their desire for speed, arguing that if they have an accident (frequent in lane splitting on the périphérique), it’s their problem. Beyond this egocentrism, these words have consequences, as they present individualistic behavior as acceptable under the guise of an illusion of responsibility.

Strangely, these are often the same individuals who try to escape after unintentionally breaking car mirrors. If the rules do not always satisfy us, they aim to avoid chaos. In this case, they protect less experienced or more cautious motorcyclists who do not wish to pull over and risk not being able to re-enter traffic due to the continuous flow of vehicles.

If we build a system centered solely on ourselves, we cannot complain that it no longer responds to a « togetherness, » which is based on the principle that the group brings a benefit superior to individual action. It is essential to remember our common duties and moderate our narcissism.

Take what is right and good for you.

Be One

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #403 : Être Constant 

Une réflexion sur la constance et son rôle dans la réussite de nos projets, malgré les difficultés et l'incertitude.

Il est assez difficile de connaître les critères qui pourraient aider au quotidien les personnes qui viennent nous consulter. D’autant plus que dans l’hypnose, il reste cette attente, parfois un peu trop passive, de suggestions qui pourraient tout changer ou, pire, cette idée de reprogrammation des schémas internes, comme si on envoyait notre PC au service informatique de notre entreprise.

Il y a une infinité d’éléments qui peuvent influencer les comportements, et une chose semble assez récurrente : la constance. C’est vrai que c’est peut-être un point qui peut apporter des bénéfices. Combien de fois abandonnons-nous ou diminuons-nous nos engagements dans nos actions et objectifs du quotidien ou à moyen/long terme ?

Nous savons que les motivations intrinsèques comme extrinsèques ne sont parfois stimulantes que pendant quelques semaines ou mois, mais beaucoup de nos projets demandent des années. C’est donc une routine, un schéma qui doit s’inscrire en nous. Quoi qu’il arrive, je continue mon processus, je répète et je corrige ce qui n’est pas validé par les faits.

Recommencer et recommencer encore et encore sans jamais savoir si aujourd’hui, demain ou dans 10 ans ce que nous avons mis en place apportera un bénéfice. La constance va au-delà de la satisfaction d’y parvenir, parce qu’il est possible dès le début que nous ne parvenions pas à ce que nous avions en tête.

Il arrive que le résultat soit parfois plus incroyable et d’autres fois, assez décevant, et pourtant, en sachant que ce que nous visons puisse ne pas nous apporter ce que nous cherchons, nous utilisons quotidiennement et pendant des années de l’énergie, on investit dans la démarche pour avancer petit à petit et voir le projet se constituer, parfois s’écraser, ou s’égarer.

Pourtant, avec constance, recommencer à faire les efforts et les investissements avec cette lueur que peut-être ça va passer un jour… Être constant, c’est une qualité que nous pouvons tous développer, mais il faut savoir que ça va nous faire mal et qu’il n’y a jamais de garantie…

Prenez ce qui est juste et bon pour vous.

Be One

Pank

Reflections by Pank / Snapshot #403: Be Contant 

It is quite difficult to know the criteria that could help on a daily basis the people who come to us. Especially since in hypnosis, there remains this expectation, sometimes a little too passive, of suggestions that could change everything or, worse, this idea of reprogramming internal patterns, as if we were sending our PC to our company’s IT department.

There are an infinite number of elements that can influence behaviors, and one thing seems quite recurrent: constancy. It is true that this may be a point that can bring benefits. How many times do we abandon or diminish our commitments in our daily or medium/long term actions and objectives?

We know that intrinsic as well as extrinsic motivations are sometimes only stimulating for a few weeks or months, but many of our projects take years. It is therefore a routine, a pattern that must be inscribed in us. Whatever happens, I continue my process, I repeat and I correct what is not validated by the facts.

Starting over and over again without ever knowing if today, tomorrow or in 10 years what we have put in place will bring a benefit. Constancy goes beyond the satisfaction of achieving it, because it is possible from the beginning that we do not achieve what we had in mind.

It happens that the result is sometimes more incredible and other times, quite disappointing, and yet, knowing that what we are aiming for may not bring us what we are looking for, we use energy daily and for years, we invest in the approach to advance little by little and see the project take shape, sometimes crash, or go astray.

Yet, with constancy, start making the efforts and investments again with this glimmer that maybe it will happen one day… Being constant is a quality that we can all develop, but you have to know that it will hurt us and that there is never a guarantee…

Take what is right and good for you.

Be One

Pank