Réflexions de Pank / Instantané #269 : Devenir résistant à l’échec

S’il y a bien une chose à laquelle de nombreuses personnes sont exceptionnellement douées, c’est de se flageller, parfois pendant des années, sur leurs compétences, leurs qualités ou, plus généralement, leur personnalité.

« Je ne suis pas assez bien, j’en ai trop fait, je suis nul en calcul, je ne suis pas aimable, » et tant d’autres phrases qui deviennent des habitudes. À cela s’ajoutent les échecs, où il devient presque normal de ne pas être sélectionné ou de ne pas réussir.

Pourtant, c’est justement cette habitude excessive de se considérer toujours insuffisant et nul qui fait qu’il est difficile de nous abattre. Avec quelques recadrages, les personnes qui manquent d’estime de soi commencent à réaliser que même si le monde et les autres cherchaient à les diminuer ou à les humilier, ils ne seraient jamais aussi violents qu’ils le sont avec eux-mêmes.

Ainsi, les craintes et peurs diverses comme l’échec, le rejet, et autres, finissent par perdre leur place, simplement parce que ces conséquences ont déjà été gérées tellement de fois. Quand on n’a plus rien à perdre ou qu’on ne peut faire pire, on finit par agir, et, selon la loi des grands nombres, il y a de fortes chances qu’à un moment donné, cela fonctionne.

Ce qui a été une succession d’échecs peut finalement se transformer en réussite. Devenir résistant, comme une blatte face aux stress extérieurs, parce qu’on ne se considère pas assez, devient une véritable armure et une opportunité d’oser dans la vie. Avant de développer ce super-pouvoir de « blatte-man, » il faudra quelques recadrages et une nouvelle orientation de ce qui semblait être une faiblesse.

#selftalk #estimedesoi #répétition #impact #pire #réussite #grandnombre

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Pank’s Reflections: Becoming Resilient to Failure

If there is one thing many people excel at, it’s beating themselves up, sometimes for years, over their skills, qualities, or, more generally, their personality.

“I’m not good enough, I’ve done too much, I’m terrible at math, I’m unlovable,” and countless other phrases that become habitual. To this, we add the weight of failures, where not being chosen or successful becomes almost a normal occurrence.

Yet, it’s this excessive habit of always feeling inadequate that makes one hard to break. With some reframing, people with low self-esteem start to realize that even if the world or others tried to diminish or humiliate them, they would never be as harsh as they are with themselves.

As a result, fears and anxieties such as failure, rejection, and others no longer hold power, simply because the possible consequences have already been faced so many times. When you have nothing to lose or can’t make things worse, you might as well act, and by the law of large numbers, there’s a good chance that at some point, things will succeed.

What has been a string of failures can eventually be interrupted by success. Becoming as resilient as a cockroach to external stresses, because we no longer value ourselves enough, becomes a true armor and an opportunity to take risks in life. Before developing this « cockroach-man » superpower, a few reframes and a new outlook on what seemed like a weakness will be needed.

#selftalk #selfesteem #repetition #impact #worst #success #largenumbers

Take what is good and right for you.

Be one,

Pank

Réflexions de Pank / Instantané #268 : Vos priorités

Explorez comment mieux définir et gérer vos priorités grâce à un dialogue intérieur conscient et une redirection de votre énergie vers ce qui compte vraiment dans votre vie.

Il est important pour chacun de bien définir ses priorités au quotidien. Même si, sur le papier, cela semble assez simple et que beaucoup peuvent dresser la liste des éléments importants de leur vie, il existe très souvent une incongruence qui peut s’installer.

Le temps de réflexion et d’actions sur ces priorités. Combien d’entre nous ont déjà proclamé au monde entier que tel ou tel sujet était ce qui avait le plus de valeur, et dans les faits, cet aspect est totalement négligé ?

Parallèlement, ce qui officiellement n’est pas tellement important prend du temps, de l’énergie, et focalise les pensées. Il est possible que cela provienne d’une réponse automatisée à l’éducation, comme un conditionnement. Cependant, nous sommes des adultes, et même si l’influence de notre éducation et des attentes familiales a pu façonner une partie de nos vies, aujourd’hui, il n’est plus nécessaire de les suivre.

Si certains thèmes récurrents dans votre vie reviennent sans cesse et occupent une grande partie de vos pensées au quotidien, interrogez-vous réellement sur leur importance dans votre vie. Il est tout à fait possible qu’ils aient besoin d’être recadrés en fonction de ce qui vous tient vraiment à cœur.

Et lorsque votre pensée automatique, souvent critique ou défocalisante, reprendra sa place, il faudra vous dire un grand STOP pour orienter votre dialogue intérieur (réaction) vers les points qui sont réellement les plus importants pour vous. Vous verrez assez rapidement des résultats : ce qui vous a mobilisé du temps et des pensées parfois pendant des décennies deviendra petit à petit un sujet certes important, mais absolument pas prioritaire.

Comme nous sommes limités en temps et en énergie, notre cerveau et notre corps comprendront rapidement qu’il y a une redirection qui se fera de plus en plus automatiquement vers ce qui est important pour vous : l’équivalent d’une motivation intrinsèque.

motivation #décision #Option #MéthodeCONDORE #stop #dialogueintérieur

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,
Pank
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Reflections of Pank / Snapshot #268: Your Priorities

It is important for each of us to clearly define our priorities in daily life. Even though, on paper, it seems simple, and many can list the important elements in their lives, there is often an incongruence that can take place.

The time spent thinking about and acting on said priorities. How many of us have declared to the world that this or that topic holds the most value, yet in reality, that aspect is completely neglected?

Meanwhile, what is officially not as important takes time, energy, and focus. It may stem from an automated response to upbringing, like conditioning. However, we are adults, and while family expectations and upbringing may have shaped part of our lives, today, we no longer need to follow them.

If there are recurring themes in your life that constantly occupy your thoughts, ask yourself if they truly matter to you. It’s entirely possible that they need to be reframed based on what truly holds significance for you.

And when your automatic, often critical or distracting thoughts resurface, you need to say a big STOP to redirect your inner dialogue (reaction) toward what is genuinely important for you. You’ll quickly notice a shift: what once consumed your time and thoughts, sometimes for decades, will gradually become an important but no longer a priority issue.

Since we are limited in time and energy, our brain and body will quickly understand the need for a redirection, which will increasingly happen automatically toward what truly matters to you: the equivalent of intrinsic motivation.

motivation #decision #Option #CONDOREMethod #stop #innerdialogue

Take what is good and right for you.

Be one,
Pank
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Réflexions de Pank / Instantané #266 : Nos pensées ou notre dialogue intérieur

Une réflexion sur le dialogue intérieur et la façon dont nous réagissons souvent plutôt que de prendre l'initiative de nos pensées. Comment pouvons-nous mieux diriger notre dialogue intérieur et éviter les schémas de pensée négatifs ?

Je trouve le travail sur le dialogue intérieur assez passionnant. Cependant, plus j’écoute les personnes sur ce sujet, plus j’observe ma propre version, plus je me rends compte que nous prenons rarement le lead de notre propre dialogue. Il semble que nous soyons plus souvent en réaction qu’en initiative.

Prenez un instant et observez si vous avez une pensée qui vous vient et que vous réorientez, ou si vous êtes en mode coach pour la plus grande partie de votre échange subjectif. J’ai de plus en plus l’impression que nous sommes dans une réponse avec des redirections, voire, comme dans la Méthode Silva, avec des auto-suggestions telles que “annule, annule” ce qui est dit ou pensé.

Il me semble que si nous menions constamment nos pensées et nos idées, nous serions en mode programmateur, écrivant sans cesse des lignes de code et, parfois, observant le résultat. Pour les plus coach d’entre vous, c’est en gros Tony Robbins qui ne cesse de vous envoyer des suggestions dans la tête.

Or, il y a cette dimension également connue dans le développement personnel, où l’on se répète un mantra plusieurs milliers de fois. Cependant, c’est assez différent de notre dialogue intérieur, car il s’agit plus d’un monologue. Pourrions-nous être l’initiateur de nos dialogues intérieurs ou sommes-nous seulement soumis aux idées de notre subconscient (nos pensées) ?

Il est assez amusant de jouer avec cette idée : sur une journée, est-ce que je peux constamment me parler à moi-même, en me dirigeant vers tout ce que j’estime juste pour moi ? Vous allez vous rendre compte que ce n’est pas si simple. Vous pouvez, si vous osez, le faire à voix haute, et souvent, on a l’impression d’être un peu “spécial” 🙂

La pensée autonome est vraiment une chose intéressante, sauf que parfois, elle est un peu trop orientée vers le négatif, et cela peut être indépendant de notre volonté. Nous devons trouver un moyen de l’atténuer. Le dialogue intérieur en “réaction” peut être la bonne réponse, mais cela ne retire pas nécessairement l’élément initial de la pensée, cela rééduque en lui donnant une nouvelle orientation.

selftalk #dialogueintérieure #Pensée #Leader #initiateur #jeuxpsychiques

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Reflections of Pank / Snapshot #266: Our Thoughts or Our Inner Dialogue

I find the work on inner dialogue quite fascinating. However, the more I listen to people on this subject and observe my own version, the more I realize that we rarely take the lead in our own dialogue. It seems we are more often reacting rather than initiating.

Take a moment and observe if you have a thought that comes to mind and you reorient it, for example, or if you are in “coach mode” for most of your subjective exchange. I increasingly feel that we are in a response mode with redirections, or, as in the Silva Method, with self-suggestions like « cancel, cancel » whatever is said or thought.

It seems to me that if we were constantly leading our thoughts and ideas, we would be like programmers, endlessly writing lines of code and occasionally observing the output. For those of you who are more of a coach, it’s like having Tony Robbins continuously sending you suggestions in your head.

However, there is also this dimension known in personal development, where one repeats a mantra several thousand times. But this is quite different from our inner dialogue, which is more of a monologue. So, could we be the initiator of our inner dialogues, or are we merely subjected to the ideas of our subconscious (our thoughts)?

It is quite amusing to play with this idea: over a day, can I constantly talk to myself, directing my mind toward everything I consider right for myself? You will realize that it is not that simple. You can, if you dare, do it out loud, and often, you feel a bit « special » 🙂

Autonomous thought is indeed an interesting thing, except that sometimes it is a bit too oriented towards the negative, and it can be autonomous. We need to find a way to mitigate it. Inner dialogue in “reaction” mode might be the right answer, but it does not necessarily remove the initial thought; it retrains it with a new orientation.

selftalk #innerdialogue #Thoughts #Leader #initiator #psychicgames

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Réflexions de Pank / Instantané #265 : Notre courte mémoire

Notre mémoire est courte et sélective, influencée par les médias et les discours politiques. Cet article explore comment nous oublions facilement les actions passées des figures publiques et pourquoi il est crucial de revenir sur l'histoire pour comprendre les enjeux actuels.

Nous avons la mémoire courte, et les médias, tout comme les personnes qui nous influencent, le savent bien. J’écoutais hier Mme Harris dans son débat avec M. Trump. Ce qui me semble intéressant, c’est que cette démocrate, si l’on revient sur l’histoire, n’est la candidate officielle que depuis quelques semaines.

Elle se présente comme celle qui va apporter le changement. Mais de quoi ? De qui ? Elle a été vice-présidente des USA, elle n’était pas dans l’opposition ; elle était celle qui devait remplacer le président en cas de décès et qui était le conseiller du premier homme de l’État. Alors, que veut-elle changer ? Ce qu’elle a conseillé ? La direction d’un parti qu’elle représentait ?

Nous avons des cas similaires chez nous, et nous pouvons facilement oublier ce que certains politiciens ou hommes publics ont fait pour un nouveau poste ou une réhabilitation. Souvenez-vous de M. Mélenchon qui clamait : “La République, c’est moi” et qui prétend maintenant représenter le citoyen lambda. Nous le savons, nous avons une mémoire sélective, et plus nous consommons d’informations, plus nous nous laissons emporter par nos émotions et les messages incessants des médias.

Nous devons faire des efforts pour revenir sur l’histoire des personnes qui nous parlent, qui font des discours, qui posent des promesses, et étudier si tout cela est juste. Cela demande du temps, et nous devons accepter une marge de tolérance, sachant qu’il paraît que les gens peuvent changer, ou, de mon point de vue, modifier les masques qu’ils projettent au monde.

Nous étudions souvent l’histoire sans y porter plus d’intérêt, parce que les dates et les noms ne nous apportent pas grande saveur. Alors, nous connaissons, nous avons entendu ce que nous avons lu, appris, ou que l’on nous a répété. Mais même en étant aussi historiquement conditionnés, nous ne sommes que rarement capables de nous rendre compte, dans le présent, que les pires choses se remettent en place.

Peut-être est-ce notre espoir que cela n’aille pas vers le pire, une sorte de naïveté et de “ce n’est pas possible”, ou simplement le fait que même avec cette connaissance, nous ne sommes pas assez éduqués pour prendre du recul, réfléchir, et poser des questions. Simplement parce que nous sommes un élément de cette histoire, un maillon d’un mouvement dans lequel nous sommes embarqués, notre mémoire se laissant aussi saturer.

mémoire #politique #mensonge #histoire #oubli #répétition

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Reflections of Pank / Snapshot #265: Our Short Memory

We have a short memory, and the media, like the people who influence us, know this all too well. I was listening to Ms. Harris yesterday in her debate with Mr. Trump. What I find interesting is that this Democrat, if we look back at history, has only been the official candidate for a few weeks.

She presents herself as the one who will bring change. But change what? Or whom? She was the Vice President of the USA; she was not in the opposition. She was the one who would have replaced the President in case of death and who became the adviser to the head of state. So, what does she want to change? What she has advised? The direction of a party she represented?

We have similar cases in our own country, and we can easily forget what some politicians or public figures have done for a new position or rehabilitation. Remember Mr. Mélenchon who proclaimed, « I am the Republic, » and who now sells the idea that he wishes to represent the average citizen. We know it; we have selective memory, and the more we consume information, the more we let ourselves be carried away by our emotions and the constant messages from various media.

We must make efforts to look back at the history of the people who speak to us, who make speeches, who make promises, and study if all of this is fair. It takes time, and we must accept a margin of tolerance, knowing that people can change, or in my opinion, modify the masks they project to the world.

We often study history without paying much attention, because dates and names don’t give us much flavor. So, we know, we have heard, what we have read, learned, or been told. But even being so historically conditioned, we are rarely able to realize in the present that the worst things are coming back.

Perhaps it is our hope that it does not go towards the worst, a kind of naivety and « it’s not possible, » or simply that even with this knowledge, we are not educated enough to have perspective, to reflect, and to ask questions; simply because we are an element of this history, a link in a movement in which we are involved, our memory also becoming saturated.

memory #politics #lies #history #forgetting #repetition

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Réflexions de Pank / Instantané #264 : Vite, vite consommez

Cet article explore la surconsommation d'information à l'ère numérique, où le format court et le besoin constant de nouvelles influencent la qualité du journalisme et l'hygiène de vie informative des lecteurs.

Hier, pendant le live, sous le prisme où je lis des articles disponibles sans abonnement, nous avons le format court de l’information. Depuis le début du journal 20 minutes, nous voyons que nous pouvons consommer l’actualité en moins de 20 minutes, plus court qu’un journal télévisé. Depuis, le numérique a éliminé ces formats courts papier pour nous offrir des journalistes de nouvelles en continu.

Nous devons, ou plutôt nous pouvons, sous l’ombre du FOMO, consommer et connaître tout au long de la journée les dernières actualités. Cependant, nous sommes dans des « infopoubelles » qui sont structurées pour générer du clic plutôt que pour offrir une information pertinente.

Nous nous retrouvons avec des agrégateurs d’articles qui mettent en avant ce qui pourrait être suivi ou liké. Plus cela peut choquer ou intriguer, plus le lecteur pourra consommer. Et puis, quand on lit en quelques minutes une brève, nous nous retrouvons soit avec un engloutissement, comme on le ferait avec une barre sucrée qui ne nous nourrit pas, mais nous comble simplement.

Ce n’est pas le but de ces « cuisiniers de l’information » : il faut s’abonner et/ou lire les dossiers des magazines pour avoir un questionnement, une ouverture, même s’il y a une coloration politique. Encore que, il semble qu’il y ait une shrinkflation des articles : le nombre de mots a diminué, mais le packaging reste le même, avec des publicités ou des liens vers d’autres thèmes en plus.

Devons-nous devenir de simples consommateurs d’information ? Est-ce que le comportement passéiste d’écouter les actualités le matin et/ou éventuellement le soir ne nous suffisait pas ? Avons-nous besoin de « manger entre les repas informationnels », plutôt que de retrouver une hygiène de vie informative ?

Enfin, nos journalistes eux-mêmes sont-ils faits pour écrire des articles en mode TikTok ou Netflix, plutôt que d’étudier plus en profondeur les sujets afin d’offrir à leurs lecteurs de la qualité, qu’ils puissent eux-mêmes sentir qu’ils partagent leurs réelles compétences, plutôt que d’écrire des piges le plus rapidement possible pour ne pas perdre le « buzz » de l’instantanéité ?

information #actualité #FOMO #journalisme #consommation

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Reflections of Pank / Snapshot #264: Quick, Quick, Consume

Yesterday during the live session, under the lens where I read articles available without subscription, we encountered the short format of information. Since the inception of the 20 Minutes newspaper, we see that we can consume news in less than 20 minutes, shorter than a television news broadcast. Since then, digital has eliminated these short paper formats to offer us continuous news journalists.

We must, or rather, we can, under the shadow of FOMO, consume and know the latest news throughout the day. However, we are in a trash news environment, structured to generate clicks rather than provide adjusted information.

We find ourselves with article aggregators that highlight what might be followed or liked. The more shocking or intriguing, the more the reader might consume. And then, when we read a brief in a few minutes, we either find ourselves consuming it like we would a sugary bar — not nourishing but simply filling us up.

This is not the aim of these « information cooks »: one must subscribe and/or read magazine dossiers to find questioning, an opening, even if there is political coloration. Yet, there seems to be a « shrinkflation » of articles: the word count has decreased, but the packaging remains the same, with ads or links to other topics added in.

Should we become mere consumers of information? Wasn’t the old habit of listening to the news in the morning and/or possibly in the evening enough for us? Do we need to « snack between informational meals » rather than return to an informative lifestyle?

Finally, are our journalists themselves made to write articles in TikTok or Netflix mode, rather than study the topics more deeply to offer their readers quality, so they themselves feel they are sharing their real skills, instead of writing as fast as possible to catch the « buzz » of instantaneity?

information #news #FOMO #journalism #consumption

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Réflexions de Pank / Instantané #263 : Apprendre à gérer nos frustrations

Dans un monde où les possibilités se multiplient, il devient essentiel d’apprendre à gérer nos frustrations. Cet article explore les raisons de notre incapacité à accepter les limites et offre des pistes pour cultiver la concentration et l’acceptation dans un quotidien rempli de micro-frustrations. Une réflexion sur l’importance d’apprendre à rebondir face aux imprévus.

Nous avons aujourd’hui tellement de possibilités que nos désirs s’orientent dans tous les sens. Cela nous amène à vouloir toujours plus, de nouveaux produits, expériences ou rencontres. Pour beaucoup, le mot « contentement » est insupportable, les entraînant dans une sensation de vivre dans le manque, le pas assez, et ne jamais voir plus grand, plus haut, plus beau.

Nous l’apprenons à travers les études sur l’impact des écrans chez les plus jeunes ou la surexploitation de la pathologie TDAH : la capacité à accepter les limites et les cadres devient une rareté. C’est dommageable pour chacun de nous, mais aussi pour le collectif. Une des compétences essentielles pour notre avenir est notre capacité à nous concentrer.

Notamment sur ce qui se passe en nous, à travers cette attention et l’apprentissage de ne pas se laisser trop facilement dépasser par nos pensées ou émotions. Nous n’obtiendrons pas toujours satisfaction de ce que nous mettons en place. Il y a de nombreuses fois dans le quotidien où nous ne parvenons pas à vivre la journée idéale à cause de choses aussi simples que des retards, une absence, un freinage soudain sur la route, ou un appel non désiré.

Entre nos désirs de plus en plus nombreux d’un idéal et notre incapacité à gérer les petites mésaventures du quotidien, nous voyons des adultes en révolte constante, criant sur les serveurs dans un café, s’énervant sur la route, agressant les vendeurs…

Cet apprentissage manque cruellement dans notre éducation (les écrans, la facilité de trouver un pathos plutôt que de renforcer les limites) et manque d’exercice quand on devient adulte. Car il n’y a pas que les nouvelles générations qui sont concernées. Beaucoup d’adultes, voire ceux qui entrent dans le troisième âge, continuent d’avoir des comportements d’enfants-rois, peut-être à cause de postes prestigieux ou d’une réussite sociale qui leur fait croire qu’ils peuvent tout obtenir avec un titre ou de l’argent.

Déterminer les phases de frustration et apprendre à jongler avec, à apaiser, réorienter, accepter le refus ou l’impossibilité, et surtout apprendre à rebondir est pourtant facile à exercer, car le quotidien est plein de ces micro-frustrations. Plonger dedans et apprendre à ne plus s’y noyer est parfois difficile, mais c’est ce que nous devrions tous faire, pour notre bien et celui de nos systèmes.

#frustration #éducation #évitement #colère #désir #refoulement

Be one,

Pank

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Reflections of Pank / Snapshot #263: Learning to Manage Our Frustrations

Today, we have so many possibilities that our desires are pulled in every direction. This leads us to want more, new products, experiences, or encounters. For many, the word « contentment » is unbearable, dragging them into a feeling of living in scarcity, in a constant « not enough, » never seeing bigger, higher, or more beautiful.

We see this through studies on screen exposure for the young or the overuse of the ADHD diagnosis: the ability to accept limits and boundaries is becoming rare. This is harmful to each of us, but also to the collective. One of the essential skills for our future is our capacity to focus.

Especially on what is happening within us, through this attention and learning not to be too easily overwhelmed by our thoughts or emotions. We will not always get satisfaction from what we put in place. There are many times in our daily lives when we do not manage to have the day we would like, due to simple things like delays, an absence, sudden braking on the road, or an unwanted call.

Between our increasingly numerous desires for an ideal and our inability to handle the small mishaps of daily life, we have adults in constant revolt, yelling at waiters in a café, getting angry on the road, or attacking salespeople…

This learning is glaringly lacking in our education (screens, the ease of finding a pathology rather than strengthening boundaries) and is under-practiced in adulthood. And it’s not just the younger generations who are affected. Many adults, even those entering old age, still behave like spoiled children, perhaps due to prestigious positions or social success that make them believe they can have everything with a title or money.

Identifying phases of frustration and learning to juggle with them, soothe, reorient, accept refusal or impossibility, and above all, learn to bounce back is simple to practice, as daily life is often full of these micro-frustrations. Diving into them and learning not to drown in them is something difficult but necessary for all of us, for our good and that of our systems.

#frustration #education #avoidance #anger #desire #repression

Be one,

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Réflexions de Pank / Instantané #262 : Quand ne pas s’adapter devient une excuse

La pandémie n’est pas une excuse pour l’échec des entreprises. Cet article explore comment l’incapacité à s’adapter aux nouvelles réalités économiques et numériques conduit à des faillites, et appelle à une évolution nécessaire dans le monde de l’entrepreneuriat.

J’imagine que, tout comme moi, vous avez déjà remarqué qu’il est difficile de s’adapter, ou parfois de s’ajuster, aux mouvements de la vie, que ce soit dans les idées, les comportements ou les technologies. Pourtant, la grande majorité d’entre nous recherche les mises à jour et s’adapte.

Il est possible que nous soyons passéistes, que nous pensions que c’était mieux avant. Nous sommes rarement dans l’excuse, parfois dans l’agacement, mais rien de plus. Cependant, depuis la pandémie, vous avez peut-être lu des articles ou vu des émissions où l’on vous explique que de grandes entreprises françaises sont en liquidation. Et les journalistes ne cessent de répéter la même chose : depuis le COVID, telle ou telle entreprise n’a pas récupéré et doit donc fermer.

On parle d’entreprises qui, pour beaucoup, ont été subventionnées, mais qui ont surtout conservé un modèle économique ou de vente similaire. Si cette période unique de 2020 nous a appris quelque chose, c’est que le numérique et les achats en ligne allaient dominer l’économie et les relations humaines.

Pourtant, si vous regardez les sites et les processus de vente mis en place depuis cette période de mé-consommation imposée, toutes les entreprises françaises sont restées sur des modèles dépassés mais qui, “avant, fonctionnaient très bien.” Cette incapacité à trouver une alternative et, surtout, à s’adapter coûte aux salariés. Entre une adaptation qui peut, malheureusement, entraîner des plans de licenciement dans un premier temps, et la fermeture définitive qui met tout le monde sur le carreau, il y a un fossé.

Comment est-il possible, alors que tout était sous les yeux et que, pour le coup, vu la période complètement figée économiquement, qui offrait un temps de réflexion et de décisions ? On le sait, des grands groupes comme Blockbuster Video (le Vidéo Futur américain) ont manqué l’occasion de s’associer avec Netflix à ses débuts.

Non, la pandémie n’est pas une excuse. La réalité, c’est que beaucoup d’entreprises, plus ou moins importantes, ne parviennent pas à être en veille pour s’adapter, ce qui entraîne des faillites. À quand des structures qui, comme chacun d’entre nous tente de le faire, oseront s’adapter plutôt que de se trouver des excuses ?

adaptation #entrepreneuriat #salariat #nostalgie #passéisme #erreur #opportunité

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Pank

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Reflections by Pank / Snapshot #262: When Not Adapting Becomes an Excuse

I imagine that, like me, you have already noticed that it is difficult to adapt, or sometimes to adjust, to the movements of life, whether in ideas, behaviors, or technologies. Yet, the vast majority of us seek updates and adapt.

It is possible that we are nostalgic, thinking that things were better before. We rarely make excuses; sometimes there is annoyance, but nothing more. However, since the pandemic, you may have read articles or seen programs where they explain that major French companies are going bankrupt. And journalists keep repeating the same thing: since COVID, certain companies have not recovered and therefore have to close.

We are talking about companies that, in many cases, have been subsidized but have mostly kept a similar business or sales model. If this unique period of 2020 has taught us anything, it is that digital and online shopping would dominate the economy and human relationships.

Yet, if you look at the websites and sales processes implemented since this period of imposed overconsumption, all French companies have remained on outdated models that « used to work very well. » This inability to find an alternative and, above all, to adapt costs employees dearly. Between adapting, which may unfortunately lead to layoffs initially, and definitive closure, which leaves everyone out in the cold, there is a significant gap.

How is it possible, when everything was in plain sight, and given the economically frozen period that offered time for reflection and decision-making? We know that major groups like Blockbuster Video (the American Vidéo Futur) missed the opportunity to associate with Netflix at its beginnings.

No, the pandemic is not an excuse. The reality is that many companies, whether big or small, fail to stay alert and adapt, leading to bankruptcies. When will we see structures that, like each of us tries to do, dare to adapt rather than find excuses?

adaptation #entrepreneurship #employment #nostalgia #nostalgicism #mistake #opportunity

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Réflexions de Pank / Instantané #261 : Les adultes qui restent des enfants

Dans une société où l'on valorise la jeunesse et rejette le vieillissement, nombreux sont les adultes qui refusent de grandir, adoptant un comportement enfantin. Pank explore les conséquences sociales de cette tendance : des parents incapables de poser des limites, des jeunes sans repères, et un déséquilibre profond dans nos systèmes de valeurs. Comment retrouver l'équilibre entre liberté et responsabilité ?

Nous savons que notre société a développé des adulescents et autres comportements similaires. Nous sommes dans une dynamique où il n’est pas bien vu de vieillir, de perdre le regard naïf de l’enfant, de ne plus rêver comme un adolescent. On veut rester dans ce que la société valorise comme pur, plein d’énergie et de puissance : la jeunesse. Pourtant, ce n’est pas la jeunesse qui construit le monde ; c’est le monde qui devrait les aider à se construire pour qu’ils puissent développer l’univers où ils vont évoluer.

Si, depuis toujours, presque toutes les organisations respectent le savoir et l’expérience des anciens, c’est pour une raison concrète : leur expérience et leur capacité à comprendre des paramètres que nous n’avons pas encore saisis. Les seules sociétés modernes qui ont confié le pouvoir à de jeunes adultes, voire des adolescents, ont généralement conduit à des révolutions culturelles. En clair, si l’on laisse tout le pouvoir à des enfants, ils peuvent aller jusqu’à tuer leurs parents et leurs proches. On exploite la jeunesse précisément parce qu’elle manque d’expérience.

Ne pas vouloir grandir, parce que le monde des adultes ne semble pas aussi libre et sans conséquences, est absurde. Ceux qui jouissent d’une réelle liberté sont justement ces adultes qui, à travers leurs activités, deviennent plus autonomes et capables d’atteindre les objectifs qu’ils se fixent. Pas d’obligation, hormis celles imposées par la société et celles qui découlent de leurs propres choix.

Si autrefois il était amusant de mettre en avant ces adultes qui pensent et réagissent comme des enfants, il faut voir aujourd’hui les conséquences de cela : ils sont devenus parents, mais ne sont pas capables de donner des cadres, des règles et des limites justes. Ils n’arrivent même plus à gérer leurs enfants parce qu’ils sont eux-mêmes en difficulté pour gérer leurs émotions et leur structure mentale.

Cela a des conséquences sociales. Ces jeunes ne connaissent ni cadre ni limite, et n’ont appris qu’à travers un égoïsme puéril, sans jamais comprendre que nous sommes des éléments d’un système et que chacun d’entre nous doit accepter, non pas par simple soumission mais pour le bien commun, de se restreindre, de s’imposer des limites, ou de se frustrer. Non, il y a cette vision des jeunes et nouveaux adultes qu’il faut “emmerder la société”, représentée par les instances mais aussi par chacun d’entre nous. Simplement parce que des enfants ne peuvent pas éduquer des enfants, alors que même pour des adultes, c’est une mission bien complexe.

famille #éducation #cadre #modèle #société #adulescent #adulte #enfant

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Reflections of Pank / Snapshot #261: Adults Who Remain Children

We know that our society has created “kidults” and similar behaviors. We live in a dynamic where aging is not seen as desirable, where losing the childlike naïveté or no longer dreaming like an adolescent is frowned upon. We want to remain in the state that society loves to portray as pure, full of energy, and power: youth. However, it is not youth that builds the world; rather, the world should help them build themselves so they can develop the universe in which they will evolve.

If, for a long time, almost all organizations respected the knowledge and experience of elders, it is for a concrete reason: experience, a capacity to understand parameters that we have not yet grasped or encountered. The only modern societies that have given power to young adults, or even teenagers, have generally led to notions of cultural revolution. To put it simply, if you give all the power to kids, they might end up killing their own parents and close ones. Youth is exploited precisely because it lacks experience.

Refusing to grow up because the adult world does not seem as free and without consequences is absurd. The only ones who truly have freedom are those adults who, through their activities, become more autonomous and capable of achieving the goals they desire. No obligation except for social ones and those that result from one’s own choices.

While it was once amusing to highlight those adults who think and act like children, we must now consider the consequences: they are parents who cannot provide structure, rules, and fair limits. They can no longer manage their children because they themselves struggle to manage their emotions and mental frameworks.

This has social consequences. These young people do not know boundaries or limits; they have learned only through childish selfishness, without ever considering that we are parts of a system and that each of us must accept, not through mere submission but for the common good, to restrict ourselves, to impose discipline, or to experience frustration. No, there is this view of these young and new adults that they must “piss off society,” represented by institutions but also by each of us. Simply because children cannot educate children, and we know it is a very complex mission even for adults.

family #education #boundaries #rolemodel #society #kidults #adults #children

Take only what is good and right for you.

Be one,

Pank

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Réflexions de Pank / Instantané #260 : La rentrée, une occasion de se donner des orientations

La rentrée est l'occasion idéale pour réfléchir à de nouvelles orientations, habitudes et objectifs de croissance personnelle et professionnelle. Découvrez des stratégies pour transformer les changements positifs en routines durables, rester motivé et trouver l'équilibre sans épuisement.

Nous sommes un peuple qui fonctionne par saison. Depuis bien longtemps, nous avons pris l’habitude, après la pause estivale, de reprendre une nouvelle année. Nous nous retrouvons dans une nouvelle classe, dans une nouvelle saison associative, ou face à de nouvelles grilles de programmes sur les médias.

Si vous remarquez justement ces derniers, nous sommes souvent dans la nouveauté : de nouvelles émissions, de nouvelles façons d’aborder les choses. Pour chacun d’entre nous, cela peut signifier la reprise de l’école pour les enfants, la reprise d’activités professionnelles ou paraprofessionnelles, et les licences dans les clubs qui redémarrent à cette rentrée.

Nous avons donc une bonne opportunité pour réfléchir aux orientations que nous souhaitons prendre. Quand nous étions enfants, il fallait réussir sa classe, obtenir un diplôme, ou, pour les sportifs, viser des ambitions régionales ou nationales. Mais lorsqu’on ne fait pas partie de ces organisations qui orientent naturellement vers une “performance” à atteindre, qu’est-ce qui pourrait vous stimuler ?

Ne nous leurrons pas, notre vie est routinière, ponctuée d’événements qui modifient parfois nos automatismes, mais la force de l’habitude est immense. Il est donc utile de se demander si l’orientation que vous souhaitez prendre peut devenir une routine. Que ce soit un apprentissage, une attention portée au corps, une reprise d’activité, est-ce que cela peut s’intégrer d’une manière ou d’une autre dans un planning qui finira par s’absorber naturellement dans votre vie ?

Les grands changements sont toujours possibles, mais nous savons que lorsque cette dynamique de reprise va s’atténuer, il y aura une inertie qui s’installera rapidement. Un effort suffisant devrait donc être mis en place, sinon, nous risquons d’arrêter, de remettre à plus tard, à demain ou à la semaine prochaine.

Cherchez ce qui peut continuer à vous apporter quelque chose et que vous allez rendre habituel dans votre quotidien. Les efforts, oui, mais pas jusqu’à la saturation.

Bonne rentrée, bonne motivation, et bonne habitiuation !

#rentrée2024 #sport #art #habitudes #pattern #effort #ajustement #automatisme

Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Reflections by Pank / Snapshot #260: Back to School, an Opportunity to Set New Directions

We are a people who operate by seasons. For a long time, we have been accustomed to starting a new year after the summer break. We find ourselves in a new class, a new season for associations, or facing new program schedules in the media.

If you pay attention to the latter, we are often immersed in new things: new shows, new ways of approaching things. For each of us, this can mean the return to school for the children, the resumption of professional or paraprofessional activities, and the start of licenses in clubs at this time of year.

We have a great opportunity to reflect on the directions we wish to take. When we were children, we had to pass our classes, earn a diploma, or, for athletes, aim for regional or national ambitions. But when we’re not necessarily part of those organizations that naturally steer us toward a “performance” to achieve, what could stimulate you?

Let’s not deceive ourselves; our lives are routine, punctuated by events that sometimes modify our habits, but the force of habit is immense. Therefore, it is useful to ask whether the direction you wish to take can become a routine. Whether it’s learning something new, paying attention to your body, or resuming an activity, can it somehow fit into a schedule that will gradually integrate into your life?

Big changes are always possible, but we know that when this dynamic of starting anew begins to fade, inertia will quickly set in, and sufficient effort must be made. Otherwise, we risk stopping, postponing to tomorrow or next week.

Find what can continue to bring you value and what you will make a habit of in your daily life. Efforts, yes, but not to the point of saturation.

Happy back-to-school season, good motivation, and good adaptation!

#BackToSchool2024 #Sport #Art #Habits #Patterns #Effort #Adjustment #Automation

Take what is good and right for you.

Be one,

Pank

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Réflexions de Pank / Instantané #259 : Trouver la thérapie qui vous convient

Avec des dizaines de méthodes de thérapie disponibles, choisir celle qui vous convient peut être difficile. Cet article explore comment écouter votre instinct, tester plusieurs options et trouver la bonne approche pour vous accompagner dans votre démarche de mieux-être.

Il existe de nombreuses approches pour un accompagnement psychologique, tout comme il existe différentes écoles de sports de combat. Choisir par où commencer peut être compliqué. Contrairement au sport, souvent choisi dans un contexte positif, la décision de commencer une thérapie survient souvent dans des moments de désespoir.

On n’a pas toujours toutes les informations nécessaires, et la souffrance est souvent si forte que l’on souhaite simplement qu’elle s’arrête. Bien sûr, rencontrer un psychiatre ou un psychologue est un bon point de départ lorsque l’on ne connaît rien aux différentes approches thérapeutiques. Cependant, dans des situations moins graves ou en complément, on peut explorer différentes méthodes qui pourraient mieux convenir.

C’est un peu comme entrer dans une pharmacie où l’on aimerait tester tous les produits pour améliorer sa vie. Chaque thérapeute mettra en avant sa méthode ou sa polyvalence. Mais l’essentiel est de ressentir un bon feeling avec le praticien.

Si dès le début, vous ne vous sentez pas à l’aise avec la personne, même sans résistance apparente, faites-vous confiance. Parfois, certaines méthodes provoquent des émotions intenses, et nous avons tendance à vouloir éviter ces malaises temporaires. Cependant, si vous changez constamment de thérapeute parce que vous n’êtes jamais satisfait, cela pourrait indiquer une résistance personnelle au changement.

Pour vos premières sessions, donnez-vous au moins 2 à 3 séances et faites confiance à votre instinct. Soyez conscient de vos peurs face au changement.

Une fois que vous avez trouvé un thérapeute qui vous convient, prenez votre temps. Même si certains résultats peuvent être rapides, d’autres étapes peuvent prendre plus de temps. Il est important de considérer ce qui vous semble acceptable pour cette phase de votre vie. Nous avons toujours des choses à travailler, mais cela ne signifie pas que nous avons toujours envie ou besoin de le faire.

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Prenez ce qui est bon et juste pour vous.

Be one,

Pank

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Pank’s Reflections / Snapshot #259: Finding the Therapy That Suits You

There are many different approaches to psychological support, just like there are many martial arts schools. Choosing where to start can be challenging. Unlike sports, often chosen in positive circumstances, the decision to start therapy usually comes during moments of despair.

We don’t always have all the necessary information, and the suffering is often so intense that we just want it to stop. Of course, meeting with a psychiatrist or psychologist is a good starting point if you know nothing about the different therapeutic approaches. However, in less intense situations or as a complement, you can explore various methods that may be more suitable for you.

It’s like entering a pharmacy where you want to try every product to improve your life. Each therapist will promote their method or versatility, but the key is to feel a good connection with the practitioner.

If from the start you don’t feel comfortable with the person, even without apparent resistance, trust yourself. Some methods may trigger intense emotions, and we tend to avoid this temporary discomfort. However, if you constantly change therapists because you’re never satisfied, it might indicate a personal resistance to change.

For your first sessions, give yourself at least 2 to 3 sessions and trust your instinct. Be aware of your fears about moving toward « change. »

Once you have found a therapist who suits you, take your time. Even if some results can be quick, other steps may take longer. It’s important to consider what feels right for you in this phase of your life. We always have things to work on, but that doesn’t mean we always want or need to.

Take what is good and right for you.

Be one,

Pank

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