Réflexions de Pank / Instantané #459 : Je n’ai pas peur de la prison

Quelle impunité… Monsieur Sarkozy qui pourrait se retrouver à la prison de la Santé pour y passer quelques temps, et certainement pas longtemps. Il y a une réflexion sur le fait d’accepter ou non qu’un ancien président puisse être jugé sur des actions qu’il a pu commettre dans sa carrière politique (avant et après son/ses mandats).

La complexité, du point de vue d’une « suggestion » dans la transe collective des citoyens par rapport à la justice, est de constater ce qui a été nommé une justice à deux vitesses, avec des facilités, voire des indulgences, pour certaines personnes comme Monsieur Balkany a pu en bénéficier ou Monsieur Sarkozy.

Montrer à celui qui escroque, recèle, arnaque, que lui risque de se retrouver dans des prisons en défaillance avec trois codétenus dans 9 m²… tandis que l’ancien président, lui, serait seul, sans contact avec d’autres prisonniers. Il est facile de faire le coq et de dire qu’on n’a pas peur de la prison quand on sait que le danger dans une prison réside justement dans les interactions avec les autres détenus qui peuvent vouloir faire du mal et/ou se venger d’un système défaillant (le leur et celui d’un État).

Offrir cette idée qu’il n’y a pas de justice, à part symbolique, et revenir sur le fait que des cols blancs qui corrompent et dont les décisions peuvent entraîner des vies brisées (chômage et ses conséquences), voire des pays renversés et détruits (parle-t-on de Monsieur Sarkozy et de Monsieur Kadhafi ?), ne paieront jamais, sème une graine chez tant de personnes (on peut voir les « influvoleurs » par exemple) à ne respecter ni les lois, ni les juges.

Si l’on voulait un peu de « justice », laissez l’ancien président à Fleury en quartier ordinaire pendant trois mois… et voyez si cela ne changera pas la communication du clan des privilégiés judiciaires.

Prenez ce qui est juste et bon pour vous. Be One Pank https://www.pank.one/blog

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Reflections by Pank / Snapshot #459: I’m not afraid of prison

What impunity… Mr. Sarkozy, who might end up at La Santé prison for a short stay, and certainly not for long. There’s a debate about whether or not to accept that a former president can be judged for actions he may have taken in his political career (before and after his term(s)).

The complexity, from a « suggestion » perspective within the collective trance of citizens regarding justice, is to see what has been called two-tiered justice, with leniency, or even indulgences, for certain individuals, as Mr. Balkany or Mr. Sarkozy may have benefited from.

To show the swindler, the fence, the con artist that they risk ending up in failing prisons with three co-detainees in 9 m²… while the former president, he would be alone, without contact with other prisoners. It’s easy to boast and say one isn’t afraid of prison when one knows that the danger in prison is precisely the interactions with other inmates who might want to cause harm and/or seek revenge against a failing system (theirs and that of the state).

To offer the idea that there is no justice, apart from a symbolic one, and to reiterate that white-collar criminals who corrupt and whose decisions can lead to ruined lives (unemployment and its consequences), or even overthrown and destroyed countries (are we talking about Mr. Sarkozy and Mr. Gaddafi?), will never pay, sows a seed in so many people (we can see the « influ-swindlers » for example) to respect neither laws nor judges.

If we wanted a bit of « fairness, » let the former president stay at Fleury in an ordinary block for three months… and see if that doesn’t change the communication of the clan of judicial privileged.

Take what is right and good for you. Be One Pank https://www.pank.one/blog

Réflexions de Pank / Instantané #306 : Quand les crises entraînent un besoin de spiritualité

Les crises politiques et économiques poussent souvent les individus à se détourner des systèmes matérialistes pour rechercher du sens dans la spiritualité. Ce besoin universel, ancré dans l'histoire de l'humanité, reflète une quête de lumière face aux ténèbres, tandis que les élites perdent leur propre sens.

Il est intéressant d’écouter les informations internationales, non pas parce qu’elles impactent directement notre quotidien, mais parce qu’elles révèlent une sorte d’universalité des comportements humains. Régulièrement, on entend parler de crises, souvent politiques et économiques, dans différents pays.

La conséquence récurrente est l’orientation de nombreux citoyens, qui, ne croyant plus en ce que propose la dynamique matérialiste, se tournent vers toutes sortes de réflexions et de pratiques spirituelles.

Lorsqu’on attend des réponses, de l’aide ou un changement dans la vie quotidienne qui n’arrive jamais à travers les doctrines et actions politiques, la confrontation entre croyance et faits peut conduire notre esprit à chercher du sens ailleurs, en s’accrochant ou en développant d’autres croyances.

Dans le cadre de la spiritualité, c’est un peu comme le boss final d’un jeu vidéo : il n’existe pas de croyances capables de la surpasser, et l’aspect factuel devient subjectif. Cela permet à nos récits intérieurs de toujours se mettre à jour pour valider des idées, des ressentis et des événements liés à la spiritualité.

Cette quête de sens, ce plongeon – ou plutôt ce retour – vers le spirituel, est probablement l’un des schémas les plus universels de l’histoire de l’humanité : la foi en une force toute-puissante capable de tout transformer, d’apporter de la lumière dans les ténèbres.

Pendant ce temps, les « élites » matérialistes (pas pires que les élites spirituelles) continuent à perdre le sens de leurs discours, comportements et actions, tout en cherchant à rester au sommet d’une hiérarchie du pouvoir qui, elle aussi, perd son sens.

politique #spiritualité #illusion #attente #changement #escroc

Ne prenez que ce qui est bon et juste pour vous.
Be one,
Pank
https://www.pank.one/blog

Reflections of Pank / Snapshot #306: When Crises Lead to a Need for Spirituality

It is interesting to listen to international news—not because it directly impacts our daily lives, but because it reveals a sort of universality in human behaviors. Frequently, we hear about crises, often political and economic, in various countries.

The recurring consequence is that many citizens, losing faith in what materialistic dynamics offer, turn to various spiritual reflections and practices.

When people expect answers, help, or change in their daily lives that political doctrines and actions fail to deliver, the confrontation between beliefs and reality often drives the mind to seek meaning elsewhere by clinging to or developing other beliefs.

In the realm of spirituality, it’s like the final boss in a video game: no belief surpasses it, and the factual becomes subjective. This allows our internal narratives to continually update, validating ideas, feelings, and events tied to spirituality.

This quest for meaning, this dive—or rather, return—into spirituality, is likely one of the most universal patterns in human history: faith in an all-powerful force capable of transforming everything and bringing light into darkness.

Meanwhile, the materialistic « elites » (no worse than the spiritual elites) continue to lose the sense behind their words, behaviors, and actions, striving to remain at the top of a power hierarchy that itself is losing meaning.

politics #spirituality #illusion #expectation #change #scam

Take only what is good and right for you.
Be one,
Pank
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